QUI EST JESUS ?
Il n’est pas question pour moi, de prétendre pouvoir répondre à cette question de manière absolue.
Ma seule ambition est de démontrer par la BIBLE, qu’il est possible de mieux connaitre Jésus, en se référant à la Bible surtout, plutôt qu’à ce que nous disent généralement nombre de prédicateurs mal informés. Est-il vraiment nécessaire de rappeler, qu’en matière d’Histoire Sainte, la Bible devrait être la référence absolue ?
Cela dit, entrons dans le vif du sujet.
QUE DIT LA BIBLE CONCERNANT JESUS ?
Il y a ce texte de JEAN 3 : 13 - 18 disant « Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut, de même, que le Fils de l’homme soit élevé, pour que quiconque croit ait en lui la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que par lui le monde soit sauvé. Celui qui met sa foi en lui n’est pas jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas mis sa foi dans le nom du Fils unique de Dieu. ( NBS )
https://bible.com/bible/104/jhn.3.13-18.NBS
Cet autre texte de MATTHIEU 16 : 13 – 17 dit « Jésus, arrivé dans la région de Césarée de Philippe, se mit à demander à ses disciples : Au dire des gens, qui est le Fils de l’homme ? Ils dirent : Pour les uns, Jean le Baptiseur ; pour d’autres, Elie ; pour d’autres encore, Jérémie, ou l’un des prophètes. – Et pour vous, leur dit-il, qui suis-je ? Simon Pierre répondit : Toi, tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Jésus lui dit : Heureux es-tu, Simon, fils de Jonas ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux !
( NBS ) https://bible.com/bible/104/mat.16.13-17.NBS
En lisant ces textes, deux choses m’interpellent.
1° – Dans ces textes c’est principalement Jésus qui parle.
2° - De fait, nous pouvons considérer que ce qui est rapporté ici est vrai, parce qu’il est écrit dans HEBREUX 4 : 14, 15 « Puisque nous avons un grand prêtre qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, restons attachés à ce que nous reconnaissons publiquement. Car nous n’avons pas un grand prêtre insensible à nos faiblesses ; il (Jésus)a été soumis, sans péché, à des épreuves en toutes points semblables. »
(NBS) https://bible.com/bible/104/heb.4.14-15.NBS
Si l’on tient compte du fait que Jésus a été soumis, sans péché, à des épreuves (ou tentations) en tous points semblables aux nôtres, on peut dire sans se tromper que Jésus ne ment pas quand il parle.
Nous lisons également dans ces textes, que Jésus est fils de l’Homme et Fils de DIEU.
Comment cela est-il possible ?
En tout temps je me suis toujours poser cette question. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours entendu différents prédicateurs ou personnes, sans l’ombre d’un doute bien disposés, faire toutes sortes d’affirmations selon lesquelles, à ce sujet, il n’est pas possible d’avoir une réponse bien tranchante. N’étant pas convaincue par ces affirmations, je continuai à m’interroger concernant l’humanité et la Divinité de Jésus. Pendant des années, je pensais que si Jésus est Fils de DIEU, comment cela est possible, puisque je n’aie jamais lu dans la Bible que DIEU ait eu une Femme. Se pourrait-il qu’en fait, Jésus soit son jumeau ? Ors cela n’est pas possible, puisque la Bible est très claire sur le fait que Jésus est FILS de DIEU. Lorsque j’interrogeais quiconque sur mon embarras, concernant la Filialité Personnelle de Jésus à DIEU, très souvent, il m’était répondu que, Jésus est déclaré par la Bible, Fils de DIEU, dans le sens spirituel du terme.
A mon grand étonnement, cette réponse ne me satisfaisait toujours pas.
Ce pourrait-il que je sois si stupide, au point de croire que Jésus est réellement FILS de DIEU, tout comme n’importe quel garçon est déclaré fils de son père, parce qu’il est né de son père, et plus encore il est le fils de cet homme parce qu’il est sorti de lui ?
Puis un jour, je lu ce texte de COLOSSIENS 1 : 12-17, « Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d’avoir part à l’héritage des saints dans la lumière, qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour, en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés. Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités.
Tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.
(LSG) https://bible.com/bible/93/col.1.12-17.LSG
Si celui dont parle ici la Bible n’est pas Jésus, je veux bien que l’on m’explique de qui il y est question. De plus, vous avez certainement remarqué qu’il est aussi écrit qu’en lui (Jésus)ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles. Au cas où celui qui lit n’aurait pas compris que Jésus est LE CREATEUR du ciel et de la terre, il est aussi écrit que tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses et toutes choses subsiste en lui. De fait, cette dernière partie nous affirme que Jésus est DIEU, tout autant que DIEU, SON PERE, puisqu’il a tout créé, et, qu’il est le premier né, de toute la création, de même qu’un fils premier né d’un homme est autant un Humain que l’est son père.
Nous parlerons de l’humanité de Jésus plus tard.
Oui je sais.
Très certainement vous vous dites : affirmer de manière absolue que Jésus est le créateur du ciel et de la terre est un peu gros. Permettez-moi alors de partager avec vous ces textes de JEAN 1 : 1-4, 9-10,14-15 « Au commencement était la Parole ; la Parole était auprès de Dieu ; la Parole était Dieu. Elle était au commencement auprès de Dieu. Tout est venu à l’existence par elle, et rien n’est venu à l’existence sans elle. Ce qui est venu à l’existence en elle était vie, et la vie était la lumière des humains. La Parole était la vraie lumière, celle qui éclaire tout humain ; elle venait dans le monde. Elle était dans le monde, et le monde est venu à l’existence par elle, mais le monde ne l’a jamais connue. La Parole est devenue chair ; elle a fait sa demeure parmi nous, et nous avons vu sa gloire, une gloire de Fils unique issu du Père ; elle était pleine de grâce et de vérité. Jean (Jean-Baptiste) lui rend témoignage, il s’est écrié : C’était de lui que j’ai dit : Celui qui vient derrière moi est passé devant moi, car, avant moi, il était.
(NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.1.1-15.NBS
Beaucoup de gens trouvent ce texte de la Bible curieux, en ce que Jésus ici est appelé la Parole qui était auprès de DIEU et qui est Dieu possédant la vie en elle.
Nous lisons dans GENESE 1 : 1-5, ce qui suit : « Au commencement Dieu créa le ciel et la terre. La terre était un chaos, elle était vide ; il y avait des ténèbres au-dessus de l’abîme, et le souffle de Dieu tournoyait au-dessus des eaux. Dieu dit : Qu’il y ait de la lumière ! Et il y eut de la lumière. Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière et les ténèbres. Dieu appela la lumière « jour », et il appela les ténèbres « nuit ». Il y eut un soir et il y eut un matin : premier jour ». ( NBS )
https://bible.com/bible/104/gen.1.1-5.NBS
Nous lisons dans ce texte, Au commencement Dieu créa le ciel et la terre, et aussi, Dieu dit. Nous avons tendance à oublier que dans la Bible Dieu parle à des humains, par des humains, et j’ai la faiblesse de croire qu’Il voudrait que les humains le comprennent quand Il s’adresse à eux.
Alors dites-moi. Parler n’est-ce pas dire quelque chose ?
La capacité de parler, n’est-elle pas appelé : la parole ?
Sauf erreur de ma part, cela revient à dire, en comparant les textes de JEAN 1 :1-3, JEAN 3 :13-18, MATTHIEU 16 :13-17, HEBREUX 4 :14,15, et GENESE 1 :1,3, que lorsque la Bible dit que la Parole a tout créé et que la Parole a pu créer parce qu’elle est DIEU, cela est vrai.
Mais qu’est-il écrit dans la Bible, qu’aurait dit Jésus de lui-même ?
Nous lisons dans JEAN 17 : 1-3, ce qui suit. « Après avoir parlé ainsi, Jésus leva les yeux au ciel et dit : Père, l’heure est venue. Glorifie ton Fils, pour que le Fils te glorifie, et que, comme tu lui as donné
pouvoir sur tous, il donne la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés. Or la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.
(NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.17.1-3.NBS
Dans ce texte, Jésus déclare que Dieu son Père lui a donné pouvoir sur tous, et de ce fait, il à le pouvoir de donner la vie éternelle à tous ceux que Dieu son Père lui a donné. De plus il affirme que Dieu son Père, est le seul vrai DIEU. Je ne sais quel effet a sur vous, l’affirmation par Jésus, que son Père est le seul vrai Dieu, mais une chose est sure, pour moi, elle m’interpelle au plus haut point. Cela revient à dire que, contrairement à la croyance populaire, DIEU LE PERE est le seul être à devoir son existence de quiconque. Alors que Jésus doit la sienne à DIEU son PERE, parce qu’il est le premier né de toute la création.
Puis nous lisons dans JEAN 17 : 5 « Et maintenant, toi, Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde soit ».
(NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.17.5.NBS
Ce verset affirme sans aucun doute possible, que Jésus a une préexistence, parce qu’il demande à son Père de le glorifier de la gloire qu’il avait auprès de LUI avant que le monde soit créé.
Comment me direz-vous, puis-je être aussi catégorique ?
Souvenez-vous de ce que dit Jean 1 : 14 « La Parole est devenue chair ; elle à fait sa demeure parmi nous, et nous avons vu sa gloire, une gloire de Fils unique issu du Père ; elle était pleine de grâce et de vérité ».
(NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.1.14.NBS
En fait, dans ce texte, l’apôtre Jean nous dit que Jésus qui est la Parole de Dieu dans le ciel est devenue chair, en ce qu’il a prit forme humaine en s’incarnant, et il ajoute, qu’avec d’autres il a vu la gloire de Jésus, la gloire du Fils unique issu du Père.
Jésus lui-même dit aux disciples son origine Divine, et ceux-ci croient ce qu’il dit en affirmant être sorti du Père dans JEAN 16 : 25-30 « Je vous ai dit tout cela en discours figurés. L’heure vient où je ne vous tiendrai plus de discours figurés, mais où je vous annoncerai ouvertement ce qui concerne le Père. En ce jour-là, vous demanderez en mon nom, et je ne vous dis pas que c’est moi qui demanderai au Père pour vous ; en effet, le Père lui-même est votre ami, parce que, vous, vous avez été mes amis et vous avez acquis la conviction que, moi, je suis sorti de Dieu. Je suis sorti du Père et je suis venu dans le monde ; maintenant, je quitte le monde et je vais vers le Père. Ses disciples disent : Maintenant, tu parles ouvertement et tu ne tiens plus de discours figurés. Maintenant, nous savons que tu sais tout et que tu n’as pas besoin que personne ne t’interroge ; c’est pourquoi nous croyons que tu es sorti de Dieu ». (NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.16.25-30.NBS
Dans la mesure où il nous a été souvent répété que Jésus est Dieu, et, qu’il est l’Eternel, nous avons du mal à croire que Jésus ait pu être enfanté en tant que Dieu. D’autant que dans la Bible, il n’est fait mention de l’existence de sa Mère dans le ciel de manière explicite.
Je sais qu’il est curieux de dire que JESUS soit né d’une MERE, dans sa préexistence en tant que DIEU.
Il y a cet autre texte que je veux partager avec vous, qui devrait vous convaincre, si cela n’est pas encore fait , que Jésus en tant que Dieu a été enfanté sans aucun doute possible.
Le seul obstacle à la conviction de l’enfantement de Jésus en tant que Dieu, ne peut être que de vous. Je vous comprends, parce qu’il n’est pas aisé de changer de croyance, lorsque pendant des années il vous a été enseigné son contraire.
Ce texte se trouve dans le livre des PROVERBES, concernant la Sagesse, où tous les théologiens s’accordent à reconnaitre, que ce texte de PROVERBES 8 : 4, 6-17, 22-31, fait référence à Jésus, dans sa préexistence en tant que Dieu, longtemps avant son incarnation, pour être fils de l’Homme. Vous pourrez lire tout le chapitre 8, mais je partagerai avec vous les parties essentielles du chapitre 8, concernant la Divinité de Jésus, à partir des traductions NBS 2002 et LOUIS SEGOND 1910. Voici ce qui y est écrit. Je cite « Hommes, c’est vers vous que je crie, c’est aux humains que je m’adresse ! Ecoutez, car j’ai des choses importantes à dire, et mes lèvres s’ouvrent pour enseigner ce qui est droit. Car ma bouche murmure la vérité, mais la méchanceté est une abomination pour mes lèvres ; toutes les paroles de ma bouche sont justes, elles n’ont rien de retors, rien de tortueux ; toutes sont claires pour celui qui est intelligent, droites pour ceux qui ont trouvé la connaissance. Recevez mon instruction plutôt que de l’argent ; la connaissance plutôt que de l’or affiné ; car la sagesse vaut mieux que les coraux, aucun objet désirable n’a sa valeur. Moi, la sagesse, j’ai pour demeure l’esprit avisé, je sais trouver la connaissance de la réflexion. La crainte du Seigneur, c’est détester le mal ; la suffisance, l’orgueil, la voie mauvaise et la bouche perverse, je les déteste. Le conseil et la raison m’appartiennent ; je suis l’intelligence, la force m’appartient. C’est par moi que les rois règnent et que les princes légifèrent avec justice ; c’est par moi que gouvernent les chefs, les nobles, tous les juges de la terre. Moi, j’aime ceux qui m’aiment, et ceux qui me cherchent me trouvent. Le Seigneur m’a produite comme le commencement de sa voie, avant ses œuvres du temps jadis. Je suis investie depuis toujours, depuis le commencement, depuis l’origine de la terre. J’ai été mise au monde quand il n’y avait pas d’abîmes, pas de sources chargées d’eaux ; avant que les montagnes soient en place, avant les collines j’ai été mise au monde ; il n’avait encore fait ni la terre, ni les campagnes, ni le premier grain de la poussière du monde. Lorsqu’il installa le ciel, j’étais là ; lorsqu’il traça un horizon sur l’abîme, lorsqu’il fixa les nuages en haut et que les sources de l’abîme jaillirent avec force, lorsqu’il assigna à la mer ses limites, pour que les eaux n’en passent pas les bords, lorsqu’il traça les fondations de la terre, j’étais à ses côtés comme un maître d’œuvre, je faisais jour après jour ses délices, jouant devant lui en tout temps, jouant avec le monde, avec sa terre, et trouvant mes délices parmi les humains ».
(NBS) https://bible.com/bible/104/pro.8.4-31.NBS
Hommes, c’est à vous que je crie, Et ma voix s’adresse aux fils de l’homme. Écoutez, car j’ai de grandes choses à dire, Et mes lèvres s’ouvrent pour enseigner ce qui est droit. Car ma bouche proclame la vérité, Et mes lèvres ont en horreur le mensonge ; Toutes les paroles de ma bouche sont justes, Elles n’ont rien de faux ni de détourné ; Toutes sont claires pour celui qui est intelligent, Et droites pour ceux qui ont trouvé la science. Préférez mes instructions à l’argent, et la science à l’or le plus précieux ; Moi, la sagesse, j’ai pour demeure le discernement, Et je possède la science de la réflexion. La crainte de l’Éternel, c’est la haine du mal ; L’arrogance et l’orgueil, la voie du mal, Et la bouche perverse, voilà ce que je hais. Le conseil et le succès m’appartiennent ; Je suis l’intelligence, la force est à moi. J’aime ceux qui m’aiment, Et ceux qui me cherchent me trouvent. Je marche dans le chemin de la justice, au milieu des sentiers de la droiture, L’Éternel m’a créée la première de ses œuvres, Avant ses œuvres les plus anciennes.
J’ai été établie depuis l’éternité, Dès le commencement, avant l’origine de la terre. Je fus enfantée quand il n’y avait point d’abîmes, Point de sources chargées d’eaux ; Avant que les montagnes soient affermies, Avant que les collines existent, je fus enfantée ; Il n’avait encore fait ni la terre, ni les campagnes, Ni le premier atome de la poussière du monde. Lorsqu’il disposa les cieux, j’étais là; Lorsqu’il traça un cercle à la surface de l’abîme, Lorsqu’il fixa les nuages en haut, Et que les sources de l’abîme jaillirent avec force, Lorsqu’il donna une limite à la mer, Pour que les eaux n’en franchissent pas les bords, Lorsqu’il posa les fondements de la terre, J’étais à l’œuvre auprès de lui, Et je faisais tous les jours ses délices, Jouant sans cesse en sa présence, Jouant sur le globe de sa terre, Et trouvant mon bonheur parmi les fils de l’homme. Et maintenant, mes fils, écoutez-moi, et heureux ceux qui observent mes voies ! Écoutez l’instruction, pour devenir sages, Ne la rejetez pas. Heureux l’homme qui m’écoute, Qui veille chaque jour à mes portes, et qui en garde les poteaux ! Car celui qui me trouve a trouvé la vie, et il obtient la faveur de l’Éternel. Mais celui qui pèche contre moi nuit à son âme ; tous ceux qui me haïssent aiment la mort. (LSG) https://bible.com/bible/93/pro.8.4-36.LSG
Dans mon blog, yeshua-jptm.com, il y a un chapitre dans lequel je traite du sujet de la TRINITE de manière approfondie, uniquement à partir de textes Bibliques. Mais je voudrais succinctement, vous démontrer, toujours par la Bible premièrement, de manière explicite et implicite, que le fait que Jésus ait une MERE dans sa préexistence en tant que Dieu, n’est pas si farfelu que cela, si l’on prend la peine de réfléchir un peu, ce qui ne nous est pas toujours permis, par nos chefs religieux généralement. Pour bien comprendre que Jésus a une MERE en tant que DIEU dans le ciel, avant son incarnation, il faut remonter, dans la lecture de la Bible, à l’origine de la création des humains dans GENESE 1 : 26-28. Il y est écrit que Dieu dit « Faisons les humains à notre image, selon notre ressemblance, pour qu’ils dominent sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre et sur toutes les bestioles qui fourmillent sur la terre. Dieu créa les humains à son image : il les créa à l’image de Dieu ; homme et femme il les créa. Dieu les bénit ; Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tous les animaux qui fourmillent sur la terre.
(NBS) https://bible.com/bible/104/gen.1.26-28.NBS
A la lecture de ce texte, il est difficile de ne pas remarquer que le verbe faire dans la phrase, de GENESE 1 : 26, est à la première personne du pluriel (faisons). Sauf erreur de ma part, parce que je peux me tromper, cela revient à dire que contrairement à ce qui nous est enseigné depuis toujours, il y a une pluralité au sein de la Divinité, ou plus précisément, la Divinité est plurielle. Je veux pour preuve, que dans ce texte de GENESE 1 : 26, il est écrit, je cite, Dieu dit faisons les humains à notre image, selon notre ressemblance. Puis, dans GENESE 1 : 27, Dieu créa les humains à son image ; il les créa à l’image de Dieu ; homme et femme il les créa.
Vous êtes en droit de savoir que dans le texte original en Hébreux, il n’est pas écrit homme et femme il les créa, mais mâle et femelle il les créa.
Lors de différentes discussions concernant l’image et la ressemblance de l’Homme (les humains) d’avec Dieu, il est très souvent cité le texte Biblique faisant référence à l’image de l’homme d’avec Dieu, et pas celui citant la ressemblance de l’homme d’avec Dieu. Vous avez certainement remarqué, que j’écris le mot HOMME avec un H majuscule, ou un h minuscule. Il se trouve que dans la langue Française, lorsque l’on écrit le mot HOMME avec un H majuscule, comme suit, Homme, le mot Homme fait référence aux HUMAINS, c’est-à-dire, l’homme et la femme, soit le masculin et le féminin, ou le male et la femelle chez les humains. Et lorsque le mot HOMME est écrit avec un h minuscule, comme suit, homme, il fait référence à l’être humain masculin, soit l’être humain male.
N’étant pas linguiste, j’ignore si cette subtilité de l’orthographe du mot HOMME, dans la langue Française, existe dans d’autres langues, mais je dois reconnaitre que dans la traduction en langue Anglaise, KING JAMES, les mots homme et femme, de la traduction Française, sont traduits MALE and FEMALE, comme dans l’original Hébreux. Cela prouve que dans les traductions Françaises, un gros effort reste à faire, afin de rendre à Dieu ce qui lui appartient en cette matière. Cela dit, certaines traductions Françaises essaient de faire des efforts, pour être plus prêt du texte original, mais cela n’est pas suffisant, parce que malgré tous ces efforts, l’ambigüité sur la Divinité demeure, et rend difficile le fait de bien connaitre Dieu.
Si l’on considère que les humains, l’homme et la femme, sont créés à l’image et à la ressemblance de la Divinité, physiquement, cela revient à dire que les humains sont comme Dieu physiquement, sexués mâle et femelle, telles les images ressemblantes des humains renvoyé par un miroir.
Jugez-en plutôt.
Lorsque vous vous regardez dans un miroir, l’image de vous que vous renvoie le miroir, vous ressemble-t-elle ? Supposons qu’avant de partir de chez vous, vous ayant bien regardez, sinon admirez, dans le miroir qui se trouve à l’entrée de chez vous, vous vous êtes trouvé impeccablement mis, ou mise. Quelques instants plus tard, quelque chose tombant sur votre visage, vous l’essuyez rapidement, sans que vous ayez un miroir pour vérifier que vous vous êtes bien nettoyé. Comment sauriez-vous que vous reflétez toujours la même image que vous aviez vu, de vous, juste avant de sortir de chez vous ? Si vous vous êtes mal nettoyé, à cout sur vous ne reflétez plus la même image, en ce que tous ceux qui vous croiserons ne vous verrons pas de l’image que vous avez de vous, qui est celle que vous avez vu, avant de sortir de chez vous. De fait, lorsque je lis que Dieu dit faisons les humains à notre image selon notre ressemblance. Ce que je comprends, mais je peux me tromper, est que l’homme et la femme ont été créé à l’image et à la ressemble à Dieu, d’abord physiquement, avec tous les attributs physiques des humains, leur sexe mâle et femelle compris. L’homme et la femme sont l’image et la ressemblance de Dieu, physiquement, ce qu’est l’image dans le miroir à la ressemblance de l’homme ou la femme qui est face à lui. De cette compréhension, il n’est donc pas étonnant pour moi, et j’espère qu’il en est de même pour vous, que Dieu ait un Fils ; parce que je crois que tout comme l’homme et la femme, la Divinité est sexuée, Mâle et Femelle, donc capable d’enfanter. N’oublions pas qu’il est écrit dans JEAN 1 : 1- 4 Au commencement était la Parole ; la Parole était auprès de Dieu ; la Parole était Dieu. Elle était au commencement auprès de Dieu. Tout est venu à l’existence par elle, et rien n’est venu à l’existence sans elle. Ce qui est venu à l’existence en elle était vie, et la vie était la lumière des humains. Puis dans JEAN 1 : 14, La Parole est devenue chair ; elle a fait sa demeure parmi nous, et nous avons vu sa gloire, une gloire de Fils unique issu du Père ; elle était pleine de grâce et de vérité. En fait, la Bible dit qu’au commencement de la vie il y a DIEU, et que Jésus, Parole et Fils de Dieu, auprès de Dieu, a tout créé.
Alors pourquoi, me direz-vous, le mot DIEU est-il au singulier, et pas au pluriel ?
Jésus lui-même dit dans MATTHIEU 28 :18 « Jésus s'approcha et leur dit : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre ». (BFC)
https://bible.com/bible/63/mat.28.18.BFC
Dans JEAN 8 : 28-29 « Jésus leur dit alors : Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, vous reconnaîtrez que “je suis” ; vous reconnaîtrez que je ne fais rien par moi-même : je dis seulement ce que le Père m'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi ; il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui plaît.»
https://bible.com/bible/63/jhn.8.28-29.BFC
Dans JEAN 14 : 28-31 Jésus dit : « Vous avez entendu que, moi, je vous ai dit : Je m’en vais et je viens à vous. Si vous m’aimiez, vous vous réjouiriez de ce que je vais vers le Père, car le Père est plus grand que moi. Je vous ai dit ces choses maintenant, avant qu’elles n’arrivent, pour que, lorsqu’elles arriveront, vous croyiez. Je ne parlerai plus guère avec vous, car le prince du monde vient. Il n’a rien en moi qui lui appartienne, mais c’est pour que le monde sache que j’aime le Père et que je fais ce que le Père m’a commandé. Levez-vous, partons d’ici »
(NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.14.28-31.NBS
Dans JEAN 5 : 36 Jésus dit encore : « Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean (Jean-Baptiste) ; en effet, les œuvres que le Père m’a données à accomplir, ces œuvres mêmes, que je fais, me rendent témoignage, attestant que le Père m’a envoyé. (NBS)
https://bible.com/bible/104/jhn.5.36.NBS
Dans JEAN 15 : 15 Jésus dit aussi :« Je ne vous appelle plus esclaves, parce que l’esclave ne sait pas ce que fait son maître. L’esclave ne sait pas ce que fait son maître. Je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai entendu de mon Père. » (NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.15.15.NBS
Dans JEAN 12 : 44-50, Jésus dit encore « Celui qui met sa foi en moi, ce n’est pas en moi qu’il met sa foi, mais en celui qui m’a envoyé ; et celui qui me voit, voit celui qui m’a envoyé. Moi, la lumière, je suis venu dans le monde, pour que quiconque met sa foi en moi ne demeure pas dans les ténèbres. Si quelqu’un entend mes paroles et ne les garde pas, moi, je ne le juge pas, car je ne suis pas venu pour juger le monde, mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a bien un juge : c’est la parole que j’ai dite qui le jugera au dernier jour. Car moi, je n’ai pas parlé de ma propre initiative ; c’est le Père, qui m’a envoyé, qui m’a donné lui-même un commandement sur ce que je dois dire et ce dois parler dont je. Et je sais que son commandement est vie éternelle. Ainsi, ce dont, moi, je parle, j’en parle comme le Père me l’a dit. »
(NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.12.44-50.NBS
Aussi je partage ce texte de JEAN 14 : 10 avec vous dans lequel Jésus dit ce qui suit. « Ne crois-tu pas que, moi, je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que, moi, je vous dis, je ne les dis pas de ma propre initiative ; c’est le Père qui, demeurant en moi, fait ses œuvres. » (NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.14.10.NBS
Nous avons vu que Jésus est sans aucun doute possible, Fils de Dieu et créateur du ciel et de la terre. Jésus dit aussi qu’il doit son existence à Dieu son Père qui est plus grand que lui, qui lui a donné toute autorité dans le ciel et sur la terre. Je pourrais vous citer d’autres textes de la Bible, pour essayer de vous convaincre de l’origine céleste de Jésus, mais il est tout aussi important que vous sachiez, la raison d’être de Jésus.
Dans le texte de JEAN 3 : 13 à 21, jésus nous annonce la raison de son existence, qui devrait nous interpeller, et nous aider à prendre position de manière radicale pour Dieu en réponse à son Amour infini. Nous lisons donc, « Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut, de même, que le Fils de l’homme soit élevé, pour que quiconque croit ait en lui la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que par lui le monde soit sauvé. Celui qui met sa foi en lui n’est pas jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas mis sa foi dans le nom du Fils unique de Dieu. Et voici le jugement : la lumière est venue dans le monde, et les humains ont aimé les ténèbres plus que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque pratique le mal déteste la lumière ; celui-là ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées ; mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu’il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en Dieu. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/jhn.3.13-21.NBS
Nous voyons dans ce texte que la raison d’être de Jésus est de venir faire la volonté de Dieu son Père, qui est de donner à tous les humains la possibilité de choisir d’être sauvé par Lui.
De quoi Jésus et Dieu son Père veulent ils sauver les humains ?
Il est écrit dans ROMAINS 6 : 23 « Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de la grâce, le don de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ, notre Seigneur.
(NBS) https://bible.com/bible/104/rom.6.23.NBS
Ce texte nous dit que le salaire du péché c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu est la vie éternelle en Jésus-Christ notre sauveur.
Jésus et Dieu son Père veulent nous délivrer du péché et de la mort.
Qu’est-ce que le péché ?
Il est écrit dans 1 JEAN 3 : 4 de la traduction Biblique LOUIS SEGOND « Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi ». (LSG)
https://bible.com/bible/93/1jn.3.4.LSG
Dans la traduction NOUVELLE BIBLE SEGOND ce même texte est traduit de manière plus explicite, je cite « Quiconque fait le péché fait aussi le mal ; c’est le péché qui est le mal. (NBS)
https://bible.com/bible/104/1jn.3.4.NBS
Le péché est faire le mal, ou, la transgression de la LOI. De quelle loi s’agit-il ?
Il est écrit dans ROMAINS 7 : 7-8 « Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché ? Jamais de la vie ! Mais je n’ai connu le péché que par la loi. Ainsi, je n’aurais pas su ce qu’était le désir si la loi n’avait pas dit : Tu ne désireras pas. Alors le péché, profitant de l’occasion, a produit en moi, par le commandement, toutes sortes de désirs ; en effet, en dehors de la loi, le péché est mort. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/rom.7.7-8.NBS
Nous lisons dans ce texte, que le péché est la transgression de la loi des Dix Commandements, car un des Dix Commandements y est cité « Tu ne désireras pas, ou plus précisément, Tu ne convoiteras pas » Oui je sais, vous vous demandez comment le fait de désirer une chose est un péché ? Sachez que le commandement : Tu ne désireras pas, ou Tu ne convoiteras pas, que l’on trouve dans EXODE 20 : 17, dit précisément, «Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien de ce qui appartient à ton prochain. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/exo.20.17.NBS
Cela revient à dire qu’il n’est bien de désirer, ou convoiter, ce qui appartient à autrui, au point de tout faire pour le, ou la posséder. Afin de vous aider à y voir plus claire, je partage avec vous l’intégralité de la LOI des DIX COMMANDEMNTS, qui se trouve dans EXODE 20 : 3 – 17. Je cite « Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi. Tu ne te feras pas de statue, ni aucune forme de ce qui est dans le ciel, en haut, de ce qui est sur la terre, en bas, ou de ce qui est au-dessous de la terre, dans les eaux. Tu ne te prosterneras pas devant ces choses-là et tu ne les serviras pas ; car moi, le Seigneur (YHWH), ton Dieu, je suis un Dieu à la passion jalouse, qui fais rendre des comptes aux fils pour la faute des pères, jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me détestent, mais qui agis avec fidélité jusqu’à la millième génération envers ceux qui m’aiment et qui observent mes commandements. Tu n’invoqueras pas le nom du Seigneur (YHWH), ton Dieu, pour tromper : le Seigneur ne tiendra pas pour innocent celui qui invoquera son nom pour tromper. Souviens-toi du sabbat, pour en faire un jour sacré. Pendant six jours tu travailleras, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour, c’est un sabbat pour le Seigneur, ton Dieu : tu ne feras aucun travail, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni tes bêtes, ni les immigrés qui sont dans tes villes. Car en six jours le Seigneur a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve, et il s’est reposé le septième jour. C’est pourquoi le Seigneur a béni le sabbat et en a fait un jour sacré. Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent sur la terre que le Seigneur, ton Dieu, te donne.Tu ne commettras pas de meurtre. Tu ne commettras pas d’adultère. Tu ne commettras pas de vol. Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain. Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien de ce qui appartient à ton prochain ». (NBS)
https://bible.com/bible/104/exo.20.2-17.NBS
La LOI des Dix Commandements, n’est pas la seule LOI que Dieu a donné dans la Bible. Toutes les LOIS données par Dieu aux humains, leurs sont données pour qu’ils vivent heureux sur la terre, en attendant que Dieu les reçoive dans le ciel, puis sur la Nouvelle Terre que créera Dieu, après avoir détruit le péché, la mort et cette terre.
De qu’elle mort Jésus et Dieu son Père veulent ils nous délivrer ?
Nous avons lu dans ROMAINS 6 : 23, que le salaire du péché c’est la mort, mais la notion humaine de la mort n’est pas celle de Dieu. Ce que nous appelons mort n’est qu’un sommeil pour Dieu, parce qu’il est écrit dans JEAN 11 : 11-14 « Après avoir dit cela, il (Jésus)ajoute : Lazare, notre ami, s’est endormi, mais je vais le réveiller de son sommeil. Les disciples lui dirent : Seigneur, s’il s’est endormi, il est sauvé ! Jésus avait parlé de sa mort, mais eux pensèrent qu’il parlait d’un simple sommeil. Alors Jésus leur dit ouvertement : Lazare est mort. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/jhn.11.11-14.NBS
Cela dit, il est aussi écrit dans 1 THESSALONICIENS 4 : 13-18 « Nous (les disciples) ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui se sont endormis dans la mort, afin que vous ne vous attristiez pas comme les autres, qui n’ont pas d’espérance. En effet, si, comme nous le croyons, Jésus est mort et s’est relevé, alors, par Jésus, Dieu réunira aussi avec lui ceux qui se sont endormis. Voici en effet ce que nous vous disons – c’est une parole du Seigneur : nous, les vivants qui restons jusqu’à l’avènement du Seigneur, nous ne
devancerons en aucun cas ceux qui se sont endormis. Car le Seigneurlui-même, avec un cri de commandement, avec la voix d’un archange, avec le son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et ceux qui sont morts dans le Christ se relèveront d’abord. Ensuite, nous, les vivants qui restons, nous serons enlevés ensemble avec eux, dans les nuées, à la rencontre du Seigneur, dans les airs ; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Encouragez-vous donc les uns les autres par ces paroles. » (NBS) https://bible.com/bible/104/1th.4.13-18.NBS
A la lecture de ces deux textes, nous voyons que Jésus et les disciples sont d’accord pour dire que ce que nous appelons mort n’est qu’un sommeil. À ceux qui doute de la véracité de la résurrection des morts, plus précisément de ceux qui sont endormis, voici ce que nous lisons dans 1CORINTHIENS 15 : 16-23 « En effet, si les morts ne se réveillent pas, le Christ non plus ne s’est pas réveillé. Et si le Christ ne s’est pas réveillé, votre foi est futile, vous êtes encore dans vos péchés et ceux qui se sont endormis dans le Christ sont perdus. Si c’est pour cette vie seulement que nous avons mis notre espérance dans le Christ, nous sommes les plus pitoyables de tous. Mais le Christ s’est bel et bien réveillé d’entre les morts : il est les prémices de ceux qui se sont endormis. Car, puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. En effet, comme tous meurent en Adam, de même aussi tous seront rendus vivants dans le Christ, mais chacun en son rang : le Christ comme prémices, puis, à son avènement, ceux qui appartiennent au Christ. » (NBS)
De manière concrète, quand les morts, ou, ceux qui sont endormis, ressusciteront-il ?
Il est écrit dans APOCALYPSE 20 : 1-6, ce qui suit. « Alors je vis descendre du ciel un ange qui tenait la clef de l’abîme et une grande chaîne à la main. Il saisit le dragon, le serpent d’autrefois, qui est le diable et le Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l’abîme, qu’il ferma et scella au-dessus de lui, pour qu’il n’égare plus les nations jusqu’à ce que les mille ans soient achevés. Après cela, il faut qu’il soit relâché pour un peu de temps. Je vis des trônes. À ceux qui s’y assirent fut donné le pouvoir de juger. Je vis aussi les âmes de ceux qui avaient été décapités à la hache à cause du témoignage de Jésus et de la parole de Dieu, et ceux qui ne s’étaient pas prosternés devant la bête ni devant son image et qui n’avaient pas reçu la marque sur le front ni sur la main. Ils reprirent vie et ils régnèrent avec le Christ pendant mille ans. Les autres morts ne reprirent pas vie jusqu’à ce que les mille ans soient achevés. C’est la première résurrection. Heureux et saint qui a part à la première résurrection ! Sur ceux-là la seconde mort n’a pas de pouvoir, mais ils seront prêtres de Dieu et du Christ, et ils régneront avec lui pendant les mille ans. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/rev.20.1-6.NBS
A la lecture de ce texte, nous voyons qu’il y aura une seconde mort.
Quelle est cette seconde mort ? Et quand sera-t-elle ?
Nous lisons dans APOCALYPSE 20 : 7-15. « Quand les mille ans seront achevés, le Satan sera relâché de sa prison, et il sortira pour égarer les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre. Leur nombre est comme le sable de la mer. Ils montèrent sur toute la surface de la terre et ils investirent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel et les dévora. Le diable qui les égarait fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont la bête et le prophète de mensonge. Ils seront tourmentés jour et nuit, à tout jamais. Alors je vis un grand trône blanc et celui qui y était assis. La terre et le ciel s’enfuirent devant lui, et il ne se trouva plus de place pour eux. Alors je vis les morts, les grands et les petits, debout devant le trône. Des livres furent ouverts, et un autre livre fut ouvert, qui est le livre de la vie. Les morts furent jugés d’après ce qui était écrit dans les livres, selon leurs œuvres. La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux, et ils furent jugés, chacun selon ses œuvres. La mort et le séjour des morts furent jetés dans l’étang de feu. L’étang de feu, c’est la seconde mort. Quiconque ne fut pas trouvé inscrit dans le livre de la vie fut jeté dans l’étang de feu. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/rev.20.7-15.NBS
Nous avons vu que Jésus et Dieu son Père veulent nous délivrer de la mort qui sera au jugement dernier. Ceux qui sont morts, ou, endormis en Jésus, c’est-à-dire dans la foi en son prochain retour, ressusciteront à la première résurrection, alors que ceux qui sont morts, ou, endormis non croyants au retour de Jésus, ressusciteront après les mil ans, pendant lesquels ils seront jugés par Dieu le Père, Jésus et ceux qui ressusciteront à la première résurrection. Ceux donc qui se sont endormis et ne croyaient pas au prochain retour de Jésus, ressusciteront à la deuxième résurrection et seront jetés dans ce que la Bible appelle l’étant de feu, en compagnie de Satan, le faux prophète, la mort et le séjour des morts. En résumé, la mort que Dieu le Père et Jésus veulent nous épargner est la seconde mort, que nous pouvons sans l’ombre d’un doute dire que c’est elle la véritable mort, parce qu’il est écrit que quiconque ne fut pas trouvé inscrit dans le livre de la vie fut jeté dans l’étang de feu.
Souvenez-vous qu’il est aussi écrit, heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! la seconde mort na point de pouvoir sur eux. Ce qui revient à dire que ceux qui seront de la première résurrection, ne pourront connaitre la seconde mort. Donc ils vivront une vie sans fin auprès de Dieu le Père, Jésus, et toute la création, qui n’a point connue le péché.
Que font Dieu le Père et Jésus, pour nous épargner la seconde mort ?
Nous lisons dans JEAN 3 : 16 Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. (LSG) https://bible.com/bible/93/jhn.3.16-17.LSG
Nous lisons aussi, que Jésus dit dans JEAN 10 : 11 « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. » (LSG)
https://bible.com/bible/93/jhn.10.11.LSG
Au versets 14,15 de JEAN 10, Jésus ajoute « Je connais mes brebis, et elles me connaissent, comme le Père me connaît et comme je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. » (LSG)
https://bible.com/bible/93/jhn.10.14-15.LSG
Un lecteur attentif est en droit de se poser les questions suivantes.
Qui donne la vie de Jésus ? Dieu le Père, ou Jésus son Fils ?
Parce que nous lisons dans la Bible, que Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son fils unique, et d’autre part, le Fils, Jésus, dit que c’est lui qui donne sa vie pour ses brebis, il est important d’être éclairé sur ce point.
A la lecture de ce texte, il est aisé de comprendre que le Père et le Fils peuvent revendiquer le salut de l’humanité, dans la mesure où chacun fut d’accord que seule la mort de Dieu lui-même, en la personne de Jésus, pouvait réintégrer Adam, Eve, et leur descendance dans une relation intime avec la Divinité, comme cela a été voulu par Dieu le Père et son Fils à la création de ceux-ci. D’ailleurs Jésus dit dans JEAN 10 : 17,18 « Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même ; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre : tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père. (LSG)
https://bible.com/bible/93/jhn.10.17-18.LSG
Il est aussi écrit dans 2 CORITHIENS 5 :17-19 « Si quelqu’un est dans le Christ, c’est une création nouvelle. Ce qui est ancien est passé : il y a là du nouveau. Et tout vient de Dieu, qui nous a réconcilié avec lui par le Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était dans le Christ, réconciliant le monde avec lui-même, sans tenir compte aux humains de leurs fautes, et mettant en nous la parole de la réconciliation. (NBS) https://bible.com/bible/104/2co.5.17-19.NBS
Permettez-moi la question suivante.
Lequel d’entre les humains qui a un unique enfant bien portant, accepterait que son enfant veuille mourir, pour que ses organes vitaux soient prélevés, pour permettre à une ou plusieurs personnes de continué à vivre ?
Je peux vous certifier que cette personne qui accepterait cela, n’est pas moi.
Ors c’est ce qu’a fait Dieu le Père, en répondant favorablement à la demande de Jésus de mourir à la place d’Adam et d’Eve, alors que ceux -ci sont coupables de désobéissance, sans aucun doute possible. De plus chacun de nous ayant hérité, d’Adam et d’Eve, cette tendance à désobéir aux commandements de Dieu, nous sommes condamnés à mourir, c’est à dire, incapable de vivre en présence de Dieu. Du fait de la sainteté de Dieu, le mal qui est en nous, rend impossible une vie en sa compagnie. Vous devez savoir, que cette tendance au mal est dans notre chair, et que pour vivre avec Dieu, le mal doit être détruit en nous, simplement en acceptant le salut que Dieu le Père et Jésus offrent à chaque être humain sur la terre. Cela semble trop simple pour être vrai, et pourtant c’est ce qu’il faut. Nous lisons dans MARC 2 : 16, 17 ce qui suit. « Les scribes des pharisiens, le voyant manger avec les collecteurs des taxes et les pécheurs, disaient à ses disciples : Pourquoi mange-t-il avec les collecteurs des taxes et les pécheurs ? Jésus, qui avait entendu, leur dit : Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. » (NBS) https://bible.com/bible/104/mrk.2.16-17.NBS
Chaque être humain par nature est pécheur, donc malade spirituellement parlant. Plus précisément, il désobéit naturellement aux commandements de Dieu. Cette tendance nous est naturelle, parce que venant de cet héritage obtenu, depuis la désobéissance volontaire, d’Adam et d’Eve. Soyez rassuré, la possibilité d’être délivré de cette malédiction, a été prévu par Dieu et son Fils, avant que rien ne soit créé par Dieu et Jésus; dans EPHESIENS 1 : 3-14 « Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes, dans le Christ. En lui, il nous a choisis avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et sans défaut devant lui. Dans son amour, il nous a destinés d’avance, par Jésus-Christ, à l’adoption filiale, pour lui, selon sa volonté bienveillante, afin de célébrer la gloire de sa grâce, dont il nous a comblés en son bien-aimé. En lui, (Jésus) nous avons la rédemption par son sang, le pardon des fautes selon la richesse de sa grâce, qu’il nous a octroyée abondamment, en toute sagesse et intelligence. Il nous a fait connaître le mystère de sa volonté, le projet bienveillant qu’il s’était proposé en lui, pour le réaliser quand les temps seraient accomplis : récapituler tout dans le Christ, ce qui est dans les cieux comme ce qui est sur la terre. En lui, nous avons aussi reçu notre part d’héritage, nous qui avons été destinés d’avance, selon le projet de celui qui opère en tout selon les décisions de sa volonté, à célébrer sa gloire, nous qui, d’avance, avons mis notre espérance dans le Christ. En lui, vous aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, la bonne nouvelle de votre salut, en lui, vous êtes venus à la foi et vous avez été scellés de l’Esprit Saint qui avait été promis et qui constitue les arrhes de notre héritage, pour la rédemption de ce qu’il s’est acquis, afin de célébrer sa gloire. » (NBS) https://bible.com/bible/104/eph.1.3-14.NBS
Lorsque l’Apôtre Paul écrit, En lui (en Jésus), il (Dieu le Père) nous a choisis avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et sans défaut devant lui. Dans son amour, il nous a destinés d’avance, par Jésus-Christ, à l’adoption filiale, il ne dit pas que Dieu le Père a décidé qui devait être sauvé de la mort au dernier jour, comme certains le croient, mais que Dieu le Père, dans sa préscience, savait avant la fondation du monde, qui accepterait le salut qu’il offre à tout le monde par Jésus. Donc, en accord avec Jésus son Fils, il décide avant la fondation du monde, de sauver ceux qui désireront être sauvé par le sacrifice de Jésus, en faveur de tous les humains. Je veux pour preuve cette affirmation, du texte de MATTHIEU 25 : 31-34, qui dit « Lorsque le Fils de l’homme (Jésus) viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s’assiéra sur son trône glorieux. Toutes les nations seront rassemblées devant lui. Il séparera les uns des autres comme le berger sépare les moutons des chèvres : il mettra les moutons à sa droite et les chèvres à sa gauche. Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : « Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; héritez le royaume qui a été préparé pour vous depuis la fondation du monde. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/mat.25.31-34.NBS
Nous voyons donc que Jésus et son Père aiment tous les humains, et veulent tous les sauver. Mais seuls ceux des humains qui voudront être sauvé de la mort au dernier jour, au retour de Jésus, vivront avec Jésus et son Père.
Vous avez certainement remarqué que Jésus parlant de lui-même dans la Bible, à plusieurs reprises, se nomme Fils de l’homme. Il est curieux qu’il se nomme ainsi, même lorsqu’il parle de son prochain retour en gloire, pour chercher ses frères humains qui ont accepté d’être sauvé par lui de la mort, pour vivre avec son Père et Lui. Je pense alors que comme moi, vous vous êtes posé la question suivante.
Pourquoi Jésus se nomme-t-il lui-même, Fils de l’homme ?
Pour répondre à cette question, il faut considérer en premier lieu, le texte de la Bible, ou Jésus dit de son incarnation la chose suivante dans JEAN 16 : 28, « Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde ; maintenant je quitte le monde, et je vais vers Père. » (NBS)
https://bible.com/bible/93/jhn.16.28.(NBS)
En effet dans ce texte, deux choses sont mises en lumière par Jésus.
1°- Que Jésus est né de DIEU le Père, car il dit : Je suis sorti du Père ! Le mot sorti (le verbe sortir) dans le texte en grec est : Exerchomai, qui peut être aussi traduit par : Venir physiquement, être né de (BibleStrongApphttps://play.google.com/store/apps/details ? id=com. smontlouis. Bible strong) 2°- Puis que Jésus soit venu dans le monde, car il dit aussi : Je suis venu dans le monde ! Le mot venu (le verbe venir) dans le texte en grec est : Erchomai, qui peut être aussi traduit par : arriver d’un lieu vers un autre, arriver dans la vie, se montrer.
(BibleStrongApphttps://play.google.com/store/apps/details?id=com.smontlouis.biblestrong)
Enfin le mot, et, qui est une conjonction, indique une addition de faits soit : sortir du Père, et, venir dans le monde.
Devant cette évidence, comment douter que Jésus soit né de DIEU le Père, donc a une préexistence en tant que DIEU, et soit ensuite venu dans le monde s’incarnant en naissant d’une femme, et par cela devenir un humain ?
J’ai souvent entendu dire que parce que l’ange Gabriel dit à Marie dans LUC 1 : 35 « L’Esprit saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi l’enfant qui naîtra sera saint ; il sera appelé Fils de Dieu. (NBS)
https://bible.com/bible/104/luk.1.35.NBS,
Cela veut dire que c’est le Saint-Esprit troisième personne de la trinité qui a conçu Jésus dans le sein de Marie. S’il en est véritablement ainsi, lorsque Jésus dit : Je suis venu dans le monde, il ment. Ors nous avons vu que Jésus n’a jamais commis de péché. Donc Jésus ne ment pas quand il dit : je suis venu dans le monde. Dois-je vous rappeler que le mot Esprit dans le nouveau testament, est dans ce verset de l’original grec, Pneuma : qui peut être traduit par Souffle, vent, air, entre autres.
(BibleStrongApphttps://play.google.com/store/apps/details?id=com.smontlouis.biblestrong)
Il faut donc comprendre dans l’affirmation de l’ange Gabriel : le Saint-Esprit viendra sur toi, le Souffle Sacré, ou le Souffle de DIEU viendra sur toi.
De plus, en disant être venu dans le monde, Jésus dit tout simplement, de ma situation de DIEU, je suis passé à celle d’humain.
Aux scribes et aux pharisiens, qui cherchaient un prétexte pour le faire mourir, Jésus dit ce qui suit dans JEAN 8 :42 « Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez ; car, moi, c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens ; je ne suis pas venu de moi-même, mais c’est lui qui m’a envoyé. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/jhn.8.42.NBS
En disant que c’est DIEU son Père qui l’a envoyé sur la terre, Jésus affirme que c’est lui qui vient du ciel sur la terre, parce que DIEU son Père, duquel il est sorti l’y a envoyé. S’il est vrai que c’est par le Saint-Esprit troisième personne de la trinité, selon ce que disent certains, que Jésus s’est incarné, cela revient à dire que dans le ciel Jésus serait entré dans le Saint-Esprit, troisième être de la trinité selon la croyance trinitaire humaine, qui rappelons-le est une hérésie, l’utilisant comme véhicule pour venir sur la terre, puis sorti de celui-ci pour pénétrer le sein de Marie jusqu’à son utérus, y rester neuf mois, et naitre comme tous les humains. Chacun étant libre de croire ce qu’il veut, pour ce qui me concerne, j’ai du mal à adhérer à cette hypothèse, car je préfère croire que Jésus effectivement est d’abord né de DIEU, puis en personne Divine est venu sur la terre, sans l’aide de ce troisième être de la divinité, s’incarner en pénétrant le sein de Marie jusqu’à son utérus, pour naitre neuf mois plus tard comme tous les humains, sur ordre de DIEU son Père.
Jésus n’est-il pas comme son Père, TOUT PUISSANT ?
Cela dit, bien que le texte parle du Saint-Esprit qui couvrira Marie de son ombre, il n’est pas question dans ce texte de la troisième personne de la Divinité, mentionnée dans la croyance trinitaire populaire, qui, dois-je vraiment le dire, n’est pas une croyance fondée sur l’Écriture Sacrée qu’est la Bible. Lorsque Jésus dit : Je ne suis pas venu de moi-même, mais c’est lui (Dieu le Père) qui m’a envoyé, il dit qu’il n’a pas décidé de venir sur terre sans l’accord de son Père. Dans la mesure où, Jésus vient sur terre en accord avec son Père, il ne peut s’exprimer
autrement, qu’en disant que c’est son Père qui l’envoi, parce qu’il n’a pas pris cette décision sans en parler à son Père, qui aimant les humains lui aussi, autant que Jésus, ne pouvait renoncer à adhérer à cette idée de sauver les humains de la mort. S’il est vrai que la Divinité est trinitaire, Père, Fils, et Saint-Esprit, pourquoi le Saint-Esprit n’est-il pas mentionné dans cet accord ? Visitez mon blog : yeshua-jptm.com, dans lequel je traite plus en profondeur de la croyance trinitaire populaire, Père, Fils, et Saint-Esprit, qui n’a rien à voir avec la TRINITE DIVINE, révélée dans la Bible, si l’on veut prendre du temps pour l’étudier sincèrement.
Pourquoi donc fallait-il que Dieu en la personne de Jésus, s’incarna ?
MATTHIEU 1 : 18-25 « Voici comment arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, était fiancée à Joseph ; avant leur union, elle se trouva enceinte par le fait de l’Esprit Saint. Joseph, son mari, qui était juste et qui ne voulait pas la dénoncer publiquement, décida de la répudier en secret. Comme il y pensait, l’ange du Seigneur lui apparut en rêve et dit : Joseph, fils de David, n’aie pas peur de prendre chez toi Marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient de l’Esprit saint ; elle mettra au monde un fils, et tu l’appelleras du nom de Jésus, car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. Tout cela arriva afin que s’accomplisse ce que le Seigneur avait dit par l’entremise du prophète (ESAIE) : La vierge sera enceinte ; elle mettra au monde un fils et on l’appellera du nom d’Emmanuel, ce qui se traduit : Dieu avec nous. À son réveil, Joseph fit ce que l’ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme chez lui. Mais il n’eut pas de relations avec elle jusqu’à ce qu’elle eût mis au monde un fils, qu’il appela du nom de Jésus. » (NBS) https://bible.com/bible/104/mat.1.18-25.NBS L’apôtre Jean écrit dans JEAN 3 :1 « Voyez quel amour le Père nous a donné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes ! Si le monde ne nous connaît pas, c’est qu’il ne l’a jamais connu. (NBS) https://bible.com/bible/104/1jn.3.1.NBS
Puis, dans 1JEAN 4 : 7-21, l’apôtre Jean démontre comment, et combien, Dieu le Père nous aime, et ce qui se passe dans la vie de celui qui croit que Dieu nous aime, et qu’il s’est révélé à nous en la personne de Jésus. Je cite « Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a jamais connu Dieu, car Dieu est amour. C’est en ceci que l’amour de Dieu s’est manifesté parmi nous : Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde pour que nous vivions par lui. Et cet amour, ce n’est pas que, nous, nous ayons aimé Dieu, mais que lui nous a aimés et qu’il a envoyé son Fils comme l’expiation pour nos péchés. Bien-aimés, si Dieu nous a tant aimés, nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres. Personne n’a jamais vu Dieu. Si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est accompli en nous. À ceci nous savons que nous demeurons en lui, comme lui en nous : c’est qu’il nous a donné de son Esprit. Et nous, nous avons vu et nous témoignons que le Père a envoyé le Fils comme sauveur du monde. Celui qui reconnaît que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, comme lui en Dieu. Et nous, nous connaissons l’amour que Dieu a pour nous, et nous l’avons cru. Dieu est amour ; celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui. C’est en cela que l’amour est accompli parmi nous, pour que nous ayons de l’assurance au jour du jugement : tel il est, lui, tels nous somment aussi dans ce monde. Il n’y a pas de crainte dans l’amour, mais l’amour accompli bannit la crainte, car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas accompli dans l’amour. Quant à nous, nous aimons, parce que lui nous a aimés le premier. Si quelqu’un dit : « J’aime Dieu », et qu’il déteste son frère, c’est un menteur, car celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, ne peut aimer Dieu, qu’il ne voit pas. Et nous avons de lui ce commandement : que celui qui aime Dieu aime aussi son frère. (NBS)
https://bible.com/bible/104/1jn.4.7-21.NBS
L’apôtre Paul écrit aux anciens païens d’Ephèse, devenus chrétiens, dans EPHESIENS 2 : 3-10 ce qui suit « Nous tous aussi, nous étions de leur nombre et nous nous conduisions autrefois selon les désirs de notre chair, nous faisions les volontés de notre chair et de nos pensées, et nous étions par nature voués à la colère, comme les autres. Mais Dieu est riche de compassion et, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts du fait de nos fautes, il nous a rendus vivants avec le Christ – c’est par grâce que vous êtes sauvés. Il nous a réveillés ensemble et fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus-Christ, pour montrer dans les temps à venir la richesse surabondante de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ. C’est par la grâce, en effet, que vous êtes sauvés au moyen de la foi. Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas en vertu des œuvres, pour que personne ne puisse faire le fier. Car nous sommes son ouvrage, nous avons été créés en Jésus-Christ pour des œuvres bonnes que Dieu a préparées d’avance, afin que nous nous y adonnions. (NBS)
https://bible.com/bible/104/eph.2.3-10.NBS
Sachez que la naissance de Jésus fut annoncée par Dieu au peuple d’Israël, plusieurs centaines d’années au paravent, par l’intermédiaire du prophète Esaïe, dans ESAIE 7 : 10-14, en ces termes. Je cite « Le Seigneur dit encore à Achaz : Demande un signe au Seigneur, ton Dieu, soit dans les profondeurs du séjour des morts, soit dans les lieux les plus élevés. Achaz répondit : Je ne demanderai rien, je ne provoquerai pas le Seigneur. Esaïe dit alors : Écoutez, je vous prie, maison de David ! Ne vous suffit-il pas de lasser la patience des hommes, que vous lassiez encore celle de mon Dieu ? C’est pourquoi le Seigneur lui-même vousdonnera un signe : la jeune fille est enceinte, elle mettra au monde un fils et l’appellera du nom d’Emmanou-El (« Dieu est avec nous.») (NBS) https://bible.com/bible/104/isa.7.10-14.NBS
La naissance de Jésus n’est pas dû au hasard. D’ailleurs, dans la mesure où nous croyons qu’il y a un Dieu, créateur du ciel et de la terre ; comment le hasard peut-il être ? Nous avons vu que c’est l’AMOUR que Dieu le Père a pour nous, qui l’a poussé à accepter de donner Jésus aux humains, pour que ceux-ci, s’ils croient en Dieu et Jésus, soient sauvés de la condamnation qui demeurera sur tous ceux qui aurons refusé de croire que Jésus est Fils de Dieu, et qu’ils peuvent être sauvés de la mort par lui.
Comment donc Dieu sauve-t-il tous les croyants par Jésus ?
Après la naissance de Jésus, la Bible parle très peu de sa petite enfance. À la suite de la naissance de Jésus, qui fut très éprouvante pour sa mère et Joseph, la Bible parle de Jésus à nouveau alors qu’il a 12ans, lors de son voyage à Jérusalem en compagnie de ses parents humains, Joseph et Marie, accompagnés de tous les pèlerins allant participer aux festivités pascales, à Jérusalem. Dès cet épisode de sa vie, Jésus plaça la mission confiée par son Père céleste, au-dessus de toutes considérations humaines, en disant à Joseph et Marie qui l’avait cherché pendant trois jours, ce que nous lisons dans LUC 2 : 46-52. « Au bout de trois jours, ils le (Jésus) trouvèrent dans le temple, assis au milieu des maîtres, les écoutant et les interrogeant. Tous ceux qui l’entendaient étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses. Quand ils le virent, ils furent ébahis ; sa mère lui dit : Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Ton père et moi, nous te cherchions avec angoisse ! Il leur répondit : Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas que j’ai à faire chez mon Père ? Mais ils ne comprirent pas ce qu’il leur disait. Puis il descendit avec eux à Nazareth ; il leur était soumis. Sa mère retenait toutes ces choses. Et Jésus progressait en sagesse, en stature et en grâce auprès de Dieu et des humains.
(NBS) https://bible.com/bible/104/luk.2.46-52.NBS
Après avoir dit que Jésus progressait en sagesse, en stature et en grâce auprès de Dieu et des humains, la Bible parle de nouveau de Jésus, alors que Jean-Baptiste est au bord du Jourdain, prêchant, à ceux qui voulaient bien l’écouter, la nécessité pour chaque humain, d’une repentance et d’une conversion, par le baptême pour être pardonné par Dieu de ses péchés. Nous lisons donc dans JEAN 1 : 29, « Le lendemain, il voit Jésus venir à lui et dit : Voici l’agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde. » (NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.1.29.NBS
Pourquoi Jean-Baptiste dit-il de Jésus, qu’il est l’agneau de Dieu ?
Il est important de remonter, plusieurs centaines d’années au paravant, pour savoir, pourquoi Jean-Baptiste dit de Jésus qu’il est l’agneau de Dieu qui enlève le péché du monde.
Dans l’Ancien Testament, ou l’Ancienne Alliance, concernant la paque, Dieu avait ordonné à Israël ce commandement, que nous trouvons dans EXODE 12 :1-14 « Le Seigneur dit à Moïse et à Aaron, en Égypte : Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l’année. Dites à toute la communauté d’Israël : Le dixième jour de ce mois, on prendra un mouton ou une chèvre pour chaque famille, une bête par maison. Si la famille est trop peu nombreuse pour une bête, elle la prendra avec le voisin le plus proche de la maison, selon le nombre de personnes à nourrir ; vous répartirez cette bête d’après ce que chacun peut manger. Ce sera une bête sans défaut, un mâle d’un an ; vous pourrez prendre un agneau ou un chevreau. Vous le tiendrez en réserve jusqu’au quatorzième jour de ce mois ; toute l’assemblée de la communauté d’Israël l’immolera à la tombée du soir. On prendra de son sang et on en mettra sur les deux montants et sur le linteau de la porte des maisons où on le mangera. Cette même nuit, on mangera la viande ; on la mangera rôtie au feu, avec des pains sans levain et des herbes amères. Vous n’en mangerez pas à demi-cuit, ni bouilli dans l’eau ; il sera rôti au feu, avec la tête, les pattes et les entrailles. Vous n’en laisserez rien jusqu’au matin ; s’il en reste quelque chose le matin, vous le jetterez au feu. Voici comment vous le mangerez : une ceinture à vos reins, vos sandales aux pieds et votre bâton à la main ; vous le mangerez à la hâte. C’est la Pâque du Seigneur. Cette nuit-là, je parcourrai l’Égypte et je frapperai tous les premiers-nés en Égypte, depuis les humains jusqu’aux bêtes ; ainsi j’exécuterai mes jugements contre tous les dieux de l’Égypte. Je suis le Seigneur (YHWH). Le sang sera pour vous un signe sur les maisons où vous serez : lorsque je verrai le sang, je passerai sur vous, et il n’y aura pas sur vous de fléau destructeur quand je frapperai l’Égypte. Ce sera pour vous un jour d’évocation ; vous le célébrerez comme une fête pour le Seigneur, vous le célébrerez comme une prescription perpétuelle, pour toutes vos générations. (NBS)
https://bible.com/bible/104/exo.12.1-14.NBS
Nous voyons dans ce texte, l’instauration de la paque par Dieu, lorsqu’il décida de faire sortir son peuple de l’Égypte, et donc faire cesser leur esclavage. En fait, tout le rituel sacrificiel préfigurait le sacrifice de Jésus pour le pardon de leurs péchés aux humains, ou plus précisément, le pardon des fautes commises par les humains. Dans JEAN 13 : 1, il est écrit « Avant la fête de la Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde au Père, Jésus, qui avait aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout. »
(NBS) https://bible.com/bible/104/jhn.13.1.NBS
Lorsque la Bible dit que Jésus aima les siens qui étaient dans le monde jusqu’au bout, elle veut nous dire, que le choix de Jésus de mourir à la place des humains, pour qu’ils soient pardonnés de leurs désobéissances aux commandements de Dieu, son Père, est un choix mesuré, car il savait que sa décision de sauver les humains, le mènerait à une mort certaine, donc jusqu’à perdre sa vie. Je vous invite à lire ce que dit la Bible concernant ce qu’il fallait faire pour obtenir de Dieu le pardon d’un péché, ou d’une faute. Nous y lisons, qu’il était nécessaire qu’un animal soit tué pour cela, y compris un agneau sans tache, sans infirmité, en fait parfait, soit sans défaut physique visible ou malade. Lisez surtout le livre de LEVITIQUE, qui comporte un grand nombre de texte se rapportant à cela. Sachez toutefois, que le sacrifice d’animaux en offrandes à l’Éternel, remonte au péché d’Adam et d’Eve, parce que nous lisons dans GENESE 4 : 1-4 ce qui suit : « L’homme eut des relations avec Eve, sa femme ; elle fut enceinte et mit au monde Caïn. Elle dit : J’ai produit un homme avec le Seigneur. Elle mit encore au monde Abel, son frère. Abel devint berger de petit bétail et Caïn cultivateur. Après quelque temps, Caïn apporta du fruit de la terre en offrande au Seigneur. Abel, lui aussi, apporta des premiers-nés de son petit bétail avec leur graisse. Le Seigneur porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande ; mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn ni sur son offrande. Caïn fut très fâché, et il se renfrogna ». (NBS)
https://bible.com/bible/104/gen.4.1-5.NBS
Si le sacrifice d’animaux n’est pas suivant le péché d’Adam et d’Eve, comment se fait-il qu’Abel qui est leur fils cadet, fait des offrandes des premiers-nés de son petit bétail avec leur graisse, que le Seigneur reçoit favorablement ? Si Caen et Abel offrent des offrandes à l’Éternel, c’est parce que leurs parents leur ont transmis cette instruction, qui de toute évidence ils ont reçu de Dieu. Je veux pour preuve ce que nous lisons dans la Bible, à GENESE 3 : 1-21, je cite « Le serpent était le plus avisé de tous les animaux de la campagne que le Seigneur Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : « Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ! » La femme dit au serpent : Nous pouvons manger du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : « Vous n’en mangerez pas, vous n’y toucherez pas, sinon vous mourrez ! » Alors le serpent dit à la femme : Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Dieu le sait : le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux qui connaissent ce qui est bon ou mauvais. La femme vit que l’arbre était bon pour la nourriture et plaisant pour la vue, qu’il était, cet arbre, désirable pour le discernement. Elle prit de son fruit et en mangea ; elle en donna aussi à son mari qui était avec elle, et il en mangea. Leurs yeux à tous les deux s’ouvrirent, et ils surent qu’ils étaient nus. Ils cousirent des feuilles de figuier pour se faire des pagnes. Alors ils entendirent le Seigneur Dieu qui parcourait le jardin avec la brise du soir. L’homme et sa femme allèrent se cacher parmi les arbres du jardin pour ne pas être vus par le Seigneur Dieu. Le Seigneur Dieu appela l’homme ; il lui dit : Où es-tu ? Il répondit : Je t’ai entendu dans le jardin et j’ai eu peur, parce que j’étais nu ; je me suis donc caché. Il reprit : Qui t’a dit que tu étais nu ? Aurais-tu mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : C’est la femme que tu as mise auprès de moi qui m’a donné de l’arbre, et j’ai mangé. Alors le Seigneur Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : C’est le serpent qui m’a trompée, et j’ai mangé. Le Seigneur Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre toutes les bêtes et tous les animaux de la campagne, tu te déplaceras sur ton ventre et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai de l’hostilité entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui mordras le talon. A la femme, il dit : Je multiplierai la peine de tes grossesses. C’est dans la peine que tu mettras des fils au monde. Ton désir se portera vers ton mari, et lui, il te dominera. A l’homme, il dit : Puisque tu as écouté ta femme et que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger, la terre sera maudite à cause de toi ; c’est avec peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie. Elle fera pousser pour toi des épines et des chardons, et tu mangeras l’herbe de la campagne. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes à la terre, puisque c’est d’elle que tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras à la poussière. L’homme appela sa femme du nom d’Eve (« Vivante »), car elle est devenue la mère de tous les vivants. Le Seigneur Dieu fit à l’homme et à sa femme des habits de peau, dont il les revêtit. (NBS)
https://bible.com/bible/104/gen.3.1-21.NBS
J’ai souvent entendu lors de différents échanges, et même lors de prédications, concernant le péché d’Adam et d’Eve, qu’après la désobéissance d’Adam et d’Eve, que Dieu a tué des animaux pour vêtir Adam et Eve de leurs peaux, parce que dans GENESE 3 : 21, il est écrit : le Seigneur fit à l’homme et à sa femme des habits de peau, dont il les revêtît.
Pourquoi pas !
J’ai beaucoup de mal à adhérer à cette opinion, parce que l’idée d’un Dieu d’Amour, source de la vie, ôtant la vie à un être qu’il a créé m’a toujours gêné. Dieu institua le rite des sacrifices, pour le pardon des désobéissances à ses commandements ; Rituel qu’Adam et Eve furent les premiers à pratiquer sans aucun doute possible, il me parait évident que Dieu prit les peaux d’animaux tués par Adam et Eve, qu’ils offrirent en sacrifices pour être pardonnés par Dieu d’avoir désobéis à son commandement qui disait, de ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, puis Dieu les en revêtît. De plus, dans ce texte, il est aussi question que ce rituel devait leur rappeler que l’Agneau de Dieu, en la personne de Jésus, devait donner son sang pour le pardon du pécheur. Je ne serai donc pas étonné d’apprendre que chaque animal tué par Adam et Eve, pour être pardonné d’avoir désobéis à un commandement de Dieu était un agneau. L’agneau à immoler devant être âgé d’un an, je suppose que cela veut dire que Jésus devait mourir jeune, parce qu’effectivement, il mourut à l’âge de trente-trois ans et demi environ, ce qui est relativement jeune pour un être humain de mourir. L’apôtre Pierre qui de tous les disciples renia Jésus trois foix, sait mieux que quiconque l’importance qu’il y a pour un pécheur d’être pardonné par Dieu. Il dit dans 1PIERRE 1 ; 13-25 ce qui suit : « Aussi mobilisez vos facultés mentales, soyez sobres
mettez toute votre espérance dans la grâce apportée par la révélation de Jésus-Christ. Comme des enfants obéissants, ne vous conformez pas aux désirs que vous aviez auparavant, dans votre ignorance ; mais, de même que celui qui vous a appelés est saint, vous aussi devenez saints dans toute votre conduite, puisqu’il est écrit : Vous serez saints, car, moi, je suis saint. Et si vous invoquez comme Père celui qui, impartialement, juge chacun selon ses œuvres, conduisez-vous avec crainte pendant le temps de votre exil. Vous savez en effet que ce n’est pas par des choses périssables – argent ou or – que vous avez été rédimés (rachetés) de votre conduite futile, celle que vous teniez de vos pères, mais par le sang précieux du Christ, comme par celui d’un agneau sans défaut et sans tache. Il a été désigné d’avance, avant la fondation du monde, et il s’est manifesté à la fin des temps, à cause de vous qui, par lui, mettez votre foi en Dieu, celui qui l’a réveillé d’entre les morts et lui a donné la gloire – de sorte que votre foi et votre espérance sont en Dieu. Comme vous vous êtes purifiés, par l’obéissance à la vérité, en vue d’une affection fraternelle sans hypocrisie, aimez-vous les uns les autres avec ferveur, d’un cœur pur. Vous êtes en effet nés de nouveau, non pas d’une semence périssable, mais d’une semence impérissable, par la parole vivante et permanente de Dieu ; car tout être qui vit est comme l’herbe, toute sa gloire comme la fleur de l’herbe ; l’herbe se dessèche et la fleur tombe, mais la parole du Seigneur demeure pour toujours. Cette parole, c’est la bonne nouvelle qui vous a été annoncée. (NBS)
https://bible.com/bible/104/1pe.1.13-25.NBS
A la lecture de ce texte Biblique, je ne peux m’empêcher de remarquer qu’il y est aussi écrit, je cite : Vous êtes en effet nés de nouveau, non pas d’une semence périssable, mais d’une semence impérissable, par la parole vivante et permanente de Dieu. Dans la mesure où, Dieu enlève le péché d’Adam et d’Eve en pardonnant leur désobéissance, par le sacrifice d’un agneau, qui symbolise Jésus qui devait mourir pour le pardon des péchés des humains, et les revêt de la peau de cet agneau ; il est tout aussi attendu des descendants d’Adam et d’Eve qui désir vivre avec Dieu et Jésus, la vie sans fin qui leur est promise, qu’ils soit pardonnés par la reconnaissance de Jésus l’Agneau de Dieu qui leur pardonne leurs péchés, et les revêt de sa vie d’obéissance parfaite à Dieu, comme il l’a vécu.
Jésus dit dans MATTHIEU 5 : 48 « Vous serez donc parfait, comme votre Père céleste est parfait. »
Vous êtes en doit de penser : Pourquoi Jésus dit-il cela ? Les humains étants des pécheurs par nature, il leur est impossible d’être parfait comme Dieu l’est.
Vous devez savoir qu’effectivement, l’être humain ne peut être parfait comme Dieu l’est dans sa sphère, en ce qu’il n’a jamais péché, mais que l’être humain peut être parfait dans la sienne, dans la mesure où il se soumet à Dieu totalement, après avoir été pardonné par Dieu de tous ces péchés, par le sacrifice de son Agneau qu’est la mort de Jésus.
Si non, pourquoi Dieu demanderait-il aux humains d’être ce qu’ils ne peuvent être ?
Dieu a tout prévu concernant le rachat des humains, par la mort de Jésus, avant la fondation du monde.
En lisant MATTHIEU 5, à partir du verset 1, vous comprendrez ce que veut dire selon Dieu, être parfait comme votre Père céleste est parfait.
Nous lisons dans EPHESIENS 4 : 20-32 « Mais vous, ce n’est pas ainsi que vous avez appris le Christ, si du moins c’est bien lui que vous avez entendu et si c’est en lui que vous avez été instruits, conformément à la vérité qui est en Jésus : il s’agit de vous défaire de l’homme ancien qui correspond à votre conduite passée et qui périt sous l’effet des désirs trompeurs, d’être renouvelés par l’Esprit dans votre intelligence et de revêtir l’homme nouveau, qui a été créé selon Dieu dans la justice et la sainteté que produit la vérité. Rejetez donc le mensonge, et que chacun de vous parle avec vérité à son prochain ; car nous faisons partie les uns des autres. Si vous vous mettez en colère, ne péchez pas ; que le soleil ne se couche pas sur votre irritation ; ne laissez pas de place au diable. Que le voleur ne vole plus ; qu’il se donne plutôt de la peine à travailler honnêtement de ses propres mains, pour avoir de quoi donner à celui qui est dans le besoin. Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole malsaine mais, s’il en est besoin, une bonne parole qui soit constructive et communique une grâce à ceux qui l’entendent. N’attristez pas l’Esprit saint de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour un jour de rédemption. Que toute amertume, animosité, colère, clameur, calomnie, ainsi que toute malfaisance, soient enlevées du milieu de vous. Soyez bons les uns envers les autres, pleins d’une tendre bienveillance ; faites-vous grâce, comme Dieu vous a fait grâce dans le Christ.
(NBS) https://bible.com/bible/104/eph.4.20-32.NBS
Vous gagnerez beaucoup, à lire le sermon sur la montagne de Jésus dans MATTHIEU 5 : 1-48, si vous désirez vraiment être transformé par Dieu, et vivre la vie de Jésus. Excusez-moi d’insister, à ce sujet. Lorsque vous lirez ce texte, faites-le en pensant à vous-même, par une introspection réelle et sincère, et vous saurez combien Dieu vous aime, et qu’il est bon de vivre de sa vie.
Dans cet autre texte, 2 CORINTHIENS 5 : 1-5, il est écrit : « Nous savons, en effet, que si notre demeure terrestre, qui n’est qu’une tente, est détruite, nous avons dans les cieux une construction qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été fabriquée par des mains humaines. Aussi nous soupirons dans cette condition ; nous souhaitons vivement revêtir notre domicile céleste par-dessus l’autre, s’il est vrai qu’une fois vêtus nous ne serons pas trouvés nus. Car, tandis que nous sommes dans cette tente, nous soupirons, accablés, parce que nous voulons, non pas nous dévêtir, mais nous revêtir, pour que le mortel soit englouti par la vie. Et c’est Dieu qui nous a produits à cette fin même, lui qui nous a donné les arrhes de l’Esprit. » (NBS)
https://bible.com/bible/104/2co.5.1-5.NBS
Nous voyons encore dans ce texte, qu’il est question de ne pas être trouvés nus, après avoir revêtue la vie de Jésus, et c’est Dieu lui-même qui réalise en nous ce miracle d’être transformés par son Esprit, qu’il nous a donné.
Il est aussi écrit dans ESAIE 61 : 10, 11, « Je trouverai la gaieté dans le Seigneur, je serai plein d’allégresse en mon Dieu ; car il m’a revêtu des vêtements du salut, il m’a couvert du manteau de la justice, comme le marié, tel un prêtre, se coiffe d’une parure splendide, comme la mariée s’orne de ses atours. En effet, comme la terre fait sortir son germe, et comme un jardin fait germer ses semences, ainsi le Seigneur Dieu fera germer la justice et la louange devant toutes les nations. »
(NBS) https://bible.com/bible/104/isa.61.10-11.NBS
En effet, celui qui est revêtu de la justice de Dieu, c’est-à-dire qui vit de la vie de Jésus, en obéissant à Dieu comme Jésus l’a fait et le fait encore, vivra une vie de gaieté, plein d’allégresse en Dieu parce que par sa foi en Jésus, il est sauvé de la mort qui attend tout pécheur, qui ne s’est pas repenti et laissé convertir par Jésus.
Cette perfection qu’attendent de nous Jésus et Dieu son Père, et notre Père est possible, car il est écrit dans EPHESIENS 2 : 10, « Car nous sommes son ouvrage, nous avons été créés en Jésus-Christ pour des œuvres bonnes que Dieu a préparées d’avance, afin que nous nous y adonnions. » (NBS) Il est certain que si Dieu nous demande d’être parfait, sachant que cela nous est impossible, il ne pouvait faire autrement que de nous aider à l’être, parce que à dieu tout est possible.
Mais quel est le plan de Dieu à cet égard ?
Nous lisons dans MARC 16 : 14-16 cette cène que Jésus vécu avec ses disciples après sa résurrection « Enfin, Jésus se montra aux onze disciples pendant qu'ils mangeaient ; il leur reprocha de manquer de foi et de s'être obstinés à ne pas croire ceux qui l'avaient vu vivant. Puis il leur dit : « Allez dans le monde entier annoncer la Bonne Nouvelle à tous les êtres humains. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; mais celui qui ne croira pas sera condamné. » (BFC)
Il est important de retenir que Jésus reproche à ses disciples de manquer de foi concernant sa résurrection, et malgré le manque de foi des disciples, Jésus leur donne cette mission qui consiste à aller prêcher dans le monde entier la bonne nouvelle de sa résurrection.
Nous voyons aussi dans LUC 18 :15-17 ce qui suit. « Des gens lui apportaient même les nouveau-nés pour qu’il les touche de la main. Les disciples, en voyant cela, les rabrouaient. Mais Jésus ordonna qu’on les lui apporte et dit : Laissez les enfants venir à moi ; ne les en empêchez pas, car le royaume de Dieu est pour ceux qui sont comme eux. Amen, je vous le dis, quiconque n’accueillera pas le royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera jamais. (NBS)
Que veut dire Jésus, lorsqu’il dit : « Amen, je vous le dis, quiconque n’accueillera pas le royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera jamais. » La Bible nous dit dans JEAN 3 :1-12 ce qui suit. « Or il y avait parmi les pharisiens un chef des Juifs du nom de Nicodème ; celui-ci vint le trouver de nuit et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es un maître venu de la part de Dieu ; car personne ne peut produire les signes que, toi, tu produis, si Dieu n’est avec lui. Jésus lui répondit : Amen, amen, je te le dis, si quelqu’un ne naît pas de nouveau, il ne peut voir le règne de Dieu. Nicodème lui demanda : Comment un homme peut-il naître, quand il est vieux ? Peut-il entrer une seconde fois dans le ventre de sa mère pour naître ? Jésus lui répondit : Amen, amen, je te le dis, si quelqu’un ne naît pas d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est esprit. Ne t’étonne pas que je t’aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau – d’en haut. Le vent souffle où il veut ; tu l’entends, mais tu ne sais pas d’où il ne vient ni où il va. Il en est ainsi de quiconque est né de l’Esprit. Nicodème reprit : Comment cela peut-il advenir ? Jésus lui répondit : C’est toi qui es maître en Israël, et tu ne sais pas cela ! Amen, amen, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous témoignons de ce que nous avons vu ; et vous ne recevez pas notre témoignage. Si vous ne croyez pas alors que je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous si je vous parle des choses célestes ? (NBS)
Comment un être humain, peut-il renaitre, pour vivre selon l’Esprit de Dieu ?
A cette question il est bon, je pense, de se remémorer la naissance d’un être humain.
Un être humain juste avant de naitre, vit dans le ventre de sa mère, baignant dans le liquide amniotique contenu dans son utérus. Sa mère ayant perdu les eaux, l’enfant sort de son ventre, et pour la première fois de sa vie se met à respirer, puis crier, car l’air qu’il a inspiré lui a provoqué une violente douleur, dont il ne se souviendra plus, en gonflant ses poumons d’air pour la première fois.
De plus, nous lisons dans MARC 16 :14-16 ce qui suit. « Enfin, il se manifesta aux Onze, pendant qu’ils étaient à table, et il leur reprocha sévèrement leur manque de foi et leur obstination, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu après son réveil. Puis il leur dit: Allez dans le monde entier et proclamez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui deviendra croyant et recevra le baptême sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. »
Cet épisode de la vie de Jésus se passe après sa résurrection, parce que nous lisons qu’Enfin, il se manifesta aux Onze, [Thomas n’était pas présent à ce moment-là] pendant qu’ils étaient à table, et il leur reprocha sévèrement leur manque de foi et leur obstination, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu après son réveil.
Vous avez certainement remarqué, qu’il est écrit, après son réveil, c’est-à-dire après sa résurrection.
Nous lisons donc, Celui qui deviendra croyant et recevra le baptême sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.
Il est important de retenir qu’il est question de croire en Jésus, d’une part, et ensuite d’être baptisé ensuite.
Mais de quel baptême est-il question ici ?
Dans la mesure ou Jésus dit qu’il faut devenir croyant pour être baptisé, vous serez d’accord avec moi pour dire qu’il est important d’être capable de choisir de devenir croyant et se faire baptiser, pour être sauvé de la mort au dernier jour, ou rester non croyant et ne pas être baptisé et mourir au dernier jour. De fait, les petits enfants ne pouvant devenir croyants, parce qu’incapable de faire le choix d’être sauvé ou pas, le baptême est réservé aux adultes, ou à toutes personnes capables de faire ce choix. D’ailleurs, Jésus nous en donne l’exemple, parce qu’il est écrit dans LUC 1 : 21-23 « Quand tout le peuple reçut le baptême, Jésus aussi reçut le baptême ; et, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit, et l’Esprit-Saint descendit sur lui sous une forme corporelle, comme une colombe. Et il survint une voix du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé ; c’est en toi que j’ai pris plaisir. Jésus, à ses débuts, avait environ trente ans. Il était, à ce qu’on pensait, fils de Joseph, fils de Héli,
Nous voyons dans ce texte que le baptême de Jésus eu lieu juste avant qu’il commence son ministère sacré en faveur des humains.
Est-il nécessaire de rappeler que jésus fut baptisé du baptême par immersion ?
Dans la mesure où nous ne sommes pas tous informés de la manière dont fut baptisé Jésus, lisons ce qui est écrit à ce sujet dans la Bible.
Nous lisons donc dans MATTHIEU 3 :13-17 ce qui suit.
« Alors Jésus arrive de Galilée au Jourdain, vers Jean, pour recevoir de lui le baptême. Mais Jean s’y opposait en disant : C’est moi qui ai besoin de recevoir de toi le baptême, et c’est toi qui viens à moi ! Jésus lui répondit : Laisse faire maintenant, car il convient qu’ainsi nous accomplissions toute justice. Alors il le laissa faire. Aussitôt baptisé, Jésus remonta de l’eau. Alors les cieux s’ouvrirent pour lui, il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et une voix retentit des cieux : Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; c’est en lui que j’ai pris plaisir. »
Aussitôt baptisé, Jésus remonta de l’eau ; nous dit la Bible.
Cela revient à croire que Jésus fut baptisé du baptême par immersion, sans aucun doute possible.
Mais, toujours pour ceux qui ne seraient pas au fait de ce qu’est le baptême par immersion, celui-ci consiste à plonger quelqu’un dans une grande quantité d’eau, et l’en relever.
Pourquoi faut-il absolument baptiser quelqu’un par immersion ?
Souvenez-vous des paroles de Jésus à Nicodème concernant la nécessité pour chaque humain qui veut être sauver de la mort de renaitre.
Je cite « Amen, amen, je te le dis, si quelqu’un ne naît pas d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est esprit. Ne t’étonne pas que je t’aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau – d’en haut. » JEAN 3 :5-8
Cela dit, voici ce qu’est le baptême par immersion.
Il symbolise tout simplement une renaissance, en ce que lorsque quelqu’un est immergé dans une grande quantité d’eau, il se retrouve comme dans l’utérus de sa mère baignant dans le liquide amniotique, juste avant sa naissance.
Puis, lorsque la personne qui est immergée est relevée, sa tête sortant de l’eau, la première chose qu’elle fait est de prendre une grande bouffé d’air, comme en sortant du sein de sa mère à sa première naissance.
Mais ce jour où elle renait, plutôt que de pleurer de douleur, comme à sa première naissance, les larmes qui coulent de ces yeux sont de la joie d’être pardonné par Dieu de toutes les fautes qu’elles à comise jusqu’à ce jour, et enfin d’être reconnue enfant de Dieu, grâce à son acceptation publique du sacrifice de Jésus, son Frère, par Dieu lui-même.
Il est écrit dans HEBREUX 2 :10,11 « En effet, puisque celui pour qui et par qui tout existe voulait conduire beaucoup de fils à la gloire, il convenait qu’il porte à son accomplissement, par des souffrances, le pionnier de leur salut. Car celui qui consacre et ceux qui sont consacrés sont tous issus d’un seul.
C’est la raison pour laquelle il n’a pas honte de les appeler frères, »
Il est bon je crois de préciser que lorsque Jésus dit : si quelqu’un ne naît pas d’eau et d’Esprit, le mot Esprit dans le texte fait référence au souffle de Dieu. Je veux pour preuve le texte de JEAN 20 :21,22 qui dit ce qui suit « Et Jésus leur dit encore : que la paix soit avec vous ! comme mon Père m'a envoyé, ainsi je vous envoie. Et quand il eut dit cela, il souffla sur eux, et leur dit : recevez le Saint-Esprit. »
Recevoir le SAINT-ESPRIT, dans le texte, c’est recevoir le SOUFFLE DE DIEU.
De fait, lorsque celui qui est baptisé d’eau est relevé de son immersion, en inspirant une grande bouffé d’air, il ne fait rien d’autre que d’inspirer le SOUFFLE DE DIEU, qui, le pénétrant lui donne de vivre une nouvelle vie, qui est la vie d’obéissance à Dieu son Père que vit Jésus.
Lors d’une discussion avec des pharisiens concernant sa personne, et son origine, Jésus dit ce qui suit dans JEAN 8 :25-29. « Qui es-tu ? Lui dirent-ils. Jésus leur répondit : Ce que je vous dis dès le commencement. J’ai beaucoup de choses à dire de vous et à juger en vous ; mais celui qui m’a envoyé est vrai, et ce que j’ai entendu de lui, je le dis au monde. Ils ne comprirent point qu’il leur parlait du Père. Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m’a enseigné. Celui qui m’a envoyé est avec moi ; il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. » (LSG)
De même que Jésus s’instruisait de son Père et lui obéissait en toutes choses, en pratiquant l’instruction reçue de Lui, celui qui croit en Dieu, et en Jésus, qui est baptisé d’eau et d’Esprit, croyant aussi qu’il est pardonné de tous ses péchés, devrait mettre en pratique l’instruction reçue de Dieu par Jésus, par une obéissance parfaite de tous ses commandements.
Mais, parce que nous sommes pécheurs, Dieu dans son Amour a prévu la possibilité que le croyant, oubliant parfois l’engagement pris d’obéir à tous les commandements de Dieu, rompt cet engagement, parfois, en désobéissant à Dieu, et par là même se retrouve dans la position qui était la sienne, avant de croire en Dieu et Jésus, et d’être baptisé d’eau et d’Esprit ; c’est-à-dire condamné à mourir au dernier jour.
L’Amour de Dieu est si grand, que par l’apôtre Jean Il nous donne cet encouragement que nous trouvons dans 1JEAN 2 : 1,2 « Mes petits-enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste. Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (LSG)
N'est-ce pas merveilleux ?
Cela peut paraitre trop facile, ou trop simple, mais c’est la réalité.
N’avez-vous jamais éprouvé le regret d’avoir fait du mal à quelqu’un, en parole ou en action, et vouloir être pardonné par cette personne ? Ne vous est-il jamais arrivé de prendre sur vous de vous humilier devant cette personne en lui demandant de vous pardonner cette faute, et entendre cette personne vous répondre : je ne te pardonne pas, ou je ne te pardonnerai jamais ce que tu m’as fait !
Peut-être même, avez-vous été cette personne qui a dit à quelqu’un qui vous demandait pardon, que vous ne lui pardonnez pas, ni ne lui pardonnerez jamais cette faute comise envers vous !
Sachez que pour Dieu ; il n’en est pas ainsi.
Je veux pour preuve ce texte de la Bible qui dit dans ESAIE 55 :6-11 « Cherchez l’Éternel pendant qu’il se trouve ; Invoquez-le, tandis qu’il est près. Que le méchant abandonne sa voie, Et l’homme d’iniquité ses pensées ; Qu’il retourne à l’Éternel, qui aura pitié de lui, A notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner. Car mes pensées ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l’Éternel. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées. Comme la pluie et la neige descendent des cieux, et n’y retournent pas sans avoir arrosé, fécondé la terre, et fait germer les plantes, sans avoir donné de la semence au semeur et du pain à celui qui mange, Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche : Elle ne retourne point à moi sans effet, Sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. » (LSG)
QUI PEUT VIVRE, ET OBEIR A DIEU EN TOUTES CHOSES ?
Pour répondre à cette question, voyons encore ce que dit la Bible.
Il est écrit dans ROMAIN 8 : 1-11, ce qui suit. « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En effet, la loi de l’Esprit de la vie en Jésus-Christ t’a libéré de la loi du péché et de la mort. Car – chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force – Dieu, en envoyant son propre Fils dans une condition semblable à la chair du péché, en rapport avec le péché, a condamné le péché dans la chair, pour que la justice requise par la loi soit accomplie en nous qui marchons, non selon la chair, mais selon l’Esprit. En effet, ceux qui sont sous l’emprise de la chair s’accordent aux tendances de la chair, tandis que ceux qui sont sous l’emprise de l’Esprit s’accordent aux tendances de l’Esprit. Or la chair tend à la mort ; l’Esprit, lui, tend à la vie et à la paix. Car la chair tend à s’ériger en ennemie de Dieu, parce qu’elle ne se soumet pas à la loi de Dieu : elle en est même incapable. Ceux qui sont sous l’empire de la chair ne peuvent plaire à Dieu. Quant à vous, vous n’êtes pas sous l’empire de la chair, mais sous celui de l’Esprit, s’il est vrai que l’Esprit de Dieu habite en vous. Et si quelqu’un n’a pas l’Esprit du Christ, il ne lui appartient pas. Or si le Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’Esprit est vie à cause de la justice. Et si l’Esprit de celui qui a réveillé Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a réveillé le Christ d’entre les morts fera aussi vivre vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. » (NBS)
Ce texte de ROMAINS 8, Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En effet, la loi de l’Esprit de la vie en Jésus-Christ t’a libéré de la loi du péché et de la mort, nous dit tout simplement, que celui qui reçoit l’Esprit de Dieu, ou plus précisément le SOUFFLE DE DIEU, lors de son baptême, reçoit la capacité de vivre la vie d’obéissance de Jésus.
Si toutefois nous doutons de cette possibilité de vivre la vie d’obéissance de Jésus, il est précisé qu’En effet, la loi de l’Esprit de la vie en Jésus-Christ t’a libéré de la loi du péché et de la mort. Car – chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force – Dieu, en envoyant son propre Fils dans une condition semblable à la chair du péché, en rapport avec le péché, a condamné le péché dans la chair, pour que la justice requise par la loi soit accomplie en nous qui marchons, non selon la chair, mais selon l’Esprit. En fait par la Mort de Jésus, Dieu détruit cette propension qu’a l’être humain à faire le mal ; c’est-à-dire à désobéir à Dieu. Et par son Esprit, ou son Souffle que reçoit celui qui croit qu’en étant baptisé, il est né de nouveau, Dieu donne la capacité de vivre la vie d’obéissance de Jésus. De fait, ne vivant plus selon la chair, c’est à dire, ne faisant plus le mal sous quelque forme que ce soit, comme avant son baptême, il vit par l’Esprit de Dieu ; c’est-à-dire la vie d’obéissance de Jésus désormais.
Afin de chasser toute ambiguïté, concernant ce qui est mal aux yeux de Dieu, il y a dans la Bible une liste de ce que Dieu considère être mal dans nos relations les uns avec les autres. Ne nous voilons pas la face, l’humain a toujours une bonne raison, selon lui, pour justifier le mal qu’il fait ou a fait à son prochain, ou plus précisément à son semblable. Par l’Apôtre Paul, Dieu nous dit dans GALATES 5 : 16-17 ce qui suit. Je site « Je dis plutôt : marchez par l’Esprit, et vous n’accomplirez jamais ce que la chair désire. Car la chair a des désirs contraires à l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à la chair ; ils sont opposés l’un à l’autre, de sorte que vous ne faites pas ce que vous voudriez. Voici la liste des actes accomplis par les humains qui ne sont pas nés de nouveau par le baptême d’eau et l’Esprit de Dieu, et qui ne devrait pas être accomplis par ceux qui, par le baptême sont nés de nouveau que nous trouvons dans GALATES 5 : 18-22 « Mais si vous êtes conduits par l’Esprit, vous n’êtes pas sous la loi. Or les œuvres de la chair sont manifestes : inconduite Sexuelle, impureté, débauche, idolâtrie, sorcellerie, hostilités, disputes, passions jalouses, fureurs, ambitions personnelles, divisions, dissensions, envie, beuveries, orgies et autres choses semblables. Je vous préviens, comme je l’ai déjà fait : ceux qui pratiquent de telles choses n’hériteront pas le royaume de Dieu.
Dieu est le créateur de l’univers. A ce titre il est seul juge de ce qui est bien ou mal.
Pourquoi toutes ces actions sont-elles qualifiées comme étant mal, ou mauvaises ?
Vous avez certainement remarqué que toutes ces mauvaises actions sont pratiquées seul ou à plusieurs. De fait, il y a forcément quelqu’un qui souffrira par de telles pratiques. On peut donc dire, sans l’ombre d’un doute, qu’en pratiquant de telles actions l’Amour du prochain n’est pas manifesté. Or ce que Dieu nous demande, et qu’il voudrait nous voir vivre, c’est l’Amour pour notre semblable, ou plus précisément de l’Amour pour notre prochain, comme Dieu le demandé dans MATTHIEU 19 : 19 « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »
Concernant ce commandement, « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », Jésus va plus loin encore en précisant ce qui suit dans MATTHIEU 5 : 43-44 « Vous avez appris qu’il a été dit : Tu aimeras ton prochain, et tu détesteras ton ennemi, mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent » (NBS)
Sincèrement.
Quel humain peut aimer son prochain, et surtout son ennemi et celui qui le persécute naturellement ?
PERSONNE !
Excusez-moi, j’ai répondu à cette question un peu vite.
Le seul humain que je connaisse qui est capable d’Aimer son prochain, son ennemi et celui qui le persécute ; c’est JESUS !
Mais, (il y a toujours un mais,) tout humain qui désire sincèrement vivre la vie de Jésus, peut vivre cette vie en recevant le SOUFFLE ou l’ESPRIT de Jésus.
Je veux pour preuve ce texte que nous trouvons dans MATTHIEU 16 : 24, ou Jésus dit à ses disciples : Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il se renie lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive. (NBS)
Celui qui véritablement veut suivre Jésus, reçoit le Souffle de Jésus, comme il est écrit dans JEAN 20 : 21-22, que Jésus fit avec ses disciples.
Je cite « Jésus leur dit à nouveau : Que la paix soit avec vous ! Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie. Après avoir dit cela, il souffla sur eux et leur dit : Recevez l’Esprit-Saint. » Jésus dit aussi dans JEAN 6 : 32-40 à la foule qu’il avait nourrit par un miracle, et qui voulait absolument rester avec lui ; « Amen, amen, je vous le dis, ce n’est pas Moïse qui vous a donné le pain du ciel, c’est mon Père qui vous donne le vrai pain du ciel ; car le pain de Dieu, c’est celui qui descend du ciel pour donner la vie au monde. Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain-là. Jésus leur dit : C’est moi qui suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui met sa foi en moi n’aura jamais soif. Mais je vous l’ai dit : Vous m’avez vu, et vous ne croyez pas. Tout ce que le Père me donne viendra à moi ; et celui qui vient à moi, je ne le chasserai jamais dehors ; car je suis descendu du ciel pour faire, non pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. Or, la volonté de celui qui m’a envoyé, c’est que je ne perde rien de tout ce qu’il m’a donné, mais que je le relève au dernier jour. La volonté de mon Père, en effet, c’est que quiconque voit le Fils et met sa foi en lui ait la vie éternelle ; et moi, je le relèverai au dernier jour. (NBS)
En fait, celui ou celle qui veut vivre la vie de Jésus, doit recevoir de lui son souffle, notamment le jour de son baptême. Mais aussi dans son cheminement avec Jésus, lorsqu’il (le pécheur) aura désobéit à Dieu, volontairement ou involontairement, et que revenant à Dieu, parce qu’il regrette d’un cœur sincère d’avoir désobéit à Dieu et avoir par la même peiné Dieu. Celui-ci (le pécheur) recevra à nouveau le souffle de vie de Jésus pour recommencer à vivre la vie de Jésus, tout comme celui qui doit être ranimé par exemple après une noyade, et qui étant mort, parce qu’il ne respire plus, reçoit de quelqu’un, par le principe du, bouche à bouche, le souffle de cette personne, et recommence à vivre en respirant de nouveau.
Mais qu’est-ce que le renoncement de soi-même ?
La Bible répond à cette question dans le texte de GALATES 5 : 16, 17, que nous avons vu plus haut qui dit, je cite : Je dis plutôt : marchez par l’Esprit, et vous n’accomplirez jamais ce que la chair désire. Car la chair a des désirs contraires à l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à la chair ; ils sont opposés l’un à l’autre, de sorte que vous ne faites pas ce que vous voudriez.
Nous voyons par ce texte de GALATES 5 : 16,17, que le renoncement de soi-même, c’est choisir de vivre selon l’Esprit de Dieu et non selon nos propres désirs qui sont contraire à la volonté de Dieu.
Concrètement, vivre selon l’Esprit de Dieu consiste à faire attention aux pensés que nous avons, et choisir de pratiquer celles qui sont d’origine Divine. Il est important que nous demandions à Dieu de nous donner le discernement, parce que nos pensées peuvent être inspirées par Dieu, ou satan.
Voici ce qu’écrit l’Apôtre Paul à ses frères de l’Eglise de Rome dans ROMAINS 12 : 1,2. Je cite : « Je vous encourage donc, mes frères, au nom de toute la magnanimité de Dieu, à offrir votre corps comme un sacrifice vivant, saint et agréé de Dieu ; voilà quel sera pour vous le culte conforme à la Parole. Ne vous conformez pas à ce monde-ci, mais soyez transfigurés par le renouvellement de votre intelligence, pour discerner quelle est la volonté de Dieu : ce qui est bon, agréé et parfait. »
(NBS)
Lorsque l’Apôtre Paul nous dit : d’offrir notre corps comme un sacrifice vivant, en aucun cas il est question ici de s’immoler par le feu, pour être agréable à Dieu. En ajoutant : Ne vous conformez pas à ce monde-ci, mais soyez transfigurés par le renouvellement de votre intelligence, pour discerner quelle est la volonté de Dieu : ce qui est bon, agréé et parfait, l’Apôtre Paul, nous explique que le sacrifice que Dieu agréera de nous, est que nous nous instruisions de sa Parole, la Bible, pour connaitre sa volonté à notre égard, et que nous mettions en pratique les instructions reçues de lui, par le sacrifice de refuser de faire notre volonté qui consiste à faire ce qui est contraire à la sienne, c’est-à-dire ce qui est mal, pour faire la volonté de Dieu qui est de faire ce qui est bien.
Par exemple.
Avant de connaitre la volonté de Dieu, qui est d’aimer son prochain comme soi-même, j’avais l’habitude d’insulter quelqu’un qui m’insultait, parce qu’ayant souffert par son insulte, je l’insultais à mon tour, afin qu’il souffre autant que moi, sinon plus que moi. Mais, aujourd’hui, je sais que Dieu veut que j’aime mon prochain comme moi-même. Alors, si je suis insulté par quelqu’un, l’idée me vient de l’insulter à mon tour, comme j’en avais l’habitude, avant de connaitre la volonté de Dieu qui est, que je dois aimer mon prochain comme moi-même.
Mais une autre pensée me vient, me rappelant qu’aujourd’hui, sachant que Dieu veut que j’aime mon prochain comme moi-même, il serait bon et bien que je n’insulte pas celui ou celle qui m’a insulté, parce que si j’agis ainsi, je déshonorerais Dieu, et ferais de la peine à cette personne et à Dieu également.
Ce que j’aime en Dieu, c’est que même si son Esprit m’inspire de ne pas insulter quelqu’un qui m’a insulté, par amour pour cette personne et Dieu ; il (Dieu) me laisse libre de désobéir à son Esprit, qui m’a rappelé que Dieu veut que je n’agisse pas mal, dans cette circonstance. Puis, si après réflexion je regrette de n’avoir pas obéit à l’Esprit de Dieu, et aussi d’avoir fait de la peine à cette personne en l’insultant, lorsque je demande à Dieu et à la personne que j’ai peiné pardon, Dieu me pardonne, même si la personne à qui j’ai demandé pardon ne me pardonne pas.
Toutefois, aujourd’hui, si j’aime véritablement Dieu, et mon prochain, par l’Esprit de Jésus qui est en moi, j’obéirai à la pensée que m’a inspiré l’Esprit de Dieu, de ne pas insulter cette personne, comme je l’aurais fait au paravant ; parce que cela ferait souffrir cette personne, et par là même Dieu en souffrirait aussi. Aujourd’hui, parce que j’aime Dieu et mon prochain, je marche et marcherai avec Dieu par son Esprit. De fait, je renoncerai à vivre selon ce que je désir naturellement, qui consiste à faire ce qui est mal aux yeux de Dieu, pour faire ce que Dieu qualifie comme étant bien pour lui plaire.
Je dis GLOIRE À DIEU pour cela.
Il est vrai qu’il est difficile de vivre la vie de Jésus, au début de l’engagement que l’on prend d’obéir à Dieu coute que coute. Mais cela est possible, si l’on demande sincèrement à Dieu de nous donner de lui obéir, en vivant selon sa volonté.
Jésus dit à ses disciples dans JEAN 15 : 3-5,7-8,10-12, ce qui suit, après avoir pris comme image de sa relation avec eux, celle de la relation existante entre le cep (le tronc du pied de vigne) et les sarments (que sont les branches du tronc de vigne qui portent les grappes de raisins). Je cite « Vous, vous êtes déjà purs, à cause de la parole que je vous ai dite. En effet, pour Dieu, lorsque quelqu’un se fait baptiser, celui qui accepte Jésus, comme Sauveur personnel est pur de tous péchés. Donc pardonné de tout le mal qu’il a comis depuis sa naissance. Il a fait ce choix, parce qu’il a entendu la voix de Dieu l’instruisant, concernant ce qui est bien ou mal à ses yeux, par les Saintes-Ecritures (LA BIBLE), et décide de vivre dorénavant, la vie ‘d’obéissance de Jésus, selon l’instruction reçu de lui. Demeurez en moi, comme moi en vous. Tout comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure dans la vigne, vous non plus, si vous ne demeurez en moi.
Jésus nous dit de demeurer en lui, comme lui en nous afin que notre manière de vivre soit vu de ceux qui ne croient pas que l’on peut vivre une vie d’obéissance aux commandements de Dieu, et par là même glorifier le nom de Dieu. Cela dit, si Jésus nous demande de demeurer en lui, c’est parce que, par sa grâce, nous sommes déjà en lui, et lui en nous. C’est moi qui suis la vigne ; vous, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi, comme moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; hors de moi, en effet, vous ne pouvez rien faire.
Nous dit Jésus.
Dès son baptême, voir avant, celui qui croit en Dieu et Jésus, porte du fruit à la gloire de Dieu, en ce qu’il commence à obéir aux commandements de Dieu dont il a appris l’existence. Et Jésus l’encourage à continuer, en lui disant de demeurer en lui, et lui rappelle que ce n’est pas par la force personnelle du croyant que ce miracle se produit dans sa vie. Ce miracle est possible, parce que Jésus vit en lui. Si vous demeurez en moi et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voudrez, et cela vous arrivera. Mon Père est glorifié en ceci : que vous portiez beaucoup de fruit et que vous soyez mes disciples. Il est important de se souvenir de la raison pour laquelle nous acceptons d’appartenir à Dieu. Mais parce que nous sommes des humains, pécheurs par nature, il nous arrive d’oublier cet engagement, et c’est à cause de cela que Jésus nous dit : Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi j’ai gardé les commandements de mon Père et je demeure dans son amour. Je vous ai parlé ainsi pour que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète. Voici mon commandement : que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés. Trop souvent il nous arrive d’oublier le commandement ou Dieu nous demande de nous aimer les uns les autres comme Jésus nous a aimé, donné par Jésus. Surtout lorsque nous devons le mettre en pratique envers les autres. Et pourtant il n’est pas difficile de s’en souvenir, car il est écrit dans MATTHIEU 7 : 12 « Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, c’est la loi et les prophètes. » (NBS) Jésus veut dire ici, que si je ne veux pas que quelqu’un m’insulte, parce que je ne veux pas que l’on me fasse de la peine en m’insultant, de ne pas insulter quiconque.
Il va de soi que cela est valable pour toutes situations désagréables, que ce soit en parole ou en action. N’avez-vous jamais ressenti cette joie d’être en harmonie avec tout le monde ? Je ne suis pas en train de vous dire que parce que la joie de Jésus est en vous, que cela est, parce que tout le monde vous aime, et que vous aimez tout le monde.
Non.
Je parle de cette joie intérieure de savoir que personne n’a rien à vous reprocher, d’une part, mais aussi que combien même on vous fasse du mal, vous restez en paix et tranquille, continuant à aimer tous ceux qui vous font du tors en paroles ou en actions.
Vous conviendrez avec moi, qu’AIMER SON PROCHAIN n’est pas compliqué. Ce qui est compliqué, ou difficile pour un être humain, c’est d’accepter que quelqu’un vous fasse du mal, et lui faire du bien en retour, sans se venger. Surtout si cette personne ne vous a pas demandé de lui pardonner le mal qu’il vous a fait.
Je suis d’accord avec vous pour dire que cela à vue humaine est impossible. En revanche lorsque l’on considère ce que Jésus à dit sur la croix avant de mourir dans LUC 23 : 34 « Jésus dit : Père pardonne leur, car ils ne savent ce qu’ils font. » (NBS) on est en droit de poser la question suivante : Comment est-il possible à JESUS de demander à son PERE, de pardonner à ceux qui lui ont infliger tant de souffrance, jusqu'à le tuer, au motif que ceux-ci n’ont aucune conscience d’avoir mal agit envers lui ?
Si je pense à faire du mal à quelqu’un, et que j’obéit à cette pensé inspirée par satan, en agissant ainsi, je suis conscient que je fais du mal à cette personne, parce que j’ai su d’avance que cette personne souffrira du mal que je lui ferai. Permettez-moi de vous dire que c’est parce que j’ai su d’avance que cette personne souffrira de ce mal, que je le lui fais.
Quand JESUS demande à son PERE de pardonner ses bourreaux le mal qu’ils l’ont infligé, au motif qu’ils ne savent ce qu’ils font, il veut dire simplement que ces gens n’ont pas conscience de la portée formidable de leurs actions, dans la mesure où ils ne savent pas que ces actes odieux et la mort de JESUS ont pour conséquence de donner à tous les humains, eux compris bien sûr, la possibilité d’être sauvé de la MORT, le jour où JESUS détruira le mal, satan et tous ceux qui auront refusé le sacrifice de JESUS en leur faveur.
Essayez de faire du bien à qui vous a fait du mal, sans lui reprocher ce mal qu’il vous a fait, et vous serez mieux à même de comprendre l’attitude de JESUS, envers ses bourreaux avant de mourir.
Il y a dans la BIBLE, la définition suprême de l’AMOUR, selon DIEU, que j’apprécie énormément, qui se trouve dans 1 CORINTHIENS 13 : 1-7 « Quand je parlerais les langues des humains et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis une pièce de bronze qui résonne ou une cymbale qui retentit. Quand j’aurais la capacité de parler en prophète, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi qui transporte des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Quand je distribuerais tous mes biens, quand même je livrerais mon corps pour en tirer fierté, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien. L’amour est patient, l’amour est bon, il n’a pas de passion jalouse ; l’amour ne se vante pas, il ne se gonfle pas d’orgueil, il ne fait rien d’inconvenant, il ne cherche pas son propre intérêt, il ne s’irrite pas, il ne tient pas compte du mal ; il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit avec la vérité ; il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il endure tout. » Puis il ajoute au verset 13 « Or maintenant trois choses demeurent : la foi, l’espérance, l’amour ; mais c’est l’AMOUR qui est le plus grand. »
Face à cette définition de l’AMOUR, je me suis rendu compte que je croyais aimer. Alors j’ai demandé à DIEU de me donner de l’AIMER ainsi que mon prochain, comme Lui (Dieu) m’aime, et depuis ce jour, chaque jour Dieu exauce en ma faveur cette prière que je lui ai faite, et je l’en remercie.
Je dois reconnaitre qu’au début ce n’est pas facile. Mais gloire soit rendue à Dieu, chaque jour, Il me conforte dans cet AMOUR qui le caractérise.
En conclusion, considérant le fait que Jésus Homme est aussi Dieu, sa vie n’aura pas de fin, car il est ressuscité et vie éternellement. La BIBLE dit dans 1JEAN 3 : 2 « Bien-aimés, maintenant nous sommes enfants de Dieu, et ce que nous serons ne s’est pas encore manifesté ; mais nous savons que, quel que soit le moment de sa manifestation, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. » (NBS)
La BIBLE dit que Jésus est Fils de DIEU, et fils de l’Homme. Douter de cela, c’est faire injure à Dieu son Père.
Dieu a lui-même promis de donner à celui qui croit en son Fils (Jésus), la vie éternelle promise dans JEAN 3 :16. Car DIEU a tant aimé le monde, qu’Il a donné son Fils unique (Jésus), pour que quiconque met sa foi en en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. (NBS)
Notre problème est le suivant.
Crois-je cette promesse de DIEU ?
Crois-je que Jésus ait le pouvoir de me donner sa vie éternelle, en me ressuscitant au dernier jour, si je m’endors du long sommeil, selon la volonté de son Père, comme écrit dans JEAN 6 : 40, et JEAN 11 : 25 ?
La volonté de mon Père, c’est que quiconque voit le Fils et croit en Lui ait la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour. (NBS)
Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; (NBS)
Si oui, ai-je donné, ou, donnerai-je à Jésus de demeurer en moi, et demeurerai-je en lui en vivant de sa vie ?
Plaise à DIEU et JESUS, que vous viviez pour sa gloire, comme tous les croyants, en ce que vous Lui obéissez en toutes choses, dès maintenant, par la puissance de son ESPRIT habitant en vous, et qu’au dernier jour, vous soyez du nombre de ceux qui ressusciteront pour continuer à vivre sa vie éternelle.
QUE DIEU CONTINUE DE NOUS BENIR.