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Le blog de YESHUA & Jépitho

Nous avons tous, de nombreuses questions concernant Dieu. Cela est tout à fait normal, et cette raison seule, m'a conduit à essayer de répondre, à toutes ses questions qui depuis longtemps m'obsèdent. En faisant des recherches dans la Bible, j'y ai trouver des réponses simples. Ce que j'ai découvert, m'aide à mieux comprendre Dieu, et, soucieux d'aider mon semblable, j'ai décidé de publier, simplement le résultat de mes recherches, de manière qu'il soit compris par tous. Toutefois, le résultat de mes recherches, ne doivent en aucun cas, être interprété comme étant la vérité absolue. Plaise à Dieu, que ce que j'écris, vous aide à mieux le connaître et le comprendre, comme il en est pour moi. Votre serviteur. Jépitho MARCE.

LA LOI DE DIEU A TRAVRES JESUS

Publié le 9 Décembre 2017 par YESHUA & Jépitho

LA LOI DE DIEU A

TRAVERS JESUS

 

 

Beaucoup de personnes se disant chrétiennes ont très souvent la réflexion suivante, au sujet de la loi de Dieu. Je cite : « Une personne non croyante, n’est pas obligée d’obéir aux dix commandements de Dieu en devenant chrétienne, parce que JESUS-CHRIST est la fin de la loi. » Fin de citation.

Loin de moi l’idée de mal juger ces personnes, qui, dois-je le rappeler sont mes frères et sœurs en Christ. De plus, je suis sûr que ses personnes qui disent cela aiment très sincèrement, Jésus et Dieu. Ces personnes fondent cette idée, sur le texte de ROMAINS 10 : 4, qui dit « Car Christ est la fin de la Loi, pour que la justice soit à quiconque croit. » (NBS).

Il est vrai qu’il est écrit que Christ est la fin de la loi ! Mais il faut savoir, que cette citation est à la fin d’un texte commencé dans ROMAINS 9 : 30, se terminant au verset 4 de ROMAINS 10, ou l’apôtre Paul explique la différence entre les non juifs, qui ne poursuivaient pas la justice, ont obtenus une justice – celle qui relève de la foi -- tandis qu’Israël, qui poursuivait une loi de justice, est passé à côté de cette foi. (NBS).

Il est dommage qu’une seule partie de ce texte soit retenue. Cela à mon humble avis, induit beaucoup de personnes qui veulent servir Dieu fidèlement en erreur.

Malgré leur sincérité, il me faut leur dire que si au texte disant Christ est la fin de la loi, ils disent également que c’est pour que la justice soit à quiconque croit, cela change la manière de comprendre le fait que Jésus est la fin de la loi.

Ne nous emballons pas !

Je peux vous citer plusieurs textes pour étayer mon résonnement, mais je soumettrai à votre réflexion, uniquement celui qui à mon avis est largement suffisant, pour nous éclairer là-dessus.

Je dois reconnaître que dans ce texte, l’apôtre Paul fait très fort.

Nous lisons dans ROMAINS 8 : 1 et 2 ; « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En effet, la loi de l’Esprit de la vie en Jésus-Christ, t’a libéré de la loi du péché et de la mort. » (NBS).

Afin de bien comprendre ce texte, prenons un exemple que beaucoup d’entre nous peuvent facilement assimiler.

A quel moment un bon conducteur est-il verbalisé par un représentent de l’ordre publique, gendarme ou policier ?

Je crois que je peux dire, sans risque de me tromper, que cela n’arrive jamais. Mais à vue humaine, peut être aurais-je due écrire un très bon conducteur. Je crois que même là, je cours le risque d’être à côté de la question. Car vous serez d’accord avec moi pour dire, que la perfection n’étant pas de ce monde, il y a peu de chance, que je trouve un conducteur qui n’ai jamais été verbalisé, ou qui n’a jamais commis d’infraction au code de la route.

N’ayant moins, pour qu’un policier ou un gendarme verbalise un conducteur, il doit pouvoir démontrer à ce conducteur, qu’il a enfreint au moins un article du code de la route. Or un bon conducteur est par définition, quelqu’un qui respecte scrupuleusement le code de la route d’une part, et de ce fait ne peut être accusé d’enfreindre ce code, ou, devrais-je dire cette loi, et aussi n’a jamais eu ou très peu eu d’accident.

Je crois qu’il en est de même, pour celui qui croit en Dieu et Jésus.

En effet, celui qui aux yeux de Dieu est irréprochable au regard de sa loi, les dix commandements, c’est celui qui n’en transgresse aucun article, ou plus précisément aucun commandement. La loi de Dieu, les dix commandements est utile, pour nous faire savoir que nous avons péché. Mais si nous ne désobéissons à aucun commandement de sa loi, pourquoi Dieu nous condamnerait il ? Comment le pourrait-Il ?

Nous sommes injustes devant Dieu, parce que Dieu est juste et nous des pécheurs, en ce que nous transgressons sa loi. Dieu est prêt à nous pardonner nos transgressions de sa loi, parce qu’il nous aime et le prouve par le Sacrifice de son Fils Jésus-Christ. En devenant croyants, et reconnaissant que nous sommes pécheurs, nous demandons à Dieu de nous pardonner. Répondant à notre appelle Dieu nous pardonne, parce que nous démontrons que nous avons foi en Lui et son Fils Jésus, par une Obéissance scrupuleuse de sa Loi et de fait, son Amour nous couvrant, il n’existe plus pour nous de condamnation de sa part.

Rendu juste devant Dieu par Jésus, Dieu n’a plus besoin de sa loi pour nous condamner. Cela équivaut à ce que cette loi pour Dieu n’existe plus, dans la mesure où, tant que le croyant obéit à cette loi, Dieu n’en a pas besoin pour le condamner, tout comme le conducteur qui ayant appris le code de la route, faisant l’effort d’obéir à ce code, de fait, ne peut être condamné par un agent de la force publique, gendarme ou policier utilisant pour cela le code de la route.

L’apôtre Paul ajoute dans ROMAINS 8 : 3 à 9 ce qui suit : « Car chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force – Dieu en envoyant son propre Fils dans une condition semblable à la chaire du péché, en rapport avec le péché, a condamné le péché dans la chair, pour que la justice requise par la loi soit accomplie en nous qui marchons non selon la chair mais selon l’Esprit. En effet ceux qui sont sous l’emprise de la chair s’accordent aux tendances de la chair, tandis que ceux qui sont sous l’emprise de l’Esprit, s’accordent aux tendances de l’Esprit. Or la chair tend à la mort ; l’Esprit, lui, tend à la vie et à la paix. Car la chair tend à s’ériger en ennemie de Dieu parce qu’elle ne se soumet pas à la loi de Dieu ; elle en est même incapable. Ceux qui sont sous l’empire de la chair ne peuvent plaire à Dieu. Quant à vous, vous n’êtes pas sous l’empire de la chair, mais sous celui de l’Esprit, s’il est vrai que l’Esprit de Dieu habite en vous. Et si quelqu’un n’a pas l’Esprit du christ, il ne lui appartient pas. » (NBS).

Il est important de constater, que la loi n’est pas morte alors que le péché l’est, parce que l’apôtre Paul nous dit que Dieu par Jésus-Christ, a condamné le péché dans la chair, pour que la justice requise par la loi, soit accomplie en nous qui marchons non selon la chair (c'est-à-dire vivre en faisant ce qui nous fait plaisir) mais selon l’Esprit (c'est-à-dire vivre selon ce qui fait plaisir à Dieu). Celui qui, lorsqu’il est tenté de faire ce qui déplait à Dieu, c’est à dire ce qui est mal, en n’obéissant pas à l’Esprit de Dieu qui lui dit de faire plutôt le bien, marche selon la chair en faisant ce qui est mal. A contrario, celui qui est tenté de faire ce qui déplait à Dieu, c'est-à-dire ce qui est mal, en obéissant à l’Esprit de Dieu, qui lui dit de faire plutôt ce qui est bien, marche selon l’Esprit, cela est bien. N’oublions pas que celui qui marche selon la chair est ennemi de Dieu, parce qu’il ne se soumet pas à la loi de Dieu.

Pourquoi si la loi de Dieu est abolie, est-il question ici de se soumettre ou pas à la loi de Dieu ? L’apôtre Paul ajoute « Or si le Christ est en vous le corps il est vrai est mort à cause du péché, mais si l’Esprit est vie à cause de la justice, (la justice ici est l’obéissance à la loi de Dieu. C’est moi qui souligne) Et si l’Esprit de celui qui a réveillé Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a réveillé Christ d’entre les morts fera aussi vivre vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous ». ROMAINS 8 : 10 et 11. (NBS).

Lorsque l’apôtre Paul dit que le corps il est vrai est mort à cause du péché, si l’Esprit de Christ est en vous, il faut comprendre que du fait que vous avez accepté Jésus comme sauveur et Seigneur, son Esprit étant en vous, vous ne vivez plus en faisant ce que vous désirez, ou ce que vous voulez. Plus précisément, vous ne vivez plus en faisant uniquement ce qui vous fait plaisir. Ne vivant donc plus pour vous même, cela revient à dire que vous êtes mort spirituellement parlant et vivez pour Dieu, parce que votre vie est désormais à Dieu, par l’Esprit de Jésus qui est en vous. Lorsque l’Esprit de Jésus vous suggère de faire ce qui est bien, en lieu et place de ce que vous désirez faire qui est mal, et que vous obéissez à l’Esprit de Jésus, cela revient à dire que ce n’est plus vous qui vivez, mais Jésus qui vit en vous et par vous. D’ailleurs, n’écrit-il pas à la fin du verset 11 de ROMAINS 8, que Dieu fera aussi vivre vos corps mortels, par son Esprit qui habite en vous. Lorsque Paul dit que Dieu fera aussi vivre vos corps mortels, il ne parle pas ici de la résurrection au dernier jour, qui sera notre vie future dans l’Eternité avec Dieu et Jésus, mais de notre vie aujourd’hui suivant notre baptême au nom du Père, du Fils et Saint-Esprit qui est notre nouvelle naissance. Car il écrit au sujet de la résurrection au dernier jour, dans 1 CORINTHIENS 15 : 51 à 55. « Je vais vous dire un mystère : nous ne nous endormirons pas tous ; mais nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. Car elle sonnera, et les morts se réveilleront, impérissable, et nous, nous serons changés. Il faut en effet que le périssable revête l’impérissable, et que le mortel revête l’immortalité. Lorsque le périssable aura revêtu l’impérissable, et que le mortel aura revêtu l’immortalité, alors sera accomplie la parole qui est écrite : la mort a été engloutie dans la victoire. Mort, ou est ta victoire ? Mort ou est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi. » (NBS). Ce texte est traduit avec une légère différence, dans la Nouvelle Version Segond Révisée, Alliance Biblique Universelle de 1992. Mais, quand on l’analise, il veut dire la même chose. Je cite : « voici je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. Car elle sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles et nous, nous serons changés (nous-ceux qui seront trouvés vivants au retour de Jésus. C’est moi qui souligne). Il faut en effet que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : la mort a été engloutie dans la victoire. O mort ou est ta victoire ? O mort ou est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché c’est la loi. » (NVSR).

Nous lisons aussi dans, GALATES 2 : 20. « Je suis crucifié avec le Christ, (je suis mort avec le Christ. C’est moi qui souligne) ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi ; ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi du Fils de Dieu qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. » (NBS).

Effectivement, Dieu peut aujourd’hui faire vivre dans une obéissance totale à sa loi, tout être humain qui croit cela possible et demande à Dieu de lui donner de réaliser cela dans sa vie par l’Esprit de Jésus, pour la gloire de Dieu. A la question : qu’est-ce que vivre selon la chair, et vivre selon l’Esprit ?

Paul nous fait cette recommandation, que nous trouvons dans GALATES 5 : 16 à 25, « Je dis plutôt : Marchez par l’Esprit, et n’accomplissez pas ce que la chair désire, car la chair a des désires contraires à l’Esprit, et l’Esprit en a de contraire à la chair ; ils sont opposés l’un à l’autre, de sorte que vous ne faites pas ce que vous voudriez. Mais si vous êtes conduits par l’Esprit, vous n’êtes pas sous la loi. Or les œuvres de la chair sont manifestes : inconduite sexuelle, impureté, débauche, idolâtrie, sorcellerie, hostilités, disputes, passions jalouses, fureurs, ambitions personnelles, divisions, dissensions, envie, beuveries, orgies et autres choses semblables. Je vous préviens, comme je l’ai déjà fait : ceux qui pratiquent de telles choses n’hériteront pas le royaume de Dieu.

Quant au fruit de l’Esprit, c’est : Amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, douceur, maitrise de soi ; aucune loi n’est contre de telles choses.

Mais ceux qui appartiennent à Jésus-Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs. Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi par l’Esprit. » (NBS).

Vivre selon l’Esprit de Dieu, n’est pas une chose possible aux humains d’emblée.

Mais je peux vous assurer que cela est possible, pour peu qu’on le demande sincèrement à Dieu. Dieu en effet, peut nous donner la force ou la puissance, de renoncer à faire ce qui nous plait pour faire ce qui plait à Dieu, et persévérer chaque jour dans cette voie par son Esprit. N’oublions pas toutefois, que si malgré la présence de l’Esprit de Dieu en nous, il nous arrive de lui désobéir, c’est parce que malheureusement jusqu’à la fin de notre vie ou jusqu’au retour de Jésus, si nous sommes vivants à ce moment-là, nous avons et aurons à lutter contre la tentation de faire ce qui est mal. Il est fort possible, même si l’Esprit de Dieu est en nous, qu’il nous arrive de désobéir à Dieu. Dans ce cas, n’oublions pas de demander pardon à Dieu qui est et sera toujours prêt à nous pardonner. Dieu ne repousse, ni ne repoussera jamais quelqu’un, qui lui demande pardon sincèrement. Il n’y a pas de mal en Dieu, donc pas de méchanceté.

Jésus nous dit dans MATTHIEU 5 : 17 à 19. « Ne pensez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes. Je ne suis pas venu pour abolir, mais pour accomplir. Amen, je vous le dis, en effet, jusqu’à ce que le ciel et la terre passent, pas un seul iota ou un seul trait de lettre de la loi ne passera, jusqu’à ce que tout soit arrivé.

Celui donc qui violera l’un de ces plus petits commandements et qui enseignera aux gens à faire de même sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux, mais celui qui les mettra en pratique et les enseignera, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. » (NBS).

Afin que l’on ne se méprenne pas sur le sens du mot loi dans ses paroles, Jésus va jusqu’à préciser de quelle loi il parle, en citant aux versets 21 et 22 l’un des dix commandements : « Vous avez entendu qu’il a été dit aux anciens : Tu ne commettras pas de meurtre ; celui qui commet un meurtre sera passible du jugement. Mais moi je vous dis : quiconque se met en colère contre son frère sera passible du jugement. Celui qui traitera son frère de raka (RAKA : signifiant vide, tète creuse. NBS) sera passible du sanhédrin. Celui qui le traitera de fou sera passible de la géhenne de feu. (NBS).

Jésus dit encore aux versets 27 et 28, comme pour confirmer que la loi dont il parle est bien la loi prononcer sur le mont Sinaï dans EXODE 20 ; « Vous avez entendu qu’il a été dit : Tu ne commettras pas d’adultère. Mais moi je vous dis : quiconque regarde une femme de façon à la désirer a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur. » (NBS).

D’après certaines personnes, le mot loi dans la Bible fait référence à tout ce qui y est écrit.

Dans l’absolue cela ne me gêne en rien, sauf que l’écriture Biblique n’est pas que de lois.

Oui j’ai bien écrit le mot loi au pluriel, parce que dans la Bible sont écrites différentes lois, dont la loi suprême, appelé la loi morale que Dieu a prononcé du mont Sinaï, dont il a voulu montrer la pérennité en l’inscrivant sur la pierre par deux fois. Qui aujourd’hui, après plusieurs milliers d’années que cette loi ait été prononcée, ne souffre pas de savoir qu’un être cher a été tué, d’une manière ou d’une autre par quelqu’un ?

Jusqu’à preuve du contraire, personne. Certains disent parfois : je ne pardonnerai jamais cela, et d’autres vont même jusqu’à se venger, en tuant celui qui est responsable de la mort de cet être cher, tant leur souffrance est grande.

Qui aujourd’hui est heureux d’apprendre, qu’il ou elle est trompée, ou est victime d’adultère ?

Là encore je peux affirmer, sans l’ombre d’un doute.

Personne.

J’irai même plus loin. Lorsque deux personnes vivent ensemble dans un concubinage, si l’un d’entre eux décide de mettre fin à cet état de chose, parce qu’il ou elle a rencontré quelqu’un d’autre qui correspond mieux à ses attentes, celui ou celle qui est délaissé en souffre tant, que certains vont jusqu’au meurtre dans leur refus de cette séparation, alors que ces personnes ne sont pas engagées l’un envers l’autre par le mariage. Qui aujourd’hui, est heureux de constater qu’il ou elle a été volée ?

Ici encore personne. Le fait que l’adultère, le meurtre ou le vol sont des actes déplaisants, démontre avec force, que la loi que Dieu à prononcer du haut du mont Sinaï est toujours d’actualité. De plus, ces actes dans tous les pays, dans tous les peuples, quel que soit la civilisation sont répréhensibles par des lois établies par les humains, sur la base de la loi de Dieu dont la transgressions est comme Jésus le rappelle répréhensible par Dieu.

Est-il vraiment nécessaire de dire, que le ciel et la terre ne sont pas encore passés ?

Cela étant, nous pouvons aisément comprendre pourquoi nous sommes terriblement en souffrance, lorsque nous sommes victimes du non-respect d’un commandement de la loi de Dieu. Je crois que vous serez d’accord avec moi pour dire, qu’effectivement la venue de Jésus sur la terre il y a deux mille ans, n’a pas abolie les dix commandements appelés la loi d’amour ou la loi de l’amour.

Jésus nous fait une recommandation très importante, au sujet de sa personne que nous trouvons dans JEAN 14 : 1 « Que votre cœur ne se trouble pas. Mettez votre foi en Dieu, mettez aussi votre foi en moi. » (NBS). Cette recommandation de Jésus de croire en lui, autant que l’on croit en Dieu est d’une grande importance pour tous les humains, parce qu’il ajoute aux versets 2 et 3 du même chapitre « Il y a beaucoup de demeures, dans la maison de mon père. Si non, vous aurais-je dit que je vais vous préparer une place ? Si donc je m’en vais vous préparer une place, je reviens vous prendre auprès de moi, pour que là, ou, moi je suis, vous soyez vous aussi. » (NBS). Celui qui croit en Dieu doit, pour hériter la vie éternelle, croire aussi en Jésus qui donne cette vie, parce que Jésus dit : si donc, je m’en vais vous préparez une place, je reviens vous prendre auprès de moi, pour que là ou moi je suis vous soyez aussi. Je voudrais ajouter au sujet de Jésus et la loi de Dieu, que c’est Jésus qui a prononcé les dix commandements du haut du Sinaï, et c’est aussi lui qui l’a écrite par deux fois sur la pierre. Je comprends qu’une telle affirmation vous soit déroutante. Mais voyons ensemble, par les Ecritures, ce qui justifie de manière absolue une telle affirmation.

Dès le début des dix commandements, l’auteur de cette loi atteste son nom de la manière suivante : « Je suis le Seigneur(YHWH) ton Dieu ; c’est moi qui t’a fait sortir de l’Egypte, de la maison des esclaves. » EXODE 20 : 2 (NBS). Dans ce texte, les mots Je suis sont le nom de l’auteur des dix commandements. Pour le comprendre, il suffit de remplacer les mots Je suis par un prénom, ou un nom quelconque. Par exemple le vôtre, en toute modestie bien sûr. Pour ma part je dirai simplement : Jésus le Seigneur(YHWH) ton Dieu ; c’est moi qui t’a fait sortir de l’Egypte, de la maison des esclaves. On voit très bien, par cette méthode, que le texte, ne souffre pas du tout de ce changement, et celui-ci reste convainquant.

De plus dans la Bible, nous lisons dans JEAN 8 : 58 « Jésus leur dit : Amen, amen, je vous le dis avant qu’Abraham vienne à l’existence, moi, je suis. (NBS).

Dans ce texte nous voyons que Jésus se définît comme étant Dieu, puisqu’il dit être plus vieux qu’Abraham. Au verset 59, nous lisons : « Là-dessus, ils prirent des pierres pour les lui jeter ; mais Jésus se cachât et sortie du temple ». (NBS). La réaction des juifs est due au fait que pour eux, Jésus se disant plus grand qu’Abraham se fait Dieu, le Je suis, qui a fait sortir Israël d’Egypte. Dans JEAN 10 : 31 nous lisons que les Juifs ramassèrent à nouveau des pierres pour le lapider (NBS), et quand Jésus leur demande la raison de leur geste, ils lui répondent au verset 33 de JEAN 10, « Ce n’est pas pour une belle œuvre que nous allons te lapider, mais pour blasphème, parce que, toi qui est un homme, tu te fais Dieu. » (NBS). En lisant toute cette histoire, dans JEAN 10 : 22 à 42, vous comprendrez mieux encore mon propos. Dans la Bible NBS, en bas de la page 97 du livre de l’Exode, il y a un commentaire des traducteurs de la Nouvelle Bible Second que je retranscris, tel quel. Ce commentaire, est au sujet des mots, JE SERAI ou JE SUIS que Dieu dit être son nom, en réponse à la question de Moise concernant le nom du Dieu des pères d’Israël qui l’envoi vers eux.  Je cite, « Je serai qui (ou ce que) je serai (cf. v. 12) : formule traditionnellement rendue par je suis celui qui suis, et dont le sens pourrait aussi être je suis qui suis ou encore je suis (celui qui est) je suis. Dans cette tournure inhabituelle et énigmatique (cf. Gn 32.30 ; Jg 13.18), le verbe être est exprimé en hébreu, alors qu’il est d’ordinaire sous-entendu (p. ex. au v. 11 ; 20.2). Certains modifient la vocalisation traditionnelle du texte hébreu pour lire je ferai être qui (ou ce que) je ferai être ; LXX a traduit : Je suis celui qui est (cf. Es 43.10ss). Voir aussi Ex. 33.19 ; Es52.6 ; Ez 12.25 ; Os 1.9 ; Za 2.9 ; Jn 8.24 ; Ap 1.4. » Fin de citation.

Cette citation devrait mieux vous faire comprendre, que Jésus est le Dieu d’Abraham, d’Isaac, et de Jacob, qui sont les pères des Israelites. C’est Jésus qui les a sortis d’Egypte, et qui leur a aussi donné les dix commandements du mont Sinaï. Jésus aujourd’hui encore, nous fait savoir que tous ces commandements sont encore valables, donc toujours d’actualité. Tous ceux qui disent croire en Dieu, jusqu’à preuve du contraire sont tenus d’obéir à ses commandements sans aucune restriction. J’insiste sur le fait, que Dieu veut que tous ceux qui disent croire en lui obéissent à tous ses commandements, parce qu’aujourd’hui, il y a dans le monde beaucoup de personnes se disant chrétiennes, qui pourtant sont prêts à obéir qu’à neuf commandements ou moins plutôt qu’aux dix. Cela je crois est une erreur, c’est aux yeux de Dieu une faute grave qui peut leur couter la vie éternelle, que Dieu veut leur donner.

Voici pourquoi.

Au sujet des commandements de Dieu, permettez-moi de vous rappeler ce que dit la Bible par exemple dans PSAUMES 19 : 9 ; « Les directives du Seigneur sont droites, elles réjouissent le cœur ; le commandement du Seigneur est limpide, il fait briller les yeux» (NBS). Dans ce texte, nous voyons que tout ce que Dieu donne aux humains pour les diriger est forcément utile. Il nous est dit aussi, que ses directives réjouissent le cœur, que le commandement du Seigneur, donc pas des humains est limpide et fait briller les yeux.

Alors je vous le demande. Pourquoi une majorité des églises dites chrétiennes enseignent-elles, à obéir à seulement neuf des dix commandements ?

Se pourrait-il que ceux qui dirigent ces églises, n’ont pas le cœur réjouit par les directives du Seigneur ? Pire encore. Leur vue est-elle si brouillée, que la limpidité du commandement du Seigneur ne peut faire briller leurs yeux ? Dans PSAUMES 119 : 86, nous lisons aussi « Tous tes commandements disent ta constance. » (NBS).

Dieu ne change pas. Il nous est dit dans JACQUES 1 : 16 et 17 ; « Ne vous égarez pas mes frères bien aimés ; tout don excellent, tout présent parfait, vient d’en haut ; il descend du Père des lumières, chez qui il n’y a ni changement, ni éclipse. » (NBS).

Dois-je vraiment commenter ce texte Biblique ?

Dans la mesure ou la loi de Dieu est bonne ; pour quelle raison les humains prennent ils la liberté de rejeter une partie des commandements de Dieu ?

A ce jour, personne n’a pu par la Bible, me démontrer l’obsolescence d’un commandement de Dieu, contenu dans les dix commandements ! Notamment, le commandement concernant le repos du septième jour dans EXODE 20 : 8 à 11, appelé « le commandement sabbatique ». Ce commandement dit : « souviens-toi du sabbat, pour en faire un jour sacré. Pendant six jours tu travailleras, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour, c’est un sabbat pour le Seigneur ton Dieu : tu ne feras aucun travail, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni tes bêtes, ni les immigrés qui sont dans tes villes. Car en six jours le Seigneur a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve, et il s’est reposé le septième jour. C’est pourquoi le Seigneur a béni le sabbat et en a fait un jour sacré. » (NBS). Le commandement concernant le repos Sabbatique du septième jour, n’est pas un commandement que nous devons considérer avec légèreté. Il est aussi important que tous les autres. A mon humble avis, il est le plus important de tous, du fait qu’il porte la Signature du Législateur de la loi, les dix commandements, qui n’est autre que Dieu Lui-même. D’autant que Dieu rappelle dans ce commandement, qu’il s’est reposer le septième jour de la création, ce que nous pouvons lire dans GENESE 2 : 2 et 3. « Le septième jour, Dieu avait achevé tout le travail qu’il avait fait ; le septième jour il se reposa de tout le travail qu’il avait fait. Dieu bénit le septième jour et en fit un jour sacré, car en ce jour Dieu se reposa de tout le travail qu’il avait fait en créant. » (NBS). A vrai dire, je ne pense pas que Dieu en créant, fut si fatigué qu’il eut besoin de repos. Toutefois, je crois qu’en se reposant, Dieu voulait nous être en exemple.

Le texte Biblique dit, Dieu béni le septième jour, et en fit un jour sacré, cela me semble-t-il veut dire, que ce jour n’est pas à considérer comme les autres jours de la semaine.

Le septième jour est un jour sacré, dans la mesure où tous les croyants, répondants à une sainte convocation de Dieu se réunissent pour l’adorer, passer plus de temps à l’étude de la Bible, visiter ceux qui sont souffrants, ou d’autres personnes que les autres jours de la semaine ils ne peuvent visiter, du fait qu’ils sont occupés à leurs différentes activités séculières.

Le septième jour, il est aussi permis de se récréer en famille dans la nature, dans la mesure du possible. En fait le jour du sabbat de Dieu, les humains doivent cesser toutes activités séculières et ne plus même penser aux différents problèmes d’ordres matériels qu’ils ont rencontré, pendant les six jours précédant le jour du sabbat. Alors le septième jour de la semaine, les humains sont appelés par Dieu, à se reposer physiquement et mentalement.

 

Puisqu’il faut se reposer le septième jour, quel jour de la semaine est le septième jour ?

Il y a deux manières de savoir, quel jour de la semaine est le septième.

La première et la plus simple est celle qui consiste à savoir, quel jour de la semaine est le jour de repos des juifs à notre époque. Dieu dans la Bible a donné au peuple d’Israël, qui à cette époque est constitué de tous les ancêtres du peuple Juif d’aujourd’hui, le commandement de garder le jour du sabbat, comme une alliance perpétuelle dans toutes leurs générations. Nous pouvons lire ceci dans EXODE 31 : 13 à 17. « Le Seigneur dit à Moise : Toi dit aux Israelites : surtout, vous observerez mes sabbats : ce sera un signe entre moi et vous, dans toutes vos générations, afin qu’on sache que c’est moi, le Seigneur (YHWH), qui vous rend saint. Vous observerez le sabbat, car il est sacré pour vous : celui qui le profanera sera mis à mort. Quiconque travaillera ce jour-là sera retranché du sein de son peuple. Pendant six jours on travaillera ; mais le septième jour il y aura sabbat, repos sabbatique sacré pour le Seigneur. Quiconque travaillera le jour du sabbat sera mis à mort. Les Israelites observeront le sabbat ; ils célébreront le sabbat dans toutes leurs générations, comme une alliance perpétuelle. Ce sera entre moi et les israélites un signe pour toujours ; car en six jour le Seigneur a fait le ciel et la terre, et le septième jour il s’est reposé et il a repris haleine ». (NBS). Nous pouvons voir à la lecture de ce texte, combien l’observation du commandement sabbatique est d’une grande importance pour Dieu, du fait qu’il est dit dans le texte, que ceux qui seraient pris à transgresser ce commandement, seraient mis à mort. J’ajoute que si l’on connait bien l’histoire du peuple d’Israël, on sait que Dieu lui a donné le commandement sabbatique, bien avant les dix commandements sur le mont Sinaï. Ceci est écrit dans EXODE 16 : 13 à 31, au sujet de ce qu’il fallait faire de la manne, et plus particulièrement de la manière qu’elle devait être récoltée. Notamment aux versets 22 à 30, il est écrit « le sixième jour, ils en recueillirent le double, deux omers (environ 2 litres. C’est moi qui souligne) pour chacun. Tous les princes de la communauté vinrent le dire à Moise. Moise-leur répondit : C’est ce que le Seigneur a dit. Demain, c’est le repos sabbatique, un sabbat consacré au Seigneur ; faites cuire ce que vous avez à faire cuire, faites bouillir ce que vous avez à faire bouillir, et tout le surplus, laissez-le en réserve jusqu’au matin. Ils le laissèrent jusqu’au matin, comme Moise l’avait ordonné ; cela ne devint pas de la puanteur, on n’y trouva pas de vers. Moise dit : Mangez-le aujourd’hui ; car aujourd’hui est un sabbat pour le Seigneur ; aujourd’hui vous n’en trouverez pas dans la campagne. Pendant six jours vous en recueillerez ; mais le septième jour, c’est le sabbat ; il n’y en aura pas. Le septième jour, des gens sortirent pour en recueillir, mais ils n’en trouvèrent pas. Alors le Seigneur dit à Moise : jusqu’à quand refuserez-vous d’observer mes commandements et mes lois ? Regardez : si le Seigneur vous a donné le sabbat, il vous donne aussi au sixième jour de quoi manger pour deux jours. Que chacun reste donc où il est ; que personne ne sorte de chez lui le septième jour. Ainsi le peuple fit sabbat le septième jour ». (NBS).

 A la lumière de ce texte, nous voyons que tous ceux qui disent que le commandement sabbatique est caduc se trompent lourdement. Parce que le peuple juif, ou plutôt le peuple d’Israël, a reçu ce commandement un mois et demi avant d’arriver au mont Sinaï. Dans EXODE 16 : 1, commence l’épisode de la manne. Nous y lisons que « Toute la communauté des Israelites partit d’Elim ; ils arrivèrent au désert de Sin, qui est entre Sin et le Sinaï, le quinzième jour du deuxième mois à compter de leur sortie d’Egypte ». (NBS)

J’attire votre attention sur le fait que concernant la manne, Dieu faisait deux miracles. Le premier était que pendant les six premiers jours de la semaine, ceux qui avait récolté trop ou pas assé de manne retrouvaient juste ce dont ils avaient besoin, au moment de la peser. Le septième jour, Dieu faisait le miracle de permettre qu’il n’y ait pas de vers dans la portion de manne récolté le sixième jour qui était gardé pour la nourriture du septième jour ; alors que par exemple, lorsqu’il était gardé une partie de ce qui était récolté un autre jour de la semaine pour le lendemain, il s’y trouvait des vers. EXODE 16 :17 à 20 (NBS)

La seconde est celle qui consiste à considérer, comme le dit l’Eglise catholique, que le jour de la crucifixion de Jésus, qui est le sixième jour de la semaine Biblique, jour de la préparation du sabbat, soit appelé « Vendredi saint ». Elle conseil même, de ne pas manger ce jour-là de viande, en mémoire du sacrifice de Jésus-Christ, ce qui n’est pas une mauvaise chose en soit. A ce sujet nous lisons dans LUC 24 : 50 à 56 « Il y avait un membre du conseil nommé Joseph, un homme bon et juste, qui n’avait pas participé aux décisions et aux actes des autres ; il était d’Arimathée, ville des juifs et il attendait le règne de Dieu. Il se rendit chez Pilate et demanda le corps de Jésus. Il le descendit de la croix, l’enveloppa d’un drap et le mit dans un tombeau taillé dans le roc ou personne ne gisait encore. C’était le jour de la préparation, et le sabbat allait commencer. Les femmes – celles-là même qui était venues de Galilée avec lui - suivirent, elles virent le tombeau et la manière dont son corps y fut mis, et elles s’en retournèrent pour préparer des aromates et des parfums. Puis pendant le sabbat, elles observèrent le repos, selon le commandement ». (NBS).

Nous comprenons aisément, que le jour de la préparation du sabbat, sixième jour de la semaine étant le Vendredi saint, forcément le jour suivant qui est le Samedi est le jour du sabbat, septième jour de la semaine ; ce jour que Dieu a déclaré sacré et qui est sien.

Jésus dit dans JEAN 12 : 44 à 50 « Celui qui met sa foi en moi, ce n’est pas en moi qu’il met sa foi, mais en celui qui m’a envoyé ; et celui qui me voit, voit celui qui m’a envoyé. Moi, la lumière, je suis venu dans le monde, pour que quiconque met sa foi en moi ne demeure pas dans les ténèbres. Si quelqu’un entend mes paroles et ne les garde pas, moi, je ne le juge pas, car je ne suis pas venu juger le monde, mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette et qui ne croit pas mes paroles a bien un juge, c’est la parole que j’ai dite qui le jugera au dernier jour. Car moi je n’ai pas parlé de ma propre initiative ; c’est le Père qui m’a envoyé, qui m’a donné lui-même un commandement sur ce que je dois dire et ce dont je dois parler. Et je sais que son commandement est la vie éternelle. Ainsi, ce dont, moi je parle, j’en parle comme le Père me l’a dit. (NBS).

Nous voyons donc, qu’en aucun cas Jésus n’est venu abolir un commandement de Dieu, quel qu’il soit. Il va même jusqu’à nous dire, qu’il y va de notre vie ou de notre mort, que nous obéissions ou pas, croyons ou pas la parole que le Père prononce par lui.

J’ai souvent entendu, je cite : « le sabbat était à observer dans l’ancien testament, et dans la mesure où nous vivons l’époque du nouveau testament, il n’est plus nécessaire de mettre en pratique le commandement sabbatique ». Fin de citation.

A ce jour, personne ne m’a montré un texte Biblique, prouvant une telle allégation.

Par contre, il est entre autres écrits au sujet de l’attitude de Jésus, face au commandement sabbatique ce qui suit dans LUC 4 : 16, « Il (Jésus. C’est moi qui souligne) vint à Nazareth, ou il avait été élevé, et il se rendit à la Synagogue, selon sa coutume, le jour du sabbat. (NBS). Dans la mesure où la seule ambition de Jésus est de faire la volonté de son Père, pourquoi si l’observation du commandement est caduque, selon que son Père l’aurait décidé, observe-t-il celui-ci en allant selon sa coutume nous dit le texte, à la Synagogue pour adorer le jour du sabbat ? Concernant le commandement sabbatique, dans l’ancien et le nouveau testament, je n’ai trouvé aucun texte Biblique affirmant, qu’il serait à observer pendant un certain temps, puis abandonné.

Bien au contraire.

Je vous rappelle que Dieu a demandé aux enfants d’Israël, de garder ce commandement dans toutes leurs générations. Ce qui revient à leur dire, de garder ce commandement éternellement. De plus, nous lisons que Jésus avait coutume d’aller à la Synagogue le jour du sabbat. L’Histoire de Jésus est rapportée dans les quatre Evangiles, MATTHIEU, MARC, LUC, et JEAN. Vous gagneriez beaucoup, à les lire autant de fois que vous le pouvez.

Pourquoi donc Jésus obéit-il aux commandements de Dieu ?

Jésus répond lui-même à cette question, en disant dans JEAN 8 : 29, « Celui qui m’a envoyé est avec moi ; il ne m’a pas laissé seul, parce que, moi, je fais toujours ce qu’il agrée. (NBS). Jésus obéit à Dieu le Père, simplement parce qu’il est agréable à Dieu de voir son Fils lui obéir.

Quel exemple, pour les enfants aujourd’hui.

Je suis père, et je comprends que Dieu prenne plaisir à voir son Fils lui obéir.

Je suis sûr que sa joie n’est pas dirigée vers son égo, parce que quand je vois mon enfant obéir, soit à un commandement ou un conseil que je lui donne pour son bien, je suis heureux pour lui parce que je sais qu’en obéissant, il devient plus fort dans sa vie. Satisfait de la confiance qu’il me porte, je suis encouragé à être pour lui toujours présent, lui être en exemple afin de l’aider à persévérer et être heureux dans la vie.

Dans JEAN 3 : 1 à 3, nous lisons, « Voyez quel Amour le Père nous a donné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes ! Si le monde ne nous connait pas, c’est qu’il ne l’a pas connu. Bien-aimés, maintenant nous sommes enfants de Dieu, et ce que nous serons ne s’est pas encore manifesté ; mais nous savons que, quel que soit le moment de sa manifestation, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui est pur. » (NBS).

Il y a dans ce texte une chose formidable pour nous. En donnant Jésus aux humains, Dieu le Père leurs offre la possibilité de devenir ses enfants. Mais seul ceux qui acceptent ce cadeau qu’est la vie éternelle en Jésus, par leur obéissance à tous les commandements de Dieu montrent qu’ils sont devenus enfants de Dieu. N’oublions pas ce qui est écrit dans JEAN 3 : 16 « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. » (NBS). En fait les Lois, que Jésus a abolie sont toutes lois, concernant le sacrifice d’animaux, préfigurant le sacrifice de Jésus pour le pardon des péchés de tous ceux qui croiront en son sacrifice. Je veux pour preuve de cela, le texte de MATTHIEU 27 : 50 à 52 ou il est écrit « Jésus poussa encore un grand cri et rendit l’esprit. Alors le voile du sanctuaire se déchira en deux, d’en haut jusqu’en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent, les tombeaux s’ouvrirent et les corps de beaucoup de saints endormis se réveillèrent » (NBS). Quand on sait l’importance de ce voile dans la construction du tabernacle, puis du temple, son utilité qui était de séparer le lieu sacré du lieu très sacré, ce que nous lisons dans EXODE 26 : 30 à 34 ; « Tu dresseras la demeure selon la disposition qui t’a été montré dans la montagne. Tu feras un voile de pourpre violette et rouge, d’écarlate et de fin lin retors, avec des keroubim ; ce sera un ouvrage d’artisan. Tu le mettras sur quatre colonnes d’acacia couvertes d’or, posées sur quatre socles d’argent. Tu mettras le voile au-dessous des agrafes ; c’est là, à l’intérieur, au-delà du voile, que tu feras entrer le coffre du Témoignage ; le voile constituera pour vous la séparation entre le Sacré et le Très-Sacré » (NBS), on peut aisément comprendre, qu’à partir de la destruction du voile, tous sacrifices d’animaux n’a plus de raison d’être, puisque la séparation entre le lieu Sacré et le très-Sacré n’est plus. Ce voile mesurant 20 coudées, soit 10 mètre de haut, n’a pu être déchiré de haut en bas, que par la main d’un être surnaturel, soit un ange de l’Eternel, au moment où Jésus expira. « Il (Salomon fils du roi David. C’est moi qui souligne) bâtit sur vingt coudées, le fond de la maison en planches de cèdre, depuis le sol jusqu’en haut des murs, et il bâtit ainsi l’intérieur pour en faire le Secret, le Très-Sacré. » 1ROI 6 : 16 (NBS) De plus concernant les Lois sabbatiques, il y avait deux types de sabbats qui étaient, le sabbat du septième jour, et les jours de sabbat qui étaient des jours que Dieu avait déclaré fériés ; par exemple, le jour des expiations. Nous lisons donc dans LEVITIQUE 23 : 26 à 32 « Le Seigneur dit à Moise : Le dixième jour de ce septième mois, il y aura le jour de l’expiation. Il y aura pour vous convocation sacrée : vous vous priverez et vous présenterez au Seigneur des offrandes consumées par le feu. Vous ne ferez aucun travail ce jour même, car c’est le jour de l’expiation, le jour ou l’expiation doit être faite sur vous devant le Seigneur votre Dieu. Quiconque ne se privera pas ce jour même sera retranché de son peuple. Quiconque travaillera ce jour même, je le ferai disparaitre du saint de son peuple. Vous ne ferez aucun travail. C’est une prescription perpétuelle, pour toutes vos générations, dans tous vos lieux d’habitation. Ce sera pour vous un sabbat, un repos sabbatique, et vous vous priverez ; le neuvième jour du mois, au soir, vous ferez votre sabbat, d’un soir à l’autre. » (NBS) Il y avait d’autres jours de fêtes, déclarés fériés, donc sabbats par l’Eternel, qui ne sont plus aujourd’hui d’actualité.

Nous disons que nous croyons en Dieu, et dans ce cas nous sommes enfants de Dieu !

Pourquoi alors, ne pas obéir aux dix commandements de Dieu, comme Jésus ? A ceux qui se disent enfants de Dieu, l’Apôtre Paul dit dans ROMAINS 8 : 9 « Quand à vous, vous n’êtes pas sous l’empire de la chair, mais sous celui de l’Esprit, s’il est vrai que l’Esprit de Dieu habite en vous. Et si quelqu’un n’a pas l’Esprit du Christ il ne lui appartient pas. » (NBS).

 

Mais qu’est-ce qu’avoir l’Esprit de Christ ?

Jésus répond à cette question dans JEAN 4 : 34 « Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé et d’accomplir son œuvre. » (NBS). Nous voyons donc, que celui qui est enfant de Dieu est conduit par l’Esprit de Dieu le Père qui est en lui. De cela il en résulte qu’il a l’Esprit de Jésus-Christ, c'est-à-dire qu’il fait la volonté de Dieu son Père, parce qu’il sait qu’en obéissant à Dieu en tout point comme Jésus, Dieu qui est maintenant aussi son Père est heureux de le voir vivre ainsi. L’apôtre Pierre aussi nous donne une vision, de ce qu’est d’être un enfant de Dieu. Ce texte nous montre, qu’il ne suffit pas de se dire enfant de Dieu pour l’être. Le texte suivant nous donne une vision exacte, de ce qu’est d’être enfant de Dieu, et nous permet de savoir si l’on est véritablement un enfant de Dieu.

Nous lisons donc dans 1 PIERRE 5 : 1 à 5 « Quiconque croit que Jésus est le Christ est né de Dieu, et quiconque aime celui qui fait naitre aime celui qui est né de lui. A ceci nous savons que nous aimons les enfants de Dieu : quand nous aimons Dieu et que nous agissons selon ses commandements. Car l’Amour de Dieu, c’est que nous gardions ses commandements. Et ses commandements ne sont pas un fardeau, parce que tout ce qui est né de Dieu est vainqueur du monde ; et la victoire qui a vaincu le monde, c’est notre foi. Qui est vainqueur du monde, si non celui qui croit que Jésus est le fils de Dieu ? (NBS).

Pour ma part, à la lecture de ce texte me viennent les questions suivantes : suis-je vraiment enfant de Dieu ? Ou encore : Suis-je né de Dieu, comme le dit l’apôtre Pierre ?

Dans ce texte, nous voyons que celui qui dit aimer Dieu garde ses commandements.

Alors pourquoi la majorité de ceux qui se disent Chrétiens, n’obéissent il pas à tous les commandements de Dieu et rejettent surtout le commandement disant de se reposer le septième jour, qui marque du sceau de Dieu l’auteur de la Loi ?

Dans JEAN 14 : 15, Jésus dit à tous les enfants de Dieu : « Si vous m’aimez, vous garderez mes commandements ». (NBS). Jésus dit encore, au verset 21, « Celui qui m’aime, c’est celui qui a mes commandements et qui les garde. Or celui qui m’aime sera aimé de mon Père : moi aussi je l’aimerai et je me manifesterai à lui ». (NBS).

J’ai souvent entendu dire que l’observation du sabbat, comme l’indique le commandement a été donnée aux juifs uniquement. Permettez-moi de vous dire, avec tout le respect dû à votre personne, que si vous êtes de ces gens, vous vous trompez gravement, parce que voici ce que nous lisons dans ESAIE 56 : 1 et 2 « Ainsi parle le Seigneur veillez à l’équité, agissez selon la justice ; car mon salut est prêt d’arriver, ma justice est sur le point de se dévoiler. Heureux l’Homme qui fait cela, l’être Humain qui s’y tient, observant le sabbat pour ne pas le profaner, et gardant sa main de toute action mauvaise ». (NBS). Si l’observance du commandement sabbatique est seulement réservée aux Israelites, ou plus précisément aux juifs d’aujourd’hui, pourquoi dans ce texte est-il écrit « Heureux l’homme qui fait cela et l’être humain qui s’y tient », plutôt que, heureux l’Israélite qui fait cela et le juif qui s’y tient ?

De plus nous lisons dans MARC 2 : 27, 28, ce que Jésus dit aux pharisiens, qui lui reprochent le fait que ses disciples ont arraché des épis de blé, dans un champ qu’ils traversaient le jour du sabbat, ce qui suit : « Le sabbat a été fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat, de sorte que le fils de l’homme est maitre même du sabbat ». Il est important me semble-t-il, de remarquer que Jésus dans ce texte dit : le sabbat a été fait pour l’homme et pas le sabbat a été fait pour l’Israelite ou le juif. Jusqu’à preuve du contraire, l’homme dans le texte, fait référence aux humains, et de fait, nous devons tous sur cette terre, obéir au commandement de repos sabbatique, comme à tous les autres commandements du décalogue. Je crois que c’est faire injure à Dieu, que de dire que vous et moi n’avons pas compris, que nous sommes tenus à la lumière de ce qui est écrit dans la Bible, d’observer et mettre en pratique tous les commandements de Dieu, sans mettre de côté le commandement sabbatique.

Pour ma part, je préfère m’attacher à ce qui est écrit dans la Bible, d’autant que dans ce chapitre ESAIE 56, aux versets 6 à 8 il est aussi écrit « Quant aux étrangers (c’est-à-dire vous et moi qui ne sommes pas juifs. C’est moi qui souligne) qui s’attacherons au Seigneur afin d’officier pour lui, qui aimeront le nom du Seigneur au point de devenir ses serviteurs, tous ceux qui observeront le sabbat en se gardant de le profaner, et qui demeureront ferme dans mon alliance, je les amènerai dans ma montagne sacrée et je les réjouirai dans ma maison de prière, leurs holocaustes et leurs sacrifices seront agréés sur mon autel ; car ma maison sera appelée « maison de prières pour tous les peuples ». Déclaration du Seigneur Dieu, qui rassemble les bannis d’Israël : j’en rassemblerai d’autres avec les siens déjà rassemblés ». (NBS).

A mon humble avis, le texte ci-dessus cité est très lourd de sens, dans la mesure où Dieu fait ici savoir à tous les humains qu’Il les aime profondément. Car les étrangers dans le texte, sont tous ceux qui ne sont pas Israelite, ou juifs aujourd’hui. Ils ne seront pas rejetés par Dieu, s’ils viennent à Lui, à condition bien sûr qu’ils observent le sabbat en se gardant de le profaner, et qu’ils demeurent fermes dans l’alliance de Dieu. De plus, au début de ce texte nous lisons, ainsi parle le Seigneur, et à la fin, déclaration du Seigneur Dieu. Cela veut dire, que ce qui est écrit vient du Seigneur qui seul est Dieu. N’est-ce pas merveilleux de savoir que Dieu ne fait aucune différence entre les humains, et que par conséquence nous pouvons tous jouirent de la paix de Dieu parce qu’il dit lui-même « Je les ramènerai dans ma montagne sacrée et je les réjouirai dans ma maison de prière, et ajoute, ma maison sera appelée maison de prière pour tous les peuples.

Pour nous les humains, la question est de savoir, si nous voulons vivre avec Dieu dans sa montagne sacrée ou pas.

Dieu n’a jamais forcé quelqu’un à lui obéir, ce qui est juste.

Si Dieu nous obligeait à lui obéir, serait-ce de sa part nous aimer que d’agir ainsi ?

Nous devons garder à l’esprit la pensé que ce que Dieu veut, c’est que nous obéissions à tous ses commandements, le commandement sabbatique compris puisqu’il dit lui-même « Heureux l’homme qui fait cela, l’être humain qui s’y tient, observant le sabbat pour ne pas le profaner, et gardant sa main de toute action mauvaise ! Nous pouvons donc dire, qu’il est important pour tous les humains d’être bénis par Dieu, et Dieu n’étant pas un homme pour mentir ne peut aller à l’encontre de ce qu’il dit.

Pour terminer cette réflexion, je voudrais, vous citer ces textes.

Le premier se trouve dans JACQUES 2 : 8 à 11. « Sans doute si vous accomplissez la loi royale selon l’écriture : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. Mais si vous montrez de la partialité, vous commettez un péché, et vous êtes convaincus de transgression de la loi. En effet quiconque observe toutes la loi, mais trébuche sur un seul point, devient entièrement coupable. Car celui qui a dit ne commet pas d’adultère a dit aussi ne commet pas de meurtre. Si donc tu ne commets pas d’adultère, mais que tu commets un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi ». (NBS).

Nous voyons donc que pour Dieu, obéir à tous les commandements est très important. Si toutefois à la lumière de ce texte, vous reconnaissez que vous avez toujours transgressé la loi de Dieu, sachez que vous n’êtes pas un cas isolé, parce que tous les humains sont comme vous.  Dieu a fait une promesse à tous ceux qui se reconnaissent transgresseurs de sa Loi, que nous trouvons dans 1 JEAN 1 : 8 à 1JEAN 2 : 2 : « Si nous disons que nous n’avons pas de péché, (remarquez que le mot péché est au singulier) nous nous égarons nous même, et la vérité n’est pas en nous. Si nous reconnaissons nos péchés il est juste et digne de confiance : il nous pardonnera nos péchés et nous purifiera de toute injustice (remarquez encore que le mot injustice est aussi au singulier). Si nous disons que nous n’avons pas péché nous faisons de lui un menteur, et sa parole n’est pas en nous. Mes enfants, je vous écrits cela pour que vous ne péchez pas. Mais si quelqu’un vient à pécher nous avons un défenseur auprès du Père, Jésus-Christ qui est juste. Il est lui-même l’expiation pour nos péchés ; non pas seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier ». (NBS).

N’est-ce pas merveilleux de savoir que Dieu nous aime, au point d’être toujours disposé à nous pardonner chaque transgression de sa loi par Jésus-Christ, chaque fois que nous reconnaissons avoir transgressé cette loi en désobéissant à un commandement quel qu’il soit ?

Voulez-vous que Dieu, par Jésus vous pardonne votre péché, si vous n’avez encore fait cette démarche ? Si vous n’avez encore fait cette démarche, allez à Jésus dès maintenant. Reconnaissez devant lui que vous avez désobéit à Dieu, en transgressant sa loi d’Amour, par la désobéissance à l’un de ses commandements, le commandement concernant le repos sabbatique notamment, et faites cela chaque fois que vous en ressentirez le besoin. Vivez aussi avec l’assurance que Dieu vous a pardonné. En agissant ainsi, vous verrez par la grâce de Dieu, petit à petit votre vie de désobéissance à Dieu, se transformer en une vie d’obéissance à la loi de Dieu, parce que Dieu vous bénit, et vous donne sa force pour que vous résistiez au mal et manifestiez cet Amour qui le caractérise, envers Lui et ceux qui vous entourent quel qu’ils soient.

 

Que Dieu continue de nous bénir. Qu’il nous rappelle toujours la nécessité de prouver notre amour pour Lui, par le choix que nous faisons d’obéir à sa LOI d’amour, en réponse à son Amour pour nous, manifesté par l’obéissance sans faille de Jésus son Fils à tous ses commandements jusqu’au sacrifice de sa vie, puis depuis sa résurection.

 

         YESHUA & Jépitho MARCE    10/10/2013-14/07/2017