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Le blog de YESHUA & Jépitho

Nous avons tous, de nombreuses questions concernant Dieu. Cela est tout à fait normal, et cette raison seule, m'a conduit à essayer de répondre, à toutes ses questions qui depuis longtemps m'obsèdent. En faisant des recherches dans la Bible, j'y ai trouver des réponses simples. Ce que j'ai découvert, m'aide à mieux comprendre Dieu, et, soucieux d'aider mon semblable, j'ai décidé de publier, simplement le résultat de mes recherches, de manière qu'il soit compris par tous. Toutefois, le résultat de mes recherches, ne doivent en aucun cas, être interprété comme étant la vérité absolue. Plaise à Dieu, que ce que j'écris, vous aide à mieux le connaître et le comprendre, comme il en est pour moi. Votre serviteur. Jépitho MARCE.

D'OU VIENT LE MAL, ET POUVONS-NOUS EN ETRE LIBERE

Publié le 9 Décembre 2017 par YESHUA & Jépitho

            D’OU VIENT LE MAL ?

           POUVONS NOUS EN ETRE LIBERE ?

                       

 

 

Si un sondage était fait dans le but d’avoir la définition du péché, je suis sûr que chaque personne sondée donnerait une définition différente sur le sens exact de ce mot.

Nous trouvons dans le dictionnaire Le Petit Larousse Illustré, la définition suivante du mot péché : Transgression volontaire de la Loi Divine.

Il serait difficile d’avoir une autre définition, pour peu que l’on admette qu’a ce sujet, il est important de ne pas se tromper.

La Bible elle-même définie le péché comme suit : « Quiconque fait le péché fait aussi le mal ; c’est le péché qui est mal. » 1 JEAN 3 :4 (N B S).

Ce même verset est aussi traduit de la manière suivante, dans La Bible en Français Courant 1997 : « Quiconque pèche s’oppose à la Loi de Dieu, car le péché est la révolte contre cette Loi. » 1 JEAN 3 : 4 (B F C).

Dans la version Biblique Segond Révisé de 1989, ce verset est encore traduit de la manière suivante ; « Quiconque commet le péché commet aussi une violation de la Loi et le péché, c’est la violation de la Loi. » 1 JEAN 3 : 4

Je crois que l’on peut dire sans l’ombre d’un doute, que le péché est la violation de La Loi de Dieu. Cet acte est une révolte contre La Loi de Dieu, et cela est aussi appelé faire le mal, parce que péché c’est faire le Mal.

Nous pouvons lire encore dans ROMAINS 7 : 7. « Que dirons-nous donc ? La Loi est-elle péché ? Jamais de la vie ! Mais je n’ai connu le péché que par la Loi. Ainsi je n’aurais pas su ce qu’était le désir si la Loi n’avait pas dit : Tu ne désireras pas ». (N B S).

Dans la version Biblique Segond Révisé de 1989, nous lisons ce verset de ROMAINS 7 : 7, comme suit : « Que dirons-nous donc ? La Loi est-elle péché ? Certes non ! Mais je n’ai connu le péché que par la Loi. Car je n’aurais pas connu la convoitise, si la Loi n’avais dit : Tu ne convoiteras pas ».

Dans ce verset l’Apôtre Paul cite le commandement, Tu ne désireras pas, ou, Tu ne convoiteras pas qui se trouve être l’un des Dix Commandements et celui que l’on transgresse le plus aisément.

On peut dire sans se tromper, que la Loi qui est violée ou transgressée est la Loi communément appelée les Dix Commandements, que nous trouvons cité dans son intégralité dans EXODE 20 : 3 à 17.

Tu n’auras pas d’autre Dieu devant moi. Tu ne te feras pas de statue, ni aucune forme de ce qui est dans le ciel, en haut, de ce qui est sur la terre, en, bas, ou de ce qui est au-dessous de la terre, dans les eaux. Tu ne te prosterneras pas devant ces choses-là et tu ne les serviras pas ; car moi, le Seigneur (YHWH), ton Dieu, je suis un Dieu à la passion jalouse, qui fait rendre des comptes aux fils pour la faute des pères, jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me détestent, mais qui agis avec fidélité jusqu’à la millième génération envers ceux qui m’aiment qui observent mes commandements.

Tu n’invoqueras pas le nom du Seigneur (YHWH), ton Dieu, pour tromper : le Seigneur ne tiendra pas pour innocent celui qui invoquera son nom pour tromper. Souviens-toi du sabbat, pour en faire un jour sacré. Pendant six jours tu travailleras, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour c’est un sabbat pour le Seigneur ton Dieu ; tu ne feras aucun travail, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni tes bêtes, ni les immigrés qui sont dans tes villes. Car en six jours, le Seigneur a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve, et Il s’est reposé le septième jour. C’est pourquoi le Seigneur a béni le sabbat et en a fait un jour sacré.

Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent sur la terre que le Seigneur ton Dieu te donne.

Tu ne commettras pas de meurtre.

Tu ne commettras pas d’adultère.

Tu ne commettras pas de vol.

Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain.

Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien de ce qui appartient à ton prochain. ». (N B S).

A première vue, la Loi des Dix Commandements est rébarbative du fait qu’elle contient beaucoup d’interdictions, exception faite du commandement honore ton père et ta mère, qui malgré le fait qu’il n’est pas d’emblée une interdiction, n’est aujourd’hui respecté que par très peu de personnes. Dans la mesure où Dieu est notre Père et qu’Il nous aime, pourquoi ne nous interdirait-Il pas certaines choses qu’Il sait nuisibles ou même désastreuses pour nous, du fait de leur pratique ?

Un parent qui dit aimer ses enfants, se doit d’interdire ou permettre à ses enfants, ce qu’il sait être bon ou mauvais pour eux, du fait de l’expérience acquise par la pratique de ces choses. Dieu lui, ne pratique pas le mal, mais de son omniscience, Il sait ce qui est bon ou mauvais, et parce qu’Il aime ses créatures, désireux de les voir vivre heureux en sa compagnie, Il les conseils de faire le bien.                                                                                                  

De même que l’enfant qui aime ou non ses parents, appréciera ou non que ceux-ci lui interdisent ou lui permettent ceci ou cela, nous les humains, selon que l’on aime Dieu ou pas, que l’on se considère enfant de Dieu ou pas, nous apprécierons ou pas les Dix Commandements.

Sachons et n’oublions pas, qu’il est écrit dans EXODE 20 : 1, 2, que les Israélites reçurent les Dix Commandement de Dieu Lui-même.  « Alors Dieu prononça toutes ces paroles : Je suis le Seigneur ton Dieu ; c’est moi qui t’ai fait sortir de l’Égypte, de la maison des esclaves. » (N B S).

Lorsque j’étais enfant, que mes parents m’interdisaient de dire ou de faire certaines choses qui à leurs yeux étaient mal, je dois reconnaitre que je n’appréciais pas toujours ces interdictions qui à mes yeux m’empêchaient d’être libre.

Mais en grandissant, particulièrement lorsque je devins père à mon tour, je compris combien mes parents m’aimaient et voulaient mon bonheur. Par leurs interdictions ils me démontraient leur amour, parce que l’expérience de la vie qu’ils ont les obligeait de m’interdire ce qu’ils savaient être mauvais pour moi.

Dans la mesure où nous avons avec Dieu une relation Père fils, ou Père fille, il est aisé de comprendre que toutes ces interdictions de Dieu sont pour notre bonheur.

Les Dix Commandements de Dieu nous sont utiles, pour vivre en compagnie de Dieu et des humains. On peut aussi dire, que Les Dix Commandements de Dieu montrent aux humains, ce que Dieu veut qu’ils fassent pour Lui démontrer que nous l’aimons, et ce que nous devons faire pour démontrer à notre semblable que nous l’aimons ; c’est-à-dire notre prochain.

Un jour nous dit la Bible dans LUC 10 : 25 « Un spécialiste de la loi se leva et lui dit pour le mettre à l’épreuve. Maitre que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? ». Aux versets 27 et 28, nous lisons la réponse suivante de Jésus ; « Jésus lui dit : Qu’est-il écrit dans la loi ? comment lis-tu ? Il répondit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain, comme toi même. Tu as bien répondu, lui dit Jésus ; fais cela et tu vivras. »

Il est important de comprendre et de retenir, que les Dix Commandements sont bons pour apprendre à vivre dans l’éternité. Obéir à ces Dix Commandements, c’est démontrer que l’on aime son prochain, Dieu compris. Dans la mesure où nous avons avec Dieu une relation Père fils, ou Père fille, lorsque nous lisons aime ton prochain comme toi-même, dans ce commandement, mon prochain est aussi Dieu Lui-même.

A regarder de plus près, on constate que si l’on aime Dieu :

  • On n’aura pas d’autres dieux, que Dieu lui-même, donc, on ne se fera pas de statues, d’aucune forme de ce qui est dans le ciel en haut, de ce qui est sur la terre en bas, ou de ce qui est en dessous de la terre dans les eaux.
  • On ne se prosternera pas, devant ces choses-là, et on ne les servira pas.
  • On n’invoquera pas le nom du Seigneur pour tromper.
  • On se souviendra du jour du sabbat, (jour de repos du Seigneur) pour en faire un jour sacré.

Et si l’on aime, son prochain humain :

  • On, honorera son père et sa mère.
  • On ne commettra pas de meurtre, tout comme on n’aimerait pas être tué par quelqu’un.
  • On ne commettra pas d’adultère, tout comme on ne voudrait pas que notre épouse ou notre époux, nous trompe.
  • On ne commettra pas de vol, tout comme on ne voudrait pas être volé.
  • On ne portera pas de fau témoignage (on ne mentira pas) contre son prochain, tout comme on ne voudrait pas qu’un faux témoignage, (un mensonge) soit porté à notre endroit.
  • On ne convoitera pas la maison, ni la femme, (ou le mari), ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien de ce qui appartient à ton prochain.

Et aussi, (c’est moi qui ajoute) sa voiture, sa télé, ses vêtements, ses meubles, sa coiffure, ses cheveux, la couleur de ses cheveux, la couleur de sa peau, son téléphone mobile, ou quoi que ce soit qui appartienne à son prochain ; tout comme on ne voudrait pas que notre prochain convoite, quoi que ce soit qui nous appartienne.

On peu sans risque de se tromper, croire que les Dix Commandements sont en fait deux commandements ; tu aimeras le Seigneur ton Dieu, et, tu aimeras ton prochain comme toi-même, que Jésus lui-même a pratiqué parce qu’il dit dans : MATTHIEU 5 : 17 et 18, « Ne pensez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes. Je ne suis pas venu pour abolir mais pour accomplir. Amen je vous le dis, en effet, jusqu'à ce que le ciel et la terre passent, pas un seul iota ou un seul trait de lettre de la loi ne passera, jusqu'à ce que tout soit arrivé. » (N B S).

Jésus lui-même dit ici que la Loi de Dieu restera en vigueur, tant que le ciel et la terre seront. Cela veut dire que cette Loi est immuable, donc encore applicable, parce que jusqu'à preuve du contraire, ce ciel et cette terre dont parle Jésus existent encore. N’oublions pas que l’apôtre Paul nous a fait savoir, que l’on connait le péché que par la Loi.

Imaginez un instant qu’un représentant de l’ordre publique, policier ou gendarme, vous verbalise parce qu’il vous a vue passer un stop, matérialisé par un panneau et, ou, une bande blanche.

Pour faire cela il devra s’appuyer uniquement sur l’article du code de la route disant, qu’en tant que conducteur d’un véhicule quelconque, vous êtes tenu de vous arrêter à un stop matérialisé par un panneau et, ou, une bande blanche. Sans cet article du code de la route, stipulant que vous êtes tenu de vous arrêter à un stop, matérialisé par un panneau et, ou, une bande blanche, ce policier ou ce gendarme ne peut vous verbaliser.

Si conduisant un véhicule quelconque, vous vous arrêtez à un stop matérialisé par un panneau et, ou, une bande blanche en présence d’un représentant de l’ordre publique, ce représentant de l’ordre publique ne peut vous verbaliser, parce que vous n’aurez commis aucune infraction au regard de ce même article du code de la route. Si obéissant à cet article du code de la route, le représentant de l’ordre publique vous verbalise, toujours au regard de cet article du code de la route, vous trouverez injuste le fait d’être verbalisé à tort.

Sans code de la route, il n’existe aucune infraction au code de la route !

Il en est de même pour le péché.

Sans la Loi, ou commandements de Dieu, il n’y a pas de péché.

En effet, comment pourrait-on reprocher à quelqu’un d’avoir menti, preuve à l’appui, s’il n’y a pas de commandement disant de ne pas mentir ? Dans ROMAINS 7 : 7, nous lisons : « Que dirons-nous donc ? La Loi est-elle péché ? Jamais de la vie ! Mais je n’ai connu le péché que par la loi. Ainsi je n’aurai su ce qu’était le désir si la loi n’avait pas dit : Tu ne désireras pas. » (N B S). Ce même verset dans la Bible Nouvelle Version Segond Révisée (1992) est traduit comme suit : « Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché ? Certes non ! Mais je n’ai connu le péché que par la loi. Car je n’aurais pas connu la convoitise si la loi n’avait dit : Tu ne convoiteras pas. » Il est vrai sans aucun doute possible, que sans la loi de Dieu, il n’y a pas de péché contre Dieu. De plus le ciel et la terre existant encore, la loi de Dieu n’est pas abolie, et ne le sera jamais parce que la loi de Dieu est une loi d’Amour. Dieu étant Amour et Eternel, l’Amour est éternel ; et de fait, la Loi de Dieu également est Éternelle. Au verset 12, de ROMAINS 7, Paul ajoute : « Certes donc la loi est sainte ; le commandement est saint, juste, et bon. » (N B S). Si la loi est sainte ; le commandement saint, juste, et bon, pourquoi donc les humains ne veulent-ils pas obéir à tous les commandements de Dieu ?

A bien y réfléchir, je pense que c’est parce qu’obéir aux commandements de Dieu, nous empêche très souvent de faire ce qui nous fait plaisir, donc ce qui est mal ou mauvais, et qui est contraire à la volonté de Dieu pour nous.

Le péché ou le mal habite en nous.

Quel parent par exemple apprend à son enfant à mentir ? Aucun je crois ! Si on observe bien la croissance de son enfant dès son plus jeune âge, on constate qu’un enfant commence très tôt à mentir, sans que ses parents aient besoin de le lui apprendre.

 

Mais, me direz-vous ; qui a péché le premier ?

La Bible répond à cette question, de manière très surprenante dans JEAN 3 : 8 « Celui qui fait le péché est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Si le Fils de Dieu s’est manifesté, c’est pour détruire les œuvres du diable. » (N B S). Nous pouvons dire sans l’ombre d’un doute, que dans la mesure où la Bible dit que le diable pèche dès le commencement, c’est donc lui qui pécha le premier. Celui donc qui pèche est du diable, et par voie de conséquence lui appartient. Ces paroles de Jésus rapportées dans la Bible font mal à l’être humain qui les découvre, mais je voudrais attirer votre attention sur la suite du verset qui nous dit que le Fils de Dieu (Jésus) s’est manifesté, pour détruire les œuvres du diable.

Donc tout n’est pas perdu.

Avant de voir avec vous par la Bible, comment Jésus détruit les œuvres du diable en nous, voyons ensemble quelle faute a commis le diable que Dieu a déclaré être le péché. Dans la Bible on lit parfois certaines choses, qui sont des figures de choses réellement passées, dont des textes se rapportant à Lucifer, ou son nom n’est pas explicitement mentionné. Dans EZECHIEL28 :1 à 19 notamment, il est question pour le prophète Ézéchiel de parler au roi de Tyr, et pourtant nous lisons aux versets 12 à 17, ce qui suit : « Humain, entonne une complainte sur le roi de Tyr ! Tu lui diras : ainsi parle le Seigneur Dieu : Tu mettais le sceau à la perfection, tu étais plein de sagesse, parfait en beauté. Tu étais en Eden, le jardin de Dieu ; tu étais couvert de toutes sortes de pierres précieuses, de sardoine, de topaze, de diamant, de chrysolite, d’onyx, de jaspe, de lapis-lazuli, d’escarboucle, d’émeraude, et d’or ; tes tambourins, et tes flutes étaient à ton service, préparés pour le jour où tu fus créé. Tu étais un kéroub (chérubin) protecteur, aux ailles déployés ; je t’avais placé dans la montagne sacrée de Dieu ; tu étais là, tu te promenais au milieu de pierre ardentes. Tu as été intègre dans tes voix depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui ou l’injustice a été trouvée chez toi. Par l’importance de ton commerce tu as été rempli de violence et tu as péché ; je t’exile, je t’exclus de la montagne de Dieu et je te fais disparaitre, kéroub protecteur d’entre les pierres ardentes. Ton cœur s’est enhardi à cause de ta beauté, tu as perverti ta sagesse par ta splendeur ; je te jette à terre et je te livre en spectacle aux rois. » (NBS)

Dans ESAIE 14 : 12 à 15, il est écrit ce qui suit au sujet du roi de Babylone : « comment ! Tu es tombé du ciel astre brillant, fils de l’aurore ! Tu as été abattu, toi qui dontais les nations, tu disais : je monterai au ciel, j’élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu, je m’assiérai sur la montagne de la rencontre au plus profond du nord ; je monterai sur les hauteurs des nuages, je serai semblable au très haut. Mais on t’a fait descendre au séjour des morts au plus profond du gouffre. » (NBS).

A la lecture de ces textes, les questions suivantes me viennent à l’esprit.

-Le roi de Tyr a-t-il vécu dans le jardin de Dieu ?

-La peau du roi de Tyr était-elle couverte de pierres précieuses ?

-Le roi de Tyr était-il un Kéroub (un chérubin) aux ailes déployées ?

-Dieu avait-il placé le roi de Tyr, dans sa montagne sacrée ?

Honnêtement, à toutes ces questions je répondrai non, du fait que dans le texte il est fait mention d’un Kéroub aux ailes déployées. Il ne peut être question dans ce texte d’un humain. Il y est question d’un ange.

Toujours d’après le texte sacré, comme le roi de Tyr, le roi de Babylone est tombé du ciel.

-Se pourrait-il que le roi de Babylone ait vécu au ciel, parce qu’il est écrit qu’il en est tombé ?

-Le roi de Babylone était-il un astre brillant, appelé fils de l’aurore ?

A mon humble avis je ne crois pas, parce que dans ces deux textes, il est évident que ces deux rois personnifient un être qui n’est pas un humain ; puisque l’un est appelé Kéroub (chérubin) protecteur aux ailes déployées, et l’autre astre brillant fils de l’aurore.

En comparant ces deux textes, on se rend compte que l’histoire de ces deux rois se complète.

Dans l’une il est écrit que le roi de Tyr est couvert de pierres précieuses, ce qui veut dire sans aucun doute, que son aspect était très brillant, et dans l’autre le roi de Babylone y est décrit, comme étant un astre brillant, fils de l’aurore.

De plus, dans l’une il est écrit au sujet du roi de Tyr, que son cœur s’est enhardi a cause de sa beauté, qu’il a perverti sa sagesse par sa splendeur et qu’à cause de cela il fut jeté à terre.

Dans l’autre, on comprend bien que la sagesse du roi de Babylone est pervertie par sa splendeur, du fait qu’il voulut élever son trône au-dessus des étoiles de Dieu, s’assoir sur la montagne de la rencontre au plus profond du nord, monter sur les hauteurs des nuages, et comme si cela ne suffisait pas, il voulut être semblable au très haut.

De toute évidence, il s’agit dans ces deux textes de l’histoire d’un être créé par Dieu qui vivait au ciel. Il ne peut s’agir dans ces textes d’un humain, sans aucun doute possible.

Après une telle attitude de la part de cette créature de Dieu, est-il étonnant que Dieu s’en soit séparé en le jetant hors du ciel ?

Pour ma part je trouve cela juste, parce que comment une créature pourrait-elle être semblable à son créateur ?

Le fait qu’une créature croit pouvoir être semblable à son créateur, le pousse forcément à le combattre d’une manière ou d’une autre. Dieu étant l’amour même a forcément cherché par tous les moyens, à ramener à la raison sa créature qui s’acharnait à le combattre.

Cette créature a fait preuve d’une grande stupidité, en croyant qu’elle pouvait être l’égale de Dieu ; voire prendre la place de Dieu.

Cette créature dans la Bible est nommée kéroub ou chérubin, et aussi dragon, le serpent, le diable, satan. Lorsque j’apprends que dans un pays quelconque il y a eu un coup état, je ne peux m’empêcher de repenser à toute cette histoire.

Nous lisons dans APOCALYPSE 12 : 7 à 10 « Il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent le dragon. Le dragon combattit, lui et ses anges, mais il ne fut pas le plus fort, et il ne se trouva plus de place pour eux dans le ciel. Il fut jeté à bas, le dragon, le serpent d’autrefois, celui qui est appelé le diable et Satan, celui qui égare toute la terre habitée ; il fut jeté sur la terre et ses anges y furent jetés avec lui. » (NBS).

Ce texte nous montre clairement, que l’être qui se révolta contre Dieu et fut jeté du ciel est satan, aussi appelé le diable.

Il est aussi écrit dans ce texte, que satan égare toute la terre habitée. Il commença par Adam et Ève.

Dans GENESE 3 : 1 à 6 il est écrit « Le serpent était le plus avisé de tous les animaux de la campagne que le Seigneur Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : « Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ! »

La femme dit au serpent : Nous pouvons manger du fruit des arbres du jardin. Mais quand au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : « Vous n’en mangerez pas, vous n’y toucherez pas, si non vous mourrez ! » Alors le serpent dit à la femme : Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Dieu le sait : le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux qui connaissent ce qui est bon ou mauvais. La femme vit que l’arbre était bon pour la nourriture et plaisant pour la vue, qu’il était, cet arbre, désirable pour le discernement. Elle prit de son fruit et en mangea ; elle en donna à son mari qui était avec elle, et il en mangea. » (NBS).

Après qu’Adam et Êve désobéirent à Dieu dans le jardin d’Éden, donc péchèrent contre Dieu, nous lisons dans GENÈSE 3 : 22 à 24 « Le Seigneur Dieu dit : L’homme est devenu comme l’un de nous pour la connaissance de ce qui est bon ou mauvais. Que maintenant il ne tende pas la main pour prendre aussi de l’arbre de vie, en manger et vivre toujours ! Le Seigneur Dieu le renvoya du jardin d’Éden, pour qu’il cultive la terre d’où il avait été pris. Après avoir chassé l’homme, il posta, à l’est du jardin d’Éden, les kéroubim (chérubins) et l’épée flamboyante qui tournoie, pour garder le chemin de l’arbre de vie. » (NBS).

Nous voyons que Dieu s’est séparé de son chérubin, en le jetant hors du ciel parce qu’en péchant il est devenu ennemi de Dieu. Dieu chasse aussi Adam et Êve du jardin d’Éden, et place des chérubins et l’épée flamboyante, pour les empêchés de manger de l’arbre de vie et vivre éternellement dans le mal et la souffrance. De ce fait, les humains meurent parce qu’ils n’ont plus eu accès à l’arbre de vie. De plus, la mort mentionnée par Dieu aux humains, c’est la destruction qui sera fait du mal un jour. Nous qui aujourd’hui sommes les enfants d’Adam et Êve, comme eux nous sommes égarés par satan et désobéissons à Dieu. De ce fait nous péchons naturellement, parfois sans savoir que ce que nous faisons ou disons est mal aux yeux de Dieu. Ceci est dû au fait que nous sommes spirituellement séparés de Dieu. Il est écrit dans ESAIE 59 : 2 « Ce sont vos fautes qui vous séparent de Dieu, ce sont vos péchés qui le détourne de vous, qui l’empêche de vous entendre. » (NBS).

 

Cela veut-il dire que pour nous tout est perdu ?

Gloire soit rendu à Dieu il n’en est rien, parce qu’il est écrit dans 1 JEAN 2 : 1 , 2 ; « Mes enfants, je vous écris cela pour que vous ne péchiez pas. Mais si quelqu’un vient à pécher, nous avons un défenseur auprès du Père, Jésus-Christ, qui est juste. IL est lui-même l’expiation pour nos péchés ; non pas seulement les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (NBS).

N’est-il pas encourageant de savoir, que ce que Dieu veut c’est que nous ne péchions pas. Son Amour envers nous est si grand, qu’il nous rappelle que Jésus est auprès de Lui, dans le but que nous lui demandions de nous pardonner quel que soit la faute commise envers Lui, et si nous Lui demandons de nous pardonner il le fera.

L’apôtre Paul nous fait aussi savoir, que le pardon de Dieu ne nous coute rien, puisqu’il est écrit dans ROMAINS 3 : 24 « Et c’est gratuitement qu’ils sont justifiés par sa grâce, au moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. » (NBS).

N’est-ce pas merveilleux de savoir que bien que pécheurs, donc ennemis de Dieu, que dans son Amour Dieu a décidé de nous sauver de la mort éternelle, par son Fils Jésus-Christ qui a subi à notre place, le châtiment qui nous était réservé ?

Dans Jean 3 : 16 il est écrit : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, pour que quiconque met sa foi en Lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. » (NBS).

Que Dieu ait par Amour pour l’humanité, accepté que son Fils Jésus, subisse à notre place le châtiment qui nous était réservé est une chose difficile à croire.

C’est vrai.

Mais ce n’est pas parce que cela est difficile à croire, que cela n’est pas vrai ou impossible.

Je n’ai pas toujours cru en Dieu.

Je vous assure que depuis que je crois que par Jésus je suis sauvé de la condamnation qui était sur moi, qu’en Jésus j’ai la vie éternelle, ma manière de considérer les choses de la vie a changer.

Je me suis rendu compte, que chaque jour qui passe m’éloigne de ma vie passée, en ce que les choses que j’avais plaisir à faire et déplaisent à Dieu, m’intéressent de moins en moins, voire plus du tout. Ce qui me surprend encore est que cela est possible, simplement parce que pour chaque chose que je découvre en moi qui déplait à Dieu, je prie Dieu de l’enlever de moi et dans sa grâce, Dieu m’en libère en continuant d’agir dans ma vie.

Par-dessus tout, je n’ai pas besoin de me forcer.

Lorsque je dis que Jésus m’a donné la vie éternelle, je ne veux pas dire que je ne mourrai pas comme tous les humains, mais que je crois cette parole que Jésus a prononcé dans JEAN 11 : 25 et 26 « C’est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui met sa foi en moi, même s’il meure vivra ; et quiconque vit et met sa foi en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »

Ici Jésus veut dire, que celui qui croit en Lui, même s’il meure, Il (Jésus) le ressuscitera au dernier jour, et aussi qu’au moment de son retour, ceux qui seront vivants à ce moment-là, ne mourront pas à condition qu’ils croient également en Lui. Il est important de retenir également que ce verset se termine par cette question de Jésus : Crois-tu cela ?

Je crois. Donc cette promesse se réalisera en ma faveur.

Aux juifs de son époque, Jésus expliquait qui était fils d’Abraham selon Dieu, donc qui était fils de la promesse que Dieu fit à Abraham, et qui était fils du diable dans JEAN 8 : 31 et 32, il est écrit, « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaitrez la vérité et la vérité vous rendra libres. » (NBS).

Remarquant qu’il n’avait pas été compris par ses auditeurs, Jésus ajoute aux versets 34 à 36, toujours dans JEAN 8 « Amen, amen je vous le dis, quiconque fait le péché est esclave du péché. Or l’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison, le fils, lui, demeure pour toujours. Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres. » (NBS).

En d’autres termes, ceux qui sont esclaves du péché, donc du diable, ne vivront pas avec Dieu pour toujours dans sa maison. Mais ceux qui ont été libérés du péché par Jésus, un jour seront réellement libérés du diable.

Lorsque Jésus libère quelqu’un de l’esclavage du péché, celui-ci vit mieux.

En effet il ne peut plus vivre, une vie de désobéissance volontaire à la LOI de Dieu. Lorsqu’il lui arrive de désobéir à Dieu du fait qu’il n’est qu’un être humain, donc un pécheur, l’Esprit de Dieu qui est en lui parce que Jésus la libérée du péché, donc d’une désobéissance volontaire, le rend si triste de cette faute qu’il a commise, que regrettant d’avoir peiné Dieu, et se souvenant de la promesse de Dieu de pardonner tout pécheur repentant, il confesse sa faute à Dieu au nom de Jésus, et par Jésus il est de nouveau pur devant Dieu. Si Dieu n’était pas l’Amour même il aurait dit : Je ne veux pas que vous péchiez, et si vous péchez une seule fois s’en est finie de vous. Mais au lieu de cela, Dieu nous invite à venir à Lui pour être pardonné au nom de Jésus.

On est tenté de croire que l’on peut pécher volontairement, et parce que Dieu est Amour, venir à Lui ensuite pour être pardonné sans cesse.

A ceux qui croiraient cela, je leurs dit que l’on ne se moque pas de Dieu.

Toutefois dans la Bible nous lisons dans ESAIE 55 : 6 à 8 « Cherchez le Seigneur pendant qu’il se laisse trouver ; invoquez le pendant qu’il est proche. Que le méchant abandonne sa voie ; et l’homme mal faisant ses pensés ; qu’il revienne au Seigneur, qui aura compassion de lui à notre Dieu qui pardonne abondamment. Car mes pensées ne sont pas vos pensées, vos voies ne sont pas mes voies. » (NBS). Au risque de me répéter, on ne se moque pas de Dieu ; mais je crois que malgré tout au regard de ce texte que l’Amour de Dieu est si grand, qu’Il nous invite à le chercher pendant qu’Il se laisse trouver, ce qui veut dire que c’est Lui qui se révèle à nous, parce qu’Il est près de nous et ne se cache pas à nous.

Devons-nous attendre plus longtemps de répondre à son appel ?

N’oublions pas, que se sont nos péchés qui nous séparent de Dieu et nous empêchent d’être pleinement Béni par Lui. Ceci le pousse à nous donner ce conseil : Que le méchant (selon Dieu le méchant est celui qui pèche) abandonne sa voie ; et l’homme mal faisant ses pensées, qu’il revienne au Seigneur, qui aura compassion de lui à notre Dieu qui pardonne abondamment. L’humain qui veut être sauvé de la mort définitive, doit lui-même faire ce choix.

Si Dieu le sauvait malgré lui, comment pourrait-on dire que Dieu est Amour ?

Dieu parce qu’Il nous aime, ne nous obligera pas à venir à Lui pour être sauvé de la mort qui attend le pécheur. L’humain faisant le mal, doit savoir que s’il décide de revenir à Dieu, Dieu ne le repoussera pas ; et cela, autant de fois qu’il reviendra à Dieu pour être pardonné, parce que Dieu pardonne abondamment ou « ne se lasse pas de pardonner. » (LSG= Bible Louis Segond 1910 avec Strongs).

La notion humaine du pardon, n’est pas celle de Dieu !

Il est vrai que lorsqu’un humain a pardonné une même faute, ou plusieurs fautes plusieurs fois, il arrive qu’il s’en lasse et dise : cela suffit je ne pardonne plus ! Alors que Dieu pardonne autant de fois que nécessaire, dans la mesure où la démarche de repentance du pécheur est sincère. Le pardon des péchés est offert à tout les humains, mais seul ceux qui le désirent vraiment et le demande à Dieu le reçoivent.

 

L’humain mérite-t-il le pardon de Dieu ?

Honnêtement, dans la mesure où l’humain avait été averti de ce qui se passerait s’il mangeait du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, il ne mérite pas le pardon de Dieu parce que dans GENESE 2 : 15 à 17, nous lisons : « Le seigneur Dieu prit l’homme et le plaça dans le jardin d’Éden pour le cultiver et le garder. Le Seigneur Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance de ce qui est bon ou mauvais, car le jour ou tu en mangeras tu mourras. » (NBS).

Lequel d’entre nous, ne puni pas quand il a averti qu’il y aurait un châtiment en cas de désobéissance ?

L’attitude de Dieu peu nous paraitre étrange, dans la mesure où suite au péché d’Adam et d’Êve Il leur pardonne.

Dieu aurait-il manqué à sa parole ?

Pour ma part je ne crois pas, parce que Dieu connait nos cœurs, c'est-à-dire nos pensées secrètes, et de ce fait juge également les mobiles ou les raisons de nos désobéissances. Pour ce qui est de la désobéissance d’Adam et d’Êve, voici ce que nous dit la Bible : « Le serpent était le plus avisé de tous les animaux de la campagne que le Seigneur Dieu avait fait. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit « Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ! » La femme dit au serpent : nous pouvons manger du fruit des arbres du jardin. Mais quand au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez pas, vous n’y toucherez pas, si non vous mourez ! Alors le serpent dit à la femme : pas du tout ! Vous ne mourez pas ! Dieu le sait : le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux qui connaissent ce qui est bon et mauvais. La femme vit que l’arbre était bon pour la nourriture et plaisant à la vue, qu’il était, cet arbre, désirable pour le discernement. Elle prit de son fruit et en mangea ; elle en donna aussi à son mari qui était avec elle et il en mangea. Leurs yeux à tous les deux s’ouvrirent, et ils surent qu’ils étaient nus. Ils cousirent des feuilles de figuier pour se faire des pagnes. » GENESE 3 : 1 à 7. (NBS).                                                                                                                     

A vue humaine aujourd’hui, beaucoup pensent que le péché d’Adam et d’Êve est dérisoire parce qu’après tout, ils n’ont rien fait d’autre que de manger un fruit. J’attire votre attention sur le fait qu’Adam et Êve ont péché, non parce qu’ils ont simplement mangé un fruit, mais parce qu’ils ont désobéi à un commandement de Dieu. Le fait de considérer que c’est leur désobéissance que Dieu réprouve et pas l’acte lui-même, à mon humble avis change les données du problème du péché, et aide à en comprendre toute son horreur.

Voyons plus en détail ce qui s’est passé, à la lumière de ce que dit la Bible.

 

1°- Dieu crée l’univers en y mettant tout ce qui y est : les astres, les végétaux, les animaux, pour entre autres l’émerveillement et le bien être des humains, qu’Il crée en dernier lieu. (GENESE 1 : 1 à GENESE 2 : 25)

 

2°- Dieu donne aux humains autorité sur tout ce qui vit sur la terre, et leur commande de jouir de tout ce qu’Il a créé, exception faite de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais. (GENESE 2 : 16 et 17)

 

Considérant ceci, on est en droit de penser que Dieu aimant les humains, a voulu tester l’amour des humains envers Lui, par ce commandement de ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais.

Après tout ce que Dieu a fait pour les humains, n’est-Il pas en droit de tester la fidélité de ceux-ci envers Lui ?

Quel mari ou quelle épouse n’a pas testé la fidélité de son conjoint, d’une manière ou d’une autre ?

Lequel d’entre nous en tant que parent, n’a pas testé l’amour de son, ou ses enfants envers lui ?

Ou, lequel d’entre nous humains, n’a pas testé l’amour de son ou ses amis envers lui ?

Si nous qui sommes si mauvais, dans le sens Biblique du terme, avons besoin de tester l’amour des nôtres de différentes manières, pourquoi Dieu qui n’a en lui aucune méchanceté, n’était-il pas en droit de tester la fidélité d’Adam et Êve envers Lui ?

Il est vrai que beaucoup d’entre nous, ne croient pas en un Dieu créateur de toutes ces belles et bonnes choses qui nous entourent, ce qui est dommage pour eux.

Ce qui trouble Êve, d’après ce que dit le serpent, c’est que Dieu ne veut pas que son mari et elle soient Dieux. N’oublions pas que Lucifer a péché, en ce qu’il a voulu être semblable au très haut. En fait le serpent présente Dieu à Êve, comme étant un être égoïste et arbitraire, qui ne désire pas que l’humain soit aussi intelligent que Lui. Ceci bien entendu est faux, parce que dans le premier commandement que Dieu donne à l’humain, Il dit : Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tous les animaux qui fourmillent sur la terre. GENESE 1 : 28 (NBS). En clair Dieu dit aux humains, soyez comme moi ! Lorsque Dieu dit à Adam, de ne pas manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais sinon il mourra, Il lui fait savoir en substance, que de Lui désobéir est mauvais, puisse qu’il en résultera pour lui la mort. A contrario, s’il obéît cela est bon puisse qu’il vivra. Lorsque Dieu donne ce commandement à Adam, Êve n’est pas encore créée. (GENESE 2 : 15 à 18, et, GENESE 2 : 21 à 23). J’entends certains qui disent, mais si le commandement a été donné à Adam et pas à Êve, celle-ci donc a des excuses. Cet argument est faux, parce que le fait qu’Êve cite le commandent au serpent prouve qu’elle en a connaissance, et devant Dieu sa désobéissance étant volontaire, elle est coupable.

Êve n’avait pas d’excuse, en désobéissant au commandement de Dieu.

De plus, c’est son désir de pouvoir discerner le bon et le mauvais comme Dieu, qui fit qu’elle mangea le fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais. (voir GENESE 3 : 6 )

Il est aussi écrit que non seulement Êve prit le fruit et le mangea, mais elle en donna aussi à son mari qui était avec elle, et il en mangea. Souvent à la lecture de ce texte, je me posais la question suivante : Pourquoi Adam prit-il le fruit que lui donna Êve et le mangea-t-il ?

J’avoue que cette question me hantait l’esprit, parce que je me disais qu’à la place d’Adam, je n’aurais pas touché ce fruit. En moi-même, pendant longtemps j’en ai voulu à Adam d’avoir mangé ce fruit. Mais quand je devins adulte, je compris son geste et de ce jour je ne lui en ai plus voulu. Adam Sans aucun doute, ne supportant pas l’idée d’être séparé d’Eve parce qu’elle allait mourir, étant sous le charme de sa femme prit ce fruit et le mangea, comme feraient beaucoup d’hommes aujourd’hui, qui, ne pouvant résister au charme d’une femme sont prêts à faire n’importe quoi, même l’irréparable pour avoir cette femme.

Adam et Êve nous dit la bible, après avoir mangé le fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, eurent honte de leur nudité, et essayèrent de cacher cette nudité, en se confectionnant des vêtements avec des végétaux. Il est écrit dans GENESE 3 : 8 à 21, ce qui leur arriva qui est plus grave encore. Nous lisons « Alors ils (Adam et Êve. C’est moi qui souligne) entendirent le Seigneur Dieu qui parcourait le jardin avec la brise du soir. L’homme et sa femme allèrent se cacher parmi les arbres du jardin pour ne pas être vu par le Seigneur Dieu. Le Seigneur Dieu appela l’homme ; il lui dit : ou es-tu ? Il répondit : Je t’ai entendu dans le jardin et j’ai eu peur parce que j’étais nu ; je me suis caché. Il reprit : Qui t’a dit que tu étais nu ? Aurais-tu mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : c’est la femme que tu as mise auprès de moi qui m’a donné de l’arbre, et j’ai mangé. Alors le Seigneur Dieu dit à la femme : pourquoi as-tu fais cela ? La femme répondit : c’est le serpent qui m’a trompé et j’ai mangé. Le Seigneur dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre toutes les bêtes et tous les animaux de la campagne, tu te déplaceras sur ton ventre et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai de l’hostilité entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui mordras le talon. À la femme, il dit : je multiplierai la peine de tes grossesses c’est dans la peine que tu mettras des fils au monde. Ton désir se portera vers ton mari, et lui, il te dominera. A l’homme, il dit : Puisque tu as écouté ta femme et que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger, la terre sera maudite à cause de toi ; c’est avec peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie. Elle fera pousser pour toi des épines et des chardons, et tu mangeras l’herbe de la campagne. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes à la terre, puisque c’est d’elle que tu as été pris ; car tu es poussière et tu retourneras à la poussière. L’homme appela sa femme du nom Eve (« vivante »), car elle est devenue la mère de tous les vivants. L’Eternel Dieu fit à l’homme et à sa femme des habits de peau, dont il les revêtît. » (NBS).

Adam et Êve ne reconnurent pas leurs culpabilités. Adam le premier interrogé sur les raisons de sa peur de rencontrer Dieu dit : C’est la femme que tu as mise auprès de moi, qui m’a donné de l’arbre, et j’ai mangé. En d’autres termes, Adam dit à Dieu : ce n’est pas de ma faute si j’ai mangé du fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, mais de la tienne parce que c’est toi qui a mis la femme auprès de moi, celle-ci m’ayant donné du fruit de cet arbre je l’ai mangé. Ou encore, si tu ne m’avais pas donné de femme, qui ensuite m’a donné du fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, je n’aurais jamais désobéi à ce commandement.

Vraiment n’importe quoi !

Jusqu'à preuve du contraire, la femme ne lui a pas enfoncé le fruit de force dans l’estomac par la bouche.

Il est écrit dans la Bible : elle (Êve. C’est moi qui souligne), en donna aussi à son mari qui était avec elle, ce qui veut dire qu’Adam a dû avancer la main pour prendre le fruit, ce qui prouve qu’en aucun cas il n’a été forcé. Cela le rend pleinement responsable de sa faute, d’autant qu’il est aussi écrit, qu’il ne se contenta pas de prendre le fruit, mais en plus il le mangea.

De nos jours nous voyons souvent des hommes, qui parce qu’ils aiment une femme font ou disent des choses mauvaises, très souvent, simplement parce qu’ils sont sous le charme de cette femme.

Ne sont-ils pas pour autant responsables de leurs actes ?

Il m’est arrivé de mal agir sous influence, comme certainement beaucoup d’humains, et ensuite de regretter mes actes, et afin de minimiser ma responsabilité, ou la renier, j’ai tenté comme beaucoup de rejeter la responsabilité de mes actes, sur celui ou celle qui selon moi m’a poussé à agir ainsi.

Aujourd’hui, reconnaissant que rien n’oblige quiconque à dire ou faire quoi que ce soit, par la grâce de Dieu, je n’éprouve aucune honte à avouer mes fautes et assumer les conséquences de celles-ci.

L’attitude d’Êve n’est pas meilleure, parce qu’elle rend le serpent responsable de sa faute en disant à Dieu : c’est le serpent qui m’a trompé, et j’ai mangé. En clair, ce n’est pas de ma faute, d’avoir mangé le fruit, mais celle du serpent. S’il ne m’avait séduite, je n’aurais pas mangé du fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais.

En tout cas la Bible dit : elle (Êve. C’est moi qui souligne) prit de son fruit, et en mangea, ce qui de sa part son deux actes volontaires.

Tous deux, Adam et Êve rendirent d’autres responsables de leur désobéissance. Dieu et Eve, pour Adam, et le serpent pour Êve.

Aujourd’hui encore, il nous arrive d’agir ainsi.

Ce qui est mal.

Seul le serpent ne put rejeter sa faute sur quiconque, du fait qu’il est l’instigateur des fautes commises par Adam et Êve.

Dans sa justice, Dieu ne manque pas de faire savoir à chacun, ce que sera son avenir.

Le serpent dit Dieu, après avoir rampé sur la terre et mangé de la poussière, un jour sera détruit. A la femme, la peine de ses grossesses sera multipliée, son désir se portera vers son mari, qui dominera sur elle, et à l’homme du fait qu’il a écouté la voix, de sa femme, en mangeant de l’arbre dont Dieu l’avait défendu d’en manger, Dieu dit : « la terre sera maudite à cause de toi ; c’est avec peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie. Elle fera pousser pour toi des épines et des chardons, et tu mangeras l’herbe de la campagne. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes à la terre, puisque c’est d’elle que tu as été pris ; car tu es poussière et tu retourneras à la poussière ». GENESE 3 :14 à 19 .(NBS).

Gloire soit rendue à Dieu, du fait qu’il soit juste dans son jugement.

Dieu, connaissant nos pensées lorsqu’il nous juge, tient également compte des mobiles que nous avons au moment où nous faisons ce qui est mal à ses yeux.

Il est évident qu’Adam ne voulant perdre sa femme Êve, a préféré mourir avec elle en mangeant ce fruit que Dieu lui avait interdit de manger. Cet état de fait, n’excuse en rien tout homme qui aujourd’hui se sentirait obligé de faire ou dire quoi que ce soit de mal. Car, qui que nous soyons, nous avons toujours le choix de faire ou dire ce qui est bien ou mal, ou ce qui est bon ou mauvais.

Nul n’est obligé de faire quoi que ce soit de répréhensible. Qui que nous soyons, Dieu nous a doté du libre arbitre, c'est-à-dire la capacité de choisir.

N’est-ce pas merveilleux ?

Si Dieu en nos créant, ne nous avait doté de cette chose formidable qu’est le libre arbitre, nous serions en droit de nous plaindre de lui. L’humain quel qu’il soit, homme, femme ou enfant, quand il fait ou dit quoi que ce soit de répréhensible ou non, y réfléchit d’abord et ensuite agit. Ce simple état de chose le rend seul responsable de ses actes, qu’ils soient bon ou mauvais, bien ou mal.

Je remercie Dieu pour ce don.

En tout cas, nous pouvons sans aucun doute possible, constater combien il est difficile encore aujourd’hui pour un homme de gagner son pain, ou plus précisément de se nourrir. Il est vrai, que l’homme aujourd’hui, ne gagne pas son pain uniquement en cultivant la terre. Je dois reconnaitre que gagner son pain sans peine aujourd’hui est chose impossible, particulièrement à cause de l’égoïsme des humains.

Quoi qu’il en soit, la prédiction de Dieu aujourd’hui encore, se manifeste pour l’homme, la femme et le serpent.

 

Pouvons-nous être libérés, de ce péché qui nous environne ?

Pour ce qui est de la situation du serpent, en lui disant qu’il mettra inimitié entre la descendance du serpent et celle de la femme, Dieu dit en substance au serpent, qu’Il (Dieu), mettra dans le cœur de ceux qui aiment Dieu, de la haine pour ce qui est mal. Dieu merci, l’hostilité entre la descendance de la femme (ceux qui aiment Dieu, donc le bien), et la descendance du serpent (ceux qui aiment le mal, donc satan) est manifeste encore aujourd’hui.

Jusqu’à preuve du contraire, beaucoup d’hommes et de femmes dont je suis, font tout ce qui est en leur pouvoir, pour faire ou dire ce qui est bien et juste de différentes manières avec l’aide de Dieu. Il est possible par la grâce de Dieu, de sortir de cet état de péché qui empoisonne notre existence. J’écris cela, sans la prétention de dire, que ceux qui avec l’aide de Dieu font tout pour obéir à Dieu sont meilleur que ceux qui n’obéissent pas à Dieu. Eux et moi n’avons pas toujours obéis à Dieu, et sans aucun doute possible, il nous arrive et nous arrivera de désobéir à Dieu. Les humains sont pécheurs par nature, et de plus satan, bien qu’à la mort suivie de la résurrection de Jésus sa destruction certaine fut fixée, vit encore.

Tant que satan vivra, nous aurons tous à lutter contre ses tentations, par lesquelles il nous assaille, dans le but de nous faire mourir avec lui au dernier jour. Les nombreuses victoires que nous remportons contre lui sont uniquement dû, à la force que Jésus nous donne par son Esprit qui est en nous. Quand il nous arrive de succomber à la tentation quelle qu’elle soit, qui que nous soyons, si d’un cœur sincère devant Dieu, par la prière nous demandons pardon à Dieu, grâce au sacrifice de Jésus, Dieu dont l’Amour pour nous est si grand ne refuse, ni ne refusera jamais de nous pardonner, de quelque rang social que l’on soit, parce qu’il est écrit dans 1 JEAN 2 : 1 et 2 « Mes enfants, je vous écris cela pour que vous ne péchiez pas. Mais si quelqu’un vient à pécher, nous avons un défenseur auprès du Père, Jésus-Christ, qui est juste. Il est lui-même l’expiation pour nos péché ; non pas seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (NBS).

Le pardon de Dieu nous montre ce texte est offert à tous les humains.

Le problème est de savoir, combiens d’entre nous croirons que s’ils demandent à Dieu pardon d’avoir comis une faute quelconque, croiront qu’ils seront pardonnés par Dieu ?

Pour ma part je crois en cette promesse, et je suis sûr de ne pas être un cas isolé.

Lors du péché d’Adam et d’Êve, il est arrivé une chose importante à laquelle nous portons peu d’attention, qui est la suivante. L’être humain sait ce qui est bon ou mauvais, ou, il sait ce qui est bien, ou mal, et devant Dieu il est sans excuse quand il lui désobéi.

Voici pourquoi.

Il est écrit dans GENESE 3 : 22 « Le Seigneur Dieu dit : L’homme est devenu comme l’un de nous pour la connaissance de ce qui est bon ou mauvais. Que maintenant il ne tende pas la main pour prendre aussi de l’arbre de la vie en manger et vivre toujours. » (NBS).

A partir du moment où Dieu a prononcé cette parole, à ses yeux l’être humain est devenu inexcusable au sujet du péché. Quel parent apprend à son petit enfant, à donner des coups de pied, ou un coup de je ne sais quoi qu’il à la main pour se venger ?

Un petit enfant est capable de discerner que l’on agit bien ou mal envers lui, et réagit en ayant un geste ou une parole, en bien lorsqu’il est satisfait, et en mal lorsqu’il est mécontent. L’enfant qui agit ainsi, ne sait pas que ce qu’il fait s’appelle bien ou mal, jusqu’à ce qu’il apprenne cela de ses parents qui eux ont cette connaissance. Même si notre situation nous parait sans issue, ne nous décourageons pas, parce que les promesses de Dieu sont pour chacun des humains sur la terre.                                                           

Il est écrit dans 1 JEAN : 1 : 8 à 10 « Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous égarons nous même, et la vérité n’est pas en nous. Si nous reconnaissons nos péchés, il (Jésus. C’est moi qui souligne) est juste et digne de confiance : il nous pardonnera nos péchés et nous purifiera de toute injustice. Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous faisons de lui un menteur, et sa parole n’est pas en nous. » (NBS). Pour être délivré par Jésus du pouvoir du mal sur nous, il est important de reconnaitre que nous sommes pécheurs. Jésus lui-même a dit dans MATTHIEU 9 : 12 et 13 « Ce ne sont pas les Biens portants qui ont besoin de médecin, mais les malades. Allez apprendre ce que signifie : Je veux la compassion et non le sacrifice ; car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. » (NBS). Il est important pour nous, de savoir si l’on est un pécheur ou pas. C'est-à-dire, si l’on désobéit à Dieu ou pas. Si vous considérez que vous êtes juste, donc sans péché, vous faites de Dieu un menteur.

Dans ce cas, Jésus ne peut rien pour vous.

Mais si vous reconnaissez que vous êtes pécheur, donc désobéissant envers Dieu, vous pouvez aller sans crainte à Jésus, lui demander de vous pardonner, et à l’instant même il vous pardonnera comme il a fait pour le paralysé dans LUC 5 : 24 et 25

« Eh bien, afin que vous sachiez que le fils de l’homme (Jésus. C’est moi qui souligne) a l’autorité sur la terre pour pardonner les péchés. Il dit au paralysé : je te le dis, lève-toi, prend ton lit et rentre chez toi. A l’instant même, l’homme se leva devant eux, prit sa couche et s’en alla chez lui glorifiant Dieu. » (NBS).

Nous sommes tous, hommes, femmes et enfants, paralysés (spirituellement parlant) par le péché ou le mal qui est en chacun de nous, et beaucoup d’entre nous regrettent souvent le mal qui est fait ou dit, par eux aux autres ou à eux-mêmes. Ceux qui aspirent à être délivré de cette propension au mal mais ne le peuvent, grâce soit rendue à Dieu, en Jésus et par Jésus, Dieu peut nous pardonner et nous en délivrer.

Souvenez-vous toujours de ce texte de 1 Jean 2 : 1 et 2, et ne vous laissez pas décourager en aucune manière, par qui ou quoi que ce soit. Ayez en Dieu une confiance absolue et n’oubliez jamais, que quel que soit la faute commise, même si celui que vous avez offensé, ne peut ni ne veut vous pardonner lorsque vous lui demandez de vous pardonner, allez à Jésus sans crainte et sans douter de sa bonté, et Jésus à coup sûr vous pardonnera, comme il a fait, fait et fera, encore et encore autant de fois que vous en éprouvez le désire, tant que vous vivez.

Lorsque l’on demande à Dieu de nous pardonner régulièrement toutes fautes commises, il se passe le phénomène suivant. On est de moins en moins sujet à désobéir à Dieu.

J’ai un jour pris Dieu au mot en ce sens, et depuis je ne regrette pas de l’avoir fait. J’ai l’assurance que Dieu m’a pardonné mes péchés, comme il a fait pour des millions d’autres, le fait et le fera encore, parce que Dieu ne se las pas de pardonner.

 

Voulez-vous être pardonné par Dieu, en Jésus ?

 

Jésus peut vous pardonner aujourd’hui, à l’instant même.

 

Croyez-vous cela possible ?

 

Que vous soyez délivré du mal et du péché, dépend de votre désire qu’il en soit ainsi pour vous.

 

Allez à Jésus !

 

Prenez-Dieu au mot et voyez combien il est bon de vivre en sa présence, dans l’assurance d’être pardonné par lui, et en pardonnant aux autres à votre tour. Votre reconnaissance envers Dieu, de ce qu’il vous a pardonné, comme il a fait pour des millions d’hommes, de femmes et d’enfants, vous donne de pardonner à votre tour, et vous donne de vivre dans la paix avec Dieu et vos semblables.

 

 

 

 

 Que DIEU continue de nous Bénir. Qu’Il nous accorde sa grâce, et nous donne d’user de cette grâce envers tous.                                                    

                    

 

 

 

  

 

       YESHUA & Jépitho MARCE 23/01/2012-11/06/2017